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Rédaction 1-2
Message de cokecola posté le 10-10-2010 à 15:40:30 (S | E | F)
Bonjour .
Voilà ma rédaction de français qui doit être au passé et doit être composée d'au moins une anticipation et d'un retour en arrière.
Elena se demandait encore se qu'elle faisait dans un bar à une heure trente-cinq du matin, ce qui était très rare pour une jeune femme issue d'un niveau élevé dans la bourgeoisie de New-York. Elle avait grandi dans un milieu culturel différent et elle le savait. C'était grâce à son père si sa mère et elle avaient pu bénéficier de cette chance et de cette belle vie ou l'argent n'était pas un problème prioritaire. Son père était banquier et les affaires avaient toujours bien marchées, jamais ils n'avaient manqué de quoi que ce soit. Elena regarda son compagnon du soir à côté d'elle. C'était un beau jeune homme qu'elle venait de rencontrer quelques heures plus tôt dans un bal quelques rues plus loin. Ses jambes fourillaient encore tellement elle avait dansé. C'est parmi la foule que le célibataire lui avait demandé de danser ensemble. Offre qu'elle avait biensûr accépté. Et ensuite ils étaient arrivés dans le bar "Philies" après qu'il lui est proposé de boire un café dans le "tabac du coin" comme il l'avait dit. Elle regarda le décor autour d'elle tout en sirotant son décaféiné. Les murs étaient peints de jaune citron qui ressortaient avec une poorte au fond de la pièce un peu plus foncée. Sûrement menait-elle à l'arrière du bistro. A côté de celle-ci étaient entreposés deux pompes à bière très volumineuses. C'était la première fois qu'elle se rendait dans cet endroit boire un coup et déjà trouvait-elle le barman sympathique. Lui triait la vaisselle et rangeait des verres à vin dans les armoires du bar. Ils leurs avaient servis leur café tout en rajoutant un petit sourire de coin, de gratitude. Elena adorait qu'on lui souriait. Elle se tourna vers son partenaire qui lui observait parmi la pièce vide le seul autre client d'une cinquentaine d'années à l'opposé d'eux. Seul, il arpentait une bière sous la solitude des lumières tamisées. Elle regarda donc son acolyte qui la déviisagea avec ardeur. Elle lui demanda s'il était d'ici. Il lui dit que oui mais qu'il logeait plus près du port. Elle aquiesça d'un légé signe de tête. La belle allait relancer la conversation mais eu soudain un blocage et s'arrêta net. Elle le fixa d'un regard interrogateur tout en plongeant ses yeux bleu dans les beau yeux verts de l'homme. Georges répondait-il sans qu'elle n'est le temps de sortir le moindre son de ses lèvres pulpeuses. Je m'appelle Georges, renchérat-il. Enchantée répondait-elle avec grâce, je m'appelle Elena. Ils continuèrent à timidement se regarder jusqu'à se qu'un bruit se fit entendre dans toute la pièce et vint briser le silence. elena se tourna brusquement et vis l'homme qu'à deux ils avaient observés l'instant d'vaant revenir s'assoir à sa place. Il venait de mettre une pièce de monnaie dans le Juke box qui jonchait le derrière du bar. Il mit un certain temps avant que la musique ne se lance. Elena reconnu tout de suite cette chanson, celle qu'elle avait adoré écouter dans certains cabarets. La musique lui cognait dans la tête plus que jamais. Elle se leva subitement. Georges qui continuait à parler cessa et éleva les yeux vers elle. Il avait déjà compris qu'elle était joviale et que rien n'y personne ne pouvais changer cette nature qui remontait à la surface aussi vite que tombaient les feuilles d'automne. Il admira pendant un moment sa joie et son bon vivant avant de se mettre debout à son tour. Tu danses, lui soufflait-il à l'oreille. Elle hocha la tête et il lui pris la main avant de l'entraîner près de la boîte à musique d'un pas décisif. Ils dansèrent et sans se rendre compte elle appréciait les pas assurés de son ami. Ils se rapprochaient avec la musique et là dans un élan musical il la faisait tournoyer avec délicatesse sur elle même faisant virevolter sa robe rouge de soie.
Voilà prévenez-moi des fautes; je mets la suite sur un second poste.
Merci d'avance pour vos réponses.
