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Correction- réflexion
Message de defy posté le 21-04-2009 à 00:56:23 (S | E | F)
Bonjours, c'est une réflexion concernant un trait de ma personnalité.
Pouvez vous me corriger s'il-vous-plaît?
C'est quelque chose qui n'est pas court, mais si vous pouvez corrirez ne reste qu'une petite partie m'aiderait énormément.
----------------
Personne déteste les compliments, même si certain d’entre eux sont par la politesse ou dans le but d’obtenir quelque chose. Durant les ateliers de théâtre, j’ai découvert que je suis quasiment un maniaque à compliment. J’attire de l’attention par tous les moyens dans le but d’obtenir un petit sourire. En plus de ça, je suis quelqu’un qui est en grand manque de volonté, ce qui fait de moi une personne remplie de contradiction que j’ai découverte à l’aide des ateliers de théâtre.
À première vue, le fait que je n’ai pas apprit mon texte avant Sharmilla n’a rien de catastrophique, puisque ce n’est que le deuxième cours. Cependant, je me compare toujours inconsciemment aux autres, Mme Laurent était vraiment épanouie quand elle a vu que Sharmilla a bien appris ses paroles. Alors, tout-à-coup, je regrette parce que je ne me suis pas bien préparée, même si j’ai su que presque personne n’a appris le texte avant le troisième cours. J’aime être meilleure, mais pourtant je ne fournis que peu d’effort, et je me plains par la suite de ne pas être assez intelligente. Ce qui est un grand défaut, parce que j’entre dans un cercle vicieux et je ne peux me forcer quand personne ne garde espoir sur moi. À preuve, quand Mme Laurent me critique sur certaines gestes, je ne fais que me mélanger plus, en devenant de moins en moins concentrée sur mon rôle. Je m’apitoie tellement sur mon sort que je ne suis plus capable de m’en sortir de mon petit monde, comme ce qui s’est passé pour le troisième cours. J’étais bien trop occupée à me sentir désavantageuse par rapport à la situation que je ne me rendais pas compte du fait que je suis entrain de m’éloigner du but. Ou encore, durant le sixième cours, j’ai mélangé deux phrases, et Mme Laurent a trouvé que c’est désastreux pour le dernier cours, ce qui m’a choqué. C’est ainsi que j’ai oublié presque tous mes répliques qui suivaient. J’aurais dû écouter Mme Laurent, elle est une professionnelle, elle travaille sur le théâtre bien avant ma naissance, et ses critiques ne font que montrer mes fautes et m’aider à m’améliorer.
Par ailleurs, je me cherche toujours des excuses pour me sentir moins coupable lorsque je n’obtiens pas le résultat que j’attendais. Soit je me reproche de mon passé, de ce que je n’ai pas vécu comme expérience, soit j’accuse ce que ciel ne m’a pas donné comme don, telle que j’ai pensé pendant plusieurs ateliers. Pourquoi au lieu d’affronter mes problèmes, j’essaie toujours de les cacher. Quand un passage de réplique me mélangeait, je fais l’innocente et refuse de vaincre cette difficulté. Par exemple, je n’arrivais pas à différencier l’ordre de deux phrases jusqu’au sixième cours. C’est seulement sous la pression de Mme Laurent qui m’a obligée à trouver un « truc » pour mémoriser que je l’ai fait. J’ai besoin de volonté, pour me mettre à l’action, parce que des fois, j’ai des bonnes idées. Par exemple, j’avais pensé à faire plus de gestes pendant la pièce, mais je n’arrivais pas à retourner à la place qu’il fallait pour continuer. Qu’est-ce que je deviendrais si je réalisais tout ce que je prévoyais durant le temps que j’avais, au lieu de faire ce que je fais maintenant, c’est-à-dire, laisser tout à la dernière minute.
Message de defy posté le 21-04-2009 à 00:56:23 (S | E | F)
Bonjours, c'est une réflexion concernant un trait de ma personnalité.
