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Message de utulangue posté le 12-11-2009 à 11:21:42 (S | E | F)
Bonjour!
Si quelqu'un pourrait corriger ces 4 textes, je serais très content.
Sentez-vous libre de donner des commentaires si vous trouvez que j'ai tort de mes idées.
Merci en avance !
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Dès la rentrée à l'école en France, les enfants s'apprennent l'importance d'individu et ainsi l'importance de défendre ses buts et ses intérêts même aux dépenses de son group. C'est JE avant NOUS, l'individu avant le group. Cet individualisme marque la société française. Par suite de cela c'est les relations personnelles qui créent le bas pour l'entreprise française et pas l'intérêt commun qui le créent dans un pays le plus souvent collectivisme comme la Suède. Dans un groupe français où on se concentre sur chaque individu c'est essentiel avant démarrer un travail que tous s'acceptent. Sans cette acceptation c'est impossible atteindre aux buts. Dans le film « Le rendez-vous » on voit clairement la collision entre la manière individualisme et la manière collectivisme, quand Mr Fransson directement veux aborder les affaires tandis que les Français veulent commencer par créer une acceptation personnelle.
Dans un collectivisme un avis déviant peut être fatal contrairement dans un individualisme où cela montre qu'on a une forte personnalité et qu'on s'intéresse.
Pour conclure on peut dire que dans un collectivisme les membres s'adaptent au group, alors que dans un individualisme le group s'adapte aux membres. Les décisions sont prises dans un individualisme par la norme que le plus fort individu impose son idée.
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En France le « sacro-saint » diplôme met des bornes à la carrière, si on n'fit pas les grandes écoles comme l'ENA c'est presque impossible devenir cadre. Pour entrer dans le gratin de la société il faut qu'on fasse une grande école, sinon on est en principe exclu. Un exemple qui prouve ce fait était le numéro 2 de Renault qui fut forcé à changer entreprise à Chrysler pour pouvoir avancer. La raison de ce plafond de glace fut le fait qu'il n'avait pas le bon diplôme et à cause de cela il ne pouvait pas avancer même s'il avait la compétence. Un des mots de la devise française est égalité, cela veut dire que la loi est la même pour tous et que aucune hérédité de pouvoirs est admis. Chaque individu aura la même possibilité atteindre toutes postes dans la société et le statut sera quelque chose que chaque individué doit mériter par soi-même. Cela est l'idée mais la réalité se diffère par suite du fait qu'il y a une dimension sociale. Elle est plus ou moins héritée et c'est elle qui décide d'ordinaire quel statut on peut atteindre. Une famille pauvre n'a pas la même moyenne pour donner une éducation qui suffit pour une grande école comme une famille riche. En Suède on valorise comme en France le statut acquis et donné peu importance au statut hérité.
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Les Allemands vivent dans une société monochrone où le temps est une chose très concrète et très linéaire. Ils font une chose à la fois et ils continuent avec le suivant quand la première est finie. Cette conception du temps fait que la planification est très importante et par conséquence c'est très important avec un ordre du jour pour pouvoir atteindre son but avec efficacité et rapidité.
La France est un pays polychrone où le temps est quelque-chose très abstrait, à lequel on n'attache pas la même importance comme dans les pays monochrone. Les individus polychrone sont plus spontanés et ils aiment bien d'improviser. Pour cela on fait juste des esquisses sur l'ordre de jours et on ne s'attache pas vraiment à la programme. On n'est pas aussi enferme comme les individués monochrone et on peut travailler avec plusieurs choses à la fois. Cette liberté de s'organiser fait que les Français ont une mieux capacité de s'adapter et d'improviser pour résoudre des obstacles inattendus. Le programme allemand comme chez tous les pays monochrone laisse peu place pour de changements. Et quand tout déjà est minutieusement planifié on ne rencontre jamais des complications inattendues qui forcent qu'on est flexible et improvisant pour les résoudre.