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Modifié par lucile83 le 10-10-2010 16:07
Message de cokecola posté le 10-10-2010 à 15:40:30 (S | E | F)
Bonjour .
Voilà ma rédaction de français qui doit être au passé et doit être composée d'au moins une anticipation et d'un retour en arrière.
Elena se demandait encore se qu'elle faisait dans un bar à une heure trente-cinq du matin, ce qui était très rare pour une jeune femme issue d'un niveau élevé dans la bourgeoisie de New-York. Elle avait grandi dans un milieu culturel différent et elle le savait. C'était grâce à son père si sa mère et elle avaient pu bénéficier de cette chance et de cette belle vie ou l'argent n'était pas un problème prioritaire. Son père était banquier et les affaires avaient toujours bien marchées, jamais ils n'avaient manqué de quoi que ce soit. Elena regarda son compagnon du soir à côté d'elle. C'était un beau jeune homme qu'elle venait de rencontrer quelques heures plus tôt dans un bal quelques rues plus loin. Ses jambes fourillaient encore tellement elle avait dansé. C'est parmi la foule que le célibataire lui avait demandé de danser ensemble. Offre qu'elle avait biensûr accépté. Et ensuite ils étaient arrivés dans le bar "Philies" après qu'il lui est proposé de boire un café dans le "tabac du coin" comme il l'avait dit. Elle regarda le décor autour d'elle tout en sirotant son décaféiné. Les murs étaient peints de jaune citron qui ressortaient avec une poorte au fond de la pièce un peu plus foncée. Sûrement menait-elle à l'arrière du bistro. A côté de celle-ci étaient entreposés deux pompes à bière très volumineuses. C'était la première fois qu'elle se rendait dans cet endroit boire un coup et déjà trouvait-elle le barman sympathique. Lui triait la vaisselle et rangeait des verres à vin dans les armoires du bar. Ils leurs avaient servis leur café tout en rajoutant un petit sourire de coin, de gratitude. Elena adorait qu'on lui souriait. Elle se tourna vers son partenaire qui lui observait parmi la pièce vide le seul autre client d'une cinquentaine d'années à l'opposé d'eux. Seul, il arpentait une bière sous la solitude des lumières tamisées. Elle regarda donc son acolyte qui la déviisagea avec ardeur. Elle lui demanda s'il était d'ici. Il lui dit que oui mais qu'il logeait plus près du port. Elle aquiesça d'un légé signe de tête. La belle allait relancer la conversation mais eu soudain un blocage et s'arrêta net. Elle le fixa d'un regard interrogateur tout en plongeant ses yeux bleu dans les beau yeux verts de l'homme. Georges répondait-il sans qu'elle n'est le temps de sortir le moindre son de ses lèvres pulpeuses. Je m'appelle Georges, renchérat-il. Enchantée répondait-elle avec grâce, je m'appelle Elena. Ils continuèrent à timidement se regarder jusqu'à se qu'un bruit se fit entendre dans toute la pièce et vint briser le silence. elena se tourna brusquement et vis l'homme qu'à deux ils avaient observés l'instant d'vaant revenir s'assoir à sa place. Il venait de mettre une pièce de monnaie dans le Juke box qui jonchait le derrière du bar. Il mit un certain temps avant que la musique ne se lance. Elena reconnu tout de suite cette chanson, celle qu'elle avait adoré écouter dans certains cabarets. La musique lui cognait dans la tête plus que jamais. Elle se leva subitement. Georges qui continuait à parler cessa et éleva les yeux vers elle. Il avait déjà compris qu'elle était joviale et que rien n'y personne ne pouvais changer cette nature qui remontait à la surface aussi vite que tombaient les feuilles d'automne. Il admira pendant un moment sa joie et son bon vivant avant de se mettre debout à son tour. Tu danses, lui soufflait-il à l'oreille. Elle hocha la tête et il lui pris la main avant de l'entraîner près de la boîte à musique d'un pas décisif. Ils dansèrent et sans se rendre compte elle appréciait les pas assurés de son ami. Ils se rapprochaient avec la musique et là dans un élan musical il la faisait tournoyer avec délicatesse sur elle même faisant virevolter sa robe rouge de soie.
Voilà prévenez-moi des fautes; je mets la suite sur un second poste.
Merci d'avance pour vos réponses.