Pouvez vous me corriger s'il-vous-plaît?
C'est quelque chose qui n'est pas court, mais si vous pouvez corrirez ne reste qu'une petite partie m'aiderait énormément.
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Personne déteste les compliments, même si certain d’entre eux sont par la politesse ou dans le but d’obtenir quelque chose. Durant les ateliers de théâtre, j’ai découvert que je suis quasiment un maniaque à compliment. J’attire de l’attention par tous les moyens dans le but d’obtenir un petit sourire. En plus de ça, je suis quelqu’un qui est en grand manque de volonté, ce qui fait de moi une personne remplie de contradiction que j’ai découverte à l’aide des ateliers de théâtre.
À première vue, le fait que je n’ai pas apprit mon texte avant Sharmilla n’a rien de catastrophique, puisque ce n’est que le deuxième cours. Cependant, je me compare toujours inconsciemment aux autres, Mme Laurent était vraiment épanouie quand elle a vu que Sharmilla a bien appris ses paroles. Alors, tout-à-coup, je regrette parce que je ne me suis pas bien préparée, même si j’ai su que presque personne n’a appris le texte avant le troisième cours. J’aime être meilleure, mais pourtant je ne fournis que peu d’effort, et je me plains par la suite de ne pas être assez intelligente. Ce qui est un grand défaut, parce que j’entre dans un cercle vicieux et je ne peux me forcer quand personne ne garde espoir sur moi. À preuve, quand Mme Laurent me critique sur certaines gestes, je ne fais que me mélanger plus, en devenant de moins en moins concentrée sur mon rôle. Je m’apitoie tellement sur mon sort que je ne suis plus capable de m’en sortir de mon petit monde, comme ce qui s’est passé pour le troisième cours. J’étais bien trop occupée à me sentir désavantageuse par rapport à la situation que je ne me rendais pas compte du fait que je suis entrain de m’éloigner du but. Ou encore, durant le sixième cours, j’ai mélangé deux phrases, et Mme Laurent a trouvé que c’est désastreux pour le dernier cours, ce qui m’a choqué. C’est ainsi que j’ai oublié presque tous mes répliques qui suivaient. J’aurais dû écouter Mme Laurent, elle est une professionnelle, elle travaille sur le théâtre bien avant ma naissance, et ses critiques ne font que montrer mes fautes et m’aider à m’améliorer.
Par ailleurs, je me cherche toujours des excuses pour me sentir moins coupable lorsque je n’obtiens pas le résultat que j’attendais. Soit je me reproche de mon passé, de ce que je n’ai pas vécu comme expérience, soit j’accuse ce que ciel ne m’a pas donné comme don, telle que j’ai pensé pendant plusieurs ateliers. Pourquoi au lieu d’affronter mes problèmes, j’essaie toujours de les cacher. Quand un passage de réplique me mélangeait, je fais l’innocente et refuse de vaincre cette difficulté. Par exemple, je n’arrivais pas à différencier l’ordre de deux phrases jusqu’au sixième cours. C’est seulement sous la pression de Mme Laurent qui m’a obligée à trouver un « truc » pour mémoriser que je l’ai fait. J’ai besoin de volonté, pour me mettre à l’action, parce que des fois, j’ai des bonnes idées. Par exemple, j’avais pensé à faire plus de gestes pendant la pièce, mais je n’arrivais pas à retourner à la place qu’il fallait pour continuer. Qu’est-ce que je deviendrais si je réalisais tout ce que je prévoyais durant le temps que j’avais, au lieu de faire ce que je fais maintenant, c’est-à-dire, laisser tout à la dernière minute.