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Ce n'est pas quelque chose personnel quand on en France confronte des individus et quand on les met en question. C'est juste une manière de créer un conflit, un conflit qui est une étape naturelle dans le processus. Pour les Français un conflit est une façon d'être créative et de tester différent solutions sur le problème. Les Français veulent être sûr que ils discutèrent tous les possibilités de solution avant prendre une décision. En Suède un conflit est une traite contre le group et de mettre quelqu'un en question est la même comme attaquer l'individu personnellement. En France on fait bien la distinction entre la personne et le business, quelque chose que on n'arrive pas en Suède et qui fait qu'on a peur pour des conflits.
De pouvoir critiquer et d'interrompre montre qu'on s'intéresse et dans le même temps c'est une épreuve d'intelligence. C'est presque un règle que si on est par exemple 3 et 2 sont d'accorde le troisième doit être contre pour créer un débat. Cette manière de toujours mettre en question prend du temps, mais cela va très bien avec le polychronisme. Et aussi elle s'applique très bien dans une culture individualisme où c'est important d'avoir un avis propre.
On voit très bien un exemple de cela dans le film « Le rendez-vous », où Mr Fransson devient totalement muet quand un businessman français lui confronte à une question. Il n'a pas l'habitude d'être mettre en question.
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Modifié par bridg le 12-11-2009 17:40
titre
Réponse: Individualisme/collectivisme -Correction de bridg, postée le 12-11-2009 à 17:39:44 (S | E)
Bonjour.
Votre demande est trop longue, s'il vous plaît, la prochaine fois, merci de poster moins à la fois .
Dès la rentrée à l'école en France, les enfants s'apprennent (non) l'importance d'individu (erreur d'article / il en faut 2) et ainsi (erreur de mot) l'importance de défendre ses buts et ses intérêts même aux dépenses (erreur de mot) de son group.(ortho) C'est JE avant NOUS, l'individu avant le group. Cet individualisme marque la société française. Par suite de cela (mal dit) c'est (le sujet est pluriel, il faut un verbe au pluriel) les relations personnelles qui créent le bas ??? pour l'entreprise française et pas l'intérêt commun qui le créent ??? dans un pays le plus souvent collectivisme (erreur de mot) comme la Suède. Dans un groupe français où on se concentre sur chaque individu c'est essentiel avant xxx (manque une préposition) démarrer un travail que tous s'acceptent. Sans cette acceptation c'est (mal dit) impossible XXX (manque une préposition) atteindre aux (erreur de mot) buts. Dans le film « Le rendez-vous » on voit clairement la collision entre la manière individualisme (erreur de mot) et la manière collectivisme (erreur de mot) , quand Mr Fransson directement veux aborder les affaires tandis que les Français veulent commencer par créer une acceptation personnelle.
Dans un collectivisme un avis déviant peut être fatal contrairement dans (erreur de préposition) un individualisme où cela (mal dit) montre qu'on a une forte personnalité et qu'on s'intéresse.
Pour conclure on peut dire que dans un collectivisme les membres s'adaptent au group (ortho) , alors que dans un individualisme le group (ortho) s'adapte aux membres. Les décisions sont prises dans un individualisme par la norme que (mal dit) le plus fort individu impose son idée.