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Modifié par lucile83 le 10-10-2010 16:07
Réponse: Rédaction 1-2 de linou66, postée le 10-10-2010 à 16:16:56 (S | E)
Hello! Here is my advise
Elena se demandait encore (se)ce qu'elle faisait dans un bar à une heure trente-cinq du matin, ce qui était très rare pour une jeune femme issue d'un niveau élevé dans la bourgeoisie de New-York. Elle avait grandi dans un milieu culturel différent et elle le savait. C'était grâce à son père si sa mère et elle avaient pu bénéficier de cette chance et de cette belle vie ou l'argent n'était pas un problème prioritaire. Son père était banquier et les affaires avaient toujours bien marchées, jamais ils n'avaient manqué de quoi que ce soit. Elena regarda son compagnon du soir à côté d'elle. C'était un beau jeune homme qu'elle venait de rencontrer quelques heures plus tôt dans un bal quelques rues plus loin. Ses jambes (fourillaient) fourmillaient (I supose)encore tellement elle avait dansé. C'est parmi la foule que le célibataire lui avait demandé de danser (ensemble) avec lui. Offre qu'elle avait bien sûr (en 2 mots) acceptée. Ensuite (et avant ensuite n'est pas nécessaire)ils étaient (arrivés) allés dans le bar "Philies" après qu'il lui (est) ait proposé de boire un café dans le "tabac du coin" comme il l'avait dit. Elle regarda le décor autour d'elle tout en sirotant son décaféiné. Les murs étaient peints (de) en jaune citron (qui ressortaient)(je ne mettrais pas ça)avec une porte au fond de la pièce un peu plus foncée qui menait sûrement à l'arrière du bistro. A côté de celle-ci étaient entreposées deux pompes à bière très volumineuses. C'était la première fois qu'elle venait dans cet endroit boire un verre et déjà le barman lui semblait sympathique. (Lui) Il triait la vaisselle et rangeait des verres à vin dans les armoires du bar. Il(s) leur(s) avait servi(s) leur café tout en souriant de gratitude. Elena adorait qu'on lui sourit. Elle se tourna vers son partenaire qui (lui)observait (parmi)dans la pièce vide le seul autre client d'une cinquentaine d'années à l'opposé d'eux. Seul, il (arpentait)buvait une bière sous les lumières tamisées. Elle regarda donc son acolyte qui la dévisagea avec ardeur. Elle lui demanda s'il était d'ici. Il lui dit que oui mais qu'il logeait plus près du port. Elle aquiesça d'un léger signe de tête. La belle allait relancer la conversation mais eut soudain un blocage et s'arrêta net. Elle le fixa d'un regard interrogateur tout en plongeant ses yeux bleu dans les beaux yeux verts de l'homme. Georges lui répondait sans qu'elle (n'est)n'ait eu le temps de sortir le moindre son de ses lèvres pulpeuses. Je m'appelle Georges, renchéra-t-il. Enchantée répondait-elle avec grâce, je m'appelle Elena. Ils continuèrent à se regarder timidement jusqu'à (se)ce qu'un bruit se fit entendre dans toute la pièce et vint briser le silence. Elena se tourna brusquement et vit l'homme qu'ils avaient observé l'instant d'avant, revenir s'asseoir à sa place. Il venait de mettre une pièce de monnaie dans le Juke box qui (jonchait) se trouvait derrière le bar. Il (mit)fallut un certains temps avant que la musique ne (se lance) commence. Elena reconnu tout de suite cette chanson, celle qu'elle avait adoré écouter dans certains cabarets. La musique lui cognait dans la tête plus que jamais. Elle se leva subitement. Georges qui continuait à parler (cessa) s'arrêta et (é)leva les yeux vers elle. Il avait déjà compris qu'elle était (joviale)joyeuse et que rien (n'y)ni personne ne pouvait changer cette nature qui remontait à la surface aussi vite que tombaient les feuilles d'automne. Il admira pendant un moment sa joie de vivre avant de se mettre debout à son tour. Tu danses, lui soufflait-il à l'oreille. Elle hocha la tête et il lui prit la main avant de l'entraîner près de la boîte à musique d'un pas décidé. Ils dansèrent et sans s'en rendre compte elle apprécia les pas assurés de son ami. Ils se rapprochaient avec la musique et là dans un élan musical il la faisait tournoyer avec délicatesse sur elle même faisant virevolter sa robe de soie rouge.