Réponse: Correction- réflexion de defy, postée le 21-04-2009 à 00:57:00 (S | E)
(la suite du texte)
Donc, me voici, la paresseuse qui ne veut pas fournir d’effort et qui veut être complimentée. À travers mes faits et gestes, je peux conclure que je suis quelqu’un d’orgueilleuse qui éprouve en même temps un complexe d’infériorité, tandis que je suis seulement une personne normal. Pourtant j’agis d’une façon absolument horrible, et tout cela est causé par mon égocentrisme. Je suis tellement concentrée sur moi même que je ne vois plus le monde à l’entour. En effet, quand je reçois un critique, ma première réflexion est de trouver quelque chose de coupable pour m’en tirer de la situation. Alors que j’aurais dû réfléchir sur ma conduite et le lien avec la critique que j’ai reçu. Il faut que j’apprenne à être modeste, sans tomber dans l’infériorité. Pour ce faire, je dois questionner plus sur moi-même, de toute évidence, la plupart des problèmes vient de soi.
En fin de compte, durant les ateliers de théâtre, j’ai découvert que je suis quelqu’un qui accroche aux compliments et qui cherche des excuses lors d’une critique. En effet, je suis trop égocentrique pour pouvoir juger clairement. Par exemple, durant le dernier cours avant « la générale », je suis tellement concentrée pour me trouver des excuses et me plaindre que je me mélange de plus en plus sur la pièce. Autrement dit, si je mettais tous mes efforts sur la pièce au lieu de me concentrer sur des choses non essentielles, je m’améliorerais beaucoup plus rapidement, et je serais bien plus satisfaite. Tout compte fait, il me reste encore de grands changements de mentalité à faire pour y arriver, mais je sais que je serai capable !
Réponse: Correction- réflexion de brettdallen, postée le 21-04-2009 à 01:12:54 (S | E)
Bonsoir,
C'est tellement long que je suis obligé de faire cela de manière fragmentée..
Personne(ne) déteste les compliments, même si certain d’entre eux sont(manque un verbe, au participe passé) par la politesse ou dans le but d’obtenir quelque chose. Durant les ateliers de théâtre, j’ai découvert que je suis(temps) quasiment un maniaque à compliment(à revoir). J’attire("J'essaie d'attirer") de (inutile)l’attention par tous les moyens dans le but d’obtenir un petit sourire. En plus de ça, je suis quelqu’un qui est en grand manque (il y a un verbe en français..)de volonté, ce qui fait de moi une personne remplie de contradiction(s) que j’ai découverte(s) à l’aide(ou "au cours de mes") des ateliers de théâtre.
À première vue, le fait que je n’ai pas apprit mon texte avant Sharmilla n’a rien de catastrophique, puisque ce n’est que le deuxième cours. Cependant, je me compare toujours inconsciemment aux autres, Mme Laurent était vraiment épanouie(ce n'est pas le mot que j'aurais choisi) quand elle a vu que Sharmilla a(concordance) bien appris ses paroles("son texte"). Alors, tout-à-coup, je regrette parce que je ne me suis pas bien préparée, même si j’ai su que presque personne n’a appris le texte avant le troisième cours. J’aime être(la) meilleure, mais pourtant je ne fournis que peu d’effort, et je me plains par la suite de ne pas être assez intelligente. Ce qui est un grand défaut, parce que j’entre dans un cercle vicieux et je ne peux me forcer quand personne ne garde espoir sur moi(maladroit). À("Pour") preuve, quand Mme Laurent me critique sur certaines gestes, je ne fais que me mélanger plus, en devenant de moins en moins concentrée sur mon rôle. Je m’apitoie tellement sur mon sort que je ne suis plus capable de m’en("me", "en" est un pronom qui serait censé remplacer "petit monde") sortir de mon petit monde, comme ce qui s’est passé pour le troisième cours. J’étais bien trop occupée à me sentir désavantageuse? par rapport à la situation que je ne me rendais pas compte du fait que je suis en(deux mots)train de m’éloigner du but. Ou encore, durant le sixième cours, j’ai mélangé deux phrases, et Mme Laurent a trouvé que c’est désastreux pour le dernier cours, ce qui m’a choqué(e). C’est ainsi que j’ai oublié presque tous(féminin) mes("les") répliques qui suivaient. J’aurais dû écouter Mme Laurent, elle est une professionnelle, elle travaille sur le théâtre bien avant ma naissance, et ses critiques ne font que montrer mes fautes et m’aider à m’amélior
Ce n'est pas une chose aisée que de faire son auto critique, qui plus est sur un forum! il y a un certain nombre de fautes, je n'ai fait que signaler les plus "lourdes"...