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En France le « sacro-saint » diplôme met des bornes à la carrière, si on n'fit (il manque des lettres là)pas les grandes écoles comme l'ENA c'est presque impossible devenir cadre. Pour entrer dans le gratin de la société il faut qu'on fasse une grande école, sinon on est en principe exclu. Un exemple qui prouve ce fait était le numéro 2 de Renault qui fut forcé à (erreur de préposition) changer entreprise à (erreur de préposition) Chrysler pour pouvoir avancer. La raison de ce plafond de glace fut le fait qu'il n'avait pas le bon diplôme et à cause de cela il ne pouvait pas avancer même s'il avait la compétence. Un des mots de la devise française est égalité, cela veut dire que la loi est la même pour tous et que aucune hérédité de pouvoirs n' est admis(faute d'accord) . Chaque individu aura la même possibilité XXX (manque une préposition) atteindre toutes (erreur) postes dans la société et le statut sera quelque chose que chaque individué ?? doit mériter par soi-même (erreur de pronom) . Cela est l'idée mais la réalité se diffère par xxx (manque un article) suite du fait qu'il y a une dimension sociale. Elle est plus ou moins héritée et c'est elle qui décide d'ordinaire quel statut on peut atteindre. Une famille pauvre n'a pas la même moyenne (erreur de vocabulaire + mettre au pluriel ) pour (changez la préposition) donner une éducation qui suffit pour une grande école comme une famille riche. En Suède on valorise comme en France le statut acquis et donné (erreur de conjugaison) peu importance au statut hérité.
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Les Allemands vivent dans une société monochrone où le temps est une chose très concrète et très linéaire. Ils font une chose à la fois et ils continuent avec le suivant (mettre au féminin) quand la première est finie. Cette conception du temps fait que la planification est très importante et par conséquence c'est très important avec un ordre du jour pour pouvoir atteindre son but avec efficacité et rapidité.
La France est un pays polychrone où le temps est quelque-chose très abstrait, à lequel (erreur de pronom relatif) on n'attache pas la même importance comme (il faut un pronom relatif) dans les pays monochrone. Les individus polychrone (ortho + accord) sont plus spontanés et ils aiment bien (d')improviser. Pour cela on fait juste des esquisses sur l'ordre de jours (mal dit) et on ne s'attache pas vraiment à la (il faut du masculin) programme. On n'est pas aussi enferme ??? comme (il faut un pronom relatif) les individués (ortho) monochrone (accord) et on peut travailler avec plusieurs choses à la fois. Cette liberté de s'organiser fait que les Français ont une mieux (erreur de superlatif) capacité de (erreur de préposition) s'adapter et d'improviser pour résoudre des obstacles inattendus. Le programme allemand comme chez tous les pays monochrone (erreur d'accord) laisse peu place pour de (il faut un article pluriel) changements. Et quand tout déjà est minutieusement planifié on ne rencontre jamais des (erreur d'article) complications inattendues qui forcent qu'on est flexible et improvisant (phrase à revoir) pour les résoudre.
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Ce n'est pas quelque chose personnel quand on en France confronte des individus et quand on les met en question.(phrase incompréhensible) C'est juste une manière de créer un conflit, un conflit qui est une étape naturelle dans le processus. Pour les Français un conflit est une façon d'être créative (mettre au masculin) et de tester différent (mettre au féminin pluriel) solutions sur le problème. Les Français veulent être sûr que ils (il ne peut pas y avoir 2 voyelles côte à côte) discutèrent (erreur de temps) tous (mettre au féminin) les possibilités de solution (mettre au pluriel) avant prendre une décision. En Suède un conflit est une traite (trouvez le mot de la même famille qui convient) contre le group et de mettre quelqu'un en question est la même xxx (manque un mot) comme que d'attaquer l'individu personnellement. En France on fait bien la distinction entre la personne et le business, quelque chose que on (il faut un pronom relatif) n'arrive pas en Suède et qui fait qu'on a peur pour des conflits.
De pouvoir critiquer et (d')interrompre montre qu'on s'intéresse et dans le même temps c'est une épreuve (erreur de mot) d'intelligence. C'est presque un (mettre au féminin) règle qui dit que si on est par exemple 3 et 2 sont d'accorde (ortho) le troisième doit être contre pour créer un débat. Cette manière de toujours mettre en question prend du temps, mais cela va très bien avec le polychronisme. Et aussi elle s'applique très bien dans une culture individualisme où c'est important d'avoir un avis propre.
On voit très bien un exemple de cela dans le film « Le rendez-vous », où Mr Fransson devient totalement muet quand un businessman français lui (pronom à changer) confronte à une question. Il n'a pas l'habitude d'être mettre en question.
See you
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