Voilà (prévenait)prévenez-moi s'ily a des fautes je mets
Réponse: Rédaction 1-2 de anonyme, postée le 10-10-2010 à 16:37:40 (S | E)
Bonjour,
Juste et seulement quelques compléments orthographiques complémentaires, des fautes que je vous laisse trouver :
"cette belle vie ou l'argent"
"les affaires avaient toujours bien marchées"
"un certains temps"
"Elena reconnu tout de suite cette chanson"
"sur elle même"
Cordialement
Réponse: Rédaction 1-2 de cokecola, postée le 10-10-2010 à 18:06:24 (S | E)
alors tout d'abbord merci puis pour mes fautes :
ou: où
marchées: marché
certains: certain
reconnu : reconnait
elle même : elle-même
C'est ça ?
Réponse: Rédaction 1-2 de anne40, postée le 10-10-2010 à 22:57:53 (S | E)
Ah, voilà , j'ai trouvé le début !!
...dans un bal, quelques rues plus loin
-> cela me semble mieux avec une virgule, de même entre "encore" et "tellement elle avait dansé."
-cinquentaine
-ses yeux bleu : vérifier si accord de la couleur au pluriel
-renchéra-t-il
-répondait-elle : je mettrais le passé simple
-d'avant, revenir
-Elena reconnu: on prononce reconnu mais il faut accorder (3ème personne du singulier au passé simple).
- cognait : pas dans ce sens-là, la musique ne lui est pas désagréable puisqu'elle va danser.
-Concernant les 2 dernières phrases, je mettrais quelques virgules aux endroits où on doit faire des pauses dans la lecture pour améliorer la compréhension du texte, ainsi que des guillemets lorsque les personnages parlent (n'est-ce pas obligatoire?).
C'est un texte très détaillé, c'est un joli texte. Vu la longueur, voir s'il faut séparer en plusieurs paragraphes.
Réponse: Rédaction 1-2 de cokecola, postée le 11-10-2010 à 17:20:06 (S | E)
Merci de votre réponse !
alors les fautes corrigées :
renchara t-il : renchérit-il ? (pas sûr)
cinquentaine > cinquantaine
Elena reconnu > reconnut ?
Pour les deux phrases si je dis :
Ils s'éloignèrent vers la pénombre de la nuit compensée claquement des talons d'Elena, laissant à leur trousses un certain doute sur leur futur.
Est ce correct ?
merci encore cordialement
Réponse: Rédaction 1-2 de anne40, postée le 11-10-2010 à 18:00:12 (S | E)
Bonjour,
Corrections orthographe/conjugaison: ok
Dernière phrase: non, il manque des mots et compenser ne veut rien dire ici (d'où cela sort-il? ?confusion avec les "semelles compensées", ce qui est une sorte de forme de semelles de chaussures ?!
=Revoir la correction de Linou (et apprendre dans le dictionnaire le sens de compenser)
Réponse: Rédaction 1-2 de cokecola, postée le 11-10-2010 à 18:13:38 (S | E)
Bonjour,
Soutenu ça irai ?
Réponse: Rédaction 1-2 de anne40, postée le 12-10-2010 à 12:17:25 (S | E)
Bonjour,
soutenu
qui (quoi) soutient qui ?Je ne vois pas ce que cela voudrait dire, et la correction de Linou était juste, mais je l'ai déjà écrit dans le post précédent!!
PS
ça irait: 3è pers conditionnel/irai 1ère pers futur /ça ira au futur 3è pers.Réponse: Rédaction 1-2 de cokecola, postée le 12-10-2010 à 14:55:10 (S | E)
Je ne sais vraiment pas par quoi remplacer compensée .
Entrainé ?
Réponse: Rédaction 1-2 de anne40, postée le 12-10-2010 à 22:48:25 (S | E)
Eh bien, explique ce que tu as envie de dire dans cette phrase !
Et relis les posts attentivement, j'ai écrit que la correction de Linou était bonne (à part qu'il faut à mon avis ajouter une ou 2 virgule(s), au moins avant le mot "laissant")
Ils s'éloignèrent dans la pénombre, accompagnés du claquement des talons d'Elena, laissant à leurs trousses un certain doute sur leur futur
Si vraiment ça ne te convient pas, explique ce que tu as envie de dire dans cette phrase
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Modifié par anne40 le 12-10-2010 22:48
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Modifié par anne40 le 12-10-2010 22:49
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