Cordialement.
Réponse: Correction- réflexion de defy, postée le 21-04-2009 à 01:30:46 (S | E)
Bonsoir, brettdallen, et merci de m'avoir corrigé, en fait, c'est un travail pour mon méthodologie en français...
Je suis bien génée aussi de postes ça ici, mais je n'ai pas d'autre choix.
Je sais que je fais énormément de faute d'orthographe et de syntaxe, et j'ai vraiment besoin que quelqu'un me corrige...
La version corrigée:
Personne ne déteste les compliments, même si certain d’entre eux sont dit par la politesse ou dans le but d’obtenir quelque chose. Durant les ateliers de théâtre, j’ai découvert que j’étais trop accrochée au compliment. J’essaie d’attirer l’attention par tous les moyens dans le but d’obtenir un petit sourire. En plus de ça, je manque de volonté, ce qui fait de moi une personne remplie de contradictions que j’ai découvertes au cours de mes des ateliers de théâtre.
À première vue, le fait que je n’ai pas apprit mon texte avant Sharmilla n’a rien de catastrophique, puisque ce n’est que le deuxième cours. Cependant, je me compare toujours inconsciemment aux autres, Mme Laurent était vraiment contente quand elle a vu que Sharmilla avait bien appris son texte. Alors, tout-à-coup, je regrette parce que je ne me suis pas bien préparée, même si presque personne n’avait appris le texte avant le troisième cours. J’aime être la meilleure, mais pourtant je ne fournis que peu d’effort, et je me plains par la suite de ne pas être assez intelligente. Ce qui est un grand défaut, parce que j’entre dans un cercle vicieux et je ne peux me forcer quand personne ne garde espoir sur moi. À preuve, quand Mme Laurent me critique sur certaines gestes, je ne fais que me mélanger plus, en devenant de moins en moins concentrée sur mon rôle. Je m’apitoie tellement sur mon sort que je ne suis plus capable de me sortir de mon petit monde, comme ce qui s’est passé pour le troisième cours. J’étais bien trop occupée à me sentir triste par rapport à la situation que je ne me rendais pas compte du fait que je m’éloignais du but. Ou encore, durant le sixième cours, j’ai mélangé deux phrases, et Mme Laurent a trouvé que c’était désastreux pour le dernier cours, ce qui m’avait choquée. C’est ainsi que j’ai oublié presque toutes les répliques qui suivaient. J’aurais dû écouter Mme Laurent, elle est une professionnelle, elle travaille pour le théâtre bien avant ma naissance, et ses critiques ne font que montrer mes fautes et m’aider à m’améliorer.
Réponse: Correction- réflexion de zoezoe, postée le 21-04-2009 à 18:28:31 (S | E)
Défy bonjour,
Je vais essayer d'apporter quelques corrections :
certainS d'entre eux
ne sont dit que par politesse
aux compliments
je n'ai pas appriS
aux autres (mettre un point)
Madame L....... avait bien appris le sien
meilleure (pas de virgule)
efforts et me plains par las suite.......intelligente, ce qui est
La preuve en est, lorsque Mme L critique certains de mes gestes je me mélange encore plus en devenant........
comme ça s'est passé pour le ......
Mme L.. qui est une professionnelle, travaillant pour......naissance (mettre un point)
Ses critiques ne servent qu'à me démontrer mes erreurs dans le but de m'aider à m'améliorer
je souhaite vous avoir un peu aidée - cordialement
INDISPENSABLES : 