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Expression écrite
Message de kool posté le 25-11-2010 à 21:45:50 (S | E | F)
bonsoir. le prof de français nouas a demandé d'écrire une expression écrite . le sujet est: racontez comment un objet banal peut coûter la vie à une personne.
voilà ce que j'ai écris:
Jérémy est un collégien comme les autres, éléve studieux, gentil et timide. Il est toujours le dernier à sortir de sa classe ; vu qu’il prend beaucoup de temps à ramasser ses manuels scolaires ; et c’est le cas chaque jour. Pourtant, le vendredi 13, un jour de malheur comme certains le prétendent, voulant sortir de la classe, il aperçut la veste d’un de ses camarades de classe. La première idée qu’il eut en tête était de rammener la veste à son propriétaire, mais, se rappelant que ce propriétaire n’était d’autre que Jules ; son hostile, décida de laisser la veste à sa place jusqu’à ce qu’on vienne la chercher. En sortant de la classe ; Jules, lui, y entrait pour prendre sa veste, et il croisa Jérémy.
Pas à pas, il se dirigeait vers l’endroit où se trouvait sa veste, puis il y arriva, la pris dans sa main et chercha dans la poche, se retourna brusquement, cherchant Jérémy de ses yeux, mais ce dernier était déjà sorti de la piéce. Alors Jules alla retrouver Jérémy qui se trouvait dans la cour, et se mit à crier :
<- Rends moi mon argent tout de suite, sinon tu vas le regretter.>
Jérémy, qui ne savait pas ce qui se passait, commença à balbutier :
<- Mais… mais quel argent ?
-Tu sais très bien de quoi je parle. Dans ma veste il y avait une somme d’argent qui vient de disparaître, et c’est toi qui es sorti en dernier de la classe ; alors logiquement c’est toi qui m’a volé mon argent.>
Jérémy était devenu rouge comme une tomate, car tous les autres élèves les regardaient.
<- Je te jure que je n’ai volé aucun argent, bégaya le collégien, troublé. Tu sais très bien que je suis un élève honnête et je ne pourrais jamais toucher à un objet ne m’appartenant pas.
- Oh ! arrête tes mensonges. As-tu une autre explication à propos de ce fait, alors ?
- Non, mais je…>
Le garçon n’eut pas le temps de continuer sa phrase puisque Jules l’interromput :
<- Rendez-vous hors de l’école où je te réglerai ton compte.>
Et il partit, laissant Jérémy devenir pâle de peur. Il avait les jambes qui tremblaient, et son cœur battait la chamade. Que pouvait-il bien faire pour se sortir de cette situation ? bref, il décida de partir en courant chez lui, espérant ne pas rencontrer Jules et sa bande de copains qui allaient le tabasser.
Mais, cette solution n’était pas aussi efficace qu’il ne le croyait, car son rivale l’arrêta à mi-chemin ; il était cerné.
Heureusement, l’un des professeurs qui passait par là, l’aperçut.
Il s’arrêta et dit :
<- Pourquoi allez-vous frapper Jérémy ? Ce garçon ne cherche jamais la bagarre.
-Mais monsieur, dit Jules, se sentant gêné par la présence du prof. Il m’a volé mon argent.
-Et comment le sais-tu ?
-Bein, puisqu’il était le dernier à sortir de la classe où j’avais oublier ma veste, j’en ai conclus que c’est lui le coupable.
-On va returner à l’école et voir grâce à la caméra qui se trouve en classe si c’est bien lui le coupable.>
Et ils retournèrent à l’établissement où il découvrirent que le vrai coupable était l’un des amis de Jules qui avait pris son argent pendant la récréation, et non pas Jérémy qui allait passer à tabac, mais il s’en ai sortit grâce à son prof et à l’enregistrement vidéo.
pouvez vous SVP me dire si cette expression est bien formulée? merci d'avance.
Message de kool posté le 25-11-2010 à 21:45:50 (S | E | F)
bonsoir. le prof de français nouas a demandé d'écrire une expression écrite . le sujet est: racontez comment un objet banal peut coûter la vie à une personne.
voilà ce que j'ai écris:
Jérémy est un collégien comme les autres, éléve studieux, gentil et timide. Il est toujours le dernier à sortir de sa classe ; vu qu’il prend beaucoup de temps à ramasser ses manuels scolaires ; et c’est le cas chaque jour. Pourtant, le vendredi 13, un jour de malheur comme certains le prétendent, voulant sortir de la classe, il aperçut la veste d’un de ses camarades de classe. La première idée qu’il eut en tête était de rammener la veste à son propriétaire, mais, se rappelant que ce propriétaire n’était d’autre que Jules ; son hostile, décida de laisser la veste à sa place jusqu’à ce qu’on vienne la chercher. En sortant de la classe ; Jules, lui, y entrait pour prendre sa veste, et il croisa Jérémy.
Pas à pas, il se dirigeait vers l’endroit où se trouvait sa veste, puis il y arriva, la pris dans sa main et chercha dans la poche, se retourna brusquement, cherchant Jérémy de ses yeux, mais ce dernier était déjà sorti de la piéce. Alors Jules alla retrouver Jérémy qui se trouvait dans la cour, et se mit à crier :
<- Rends moi mon argent tout de suite, sinon tu vas le regretter.>
Jérémy, qui ne savait pas ce qui se passait, commença à balbutier :
<- Mais… mais quel argent ?
-Tu sais très bien de quoi je parle. Dans ma veste il y avait une somme d’argent qui vient de disparaître, et c’est toi qui es sorti en dernier de la classe ; alors logiquement c’est toi qui m’a volé mon argent.>
Jérémy était devenu rouge comme une tomate, car tous les autres élèves les regardaient.
<- Je te jure que je n’ai volé aucun argent, bégaya le collégien, troublé. Tu sais très bien que je suis un élève honnête et je ne pourrais jamais toucher à un objet ne m’appartenant pas.
- Oh ! arrête tes mensonges. As-tu une autre explication à propos de ce fait, alors ?
- Non, mais je…>
Le garçon n’eut pas le temps de continuer sa phrase puisque Jules l’interromput :
<- Rendez-vous hors de l’école où je te réglerai ton compte.>
Et il partit, laissant Jérémy devenir pâle de peur. Il avait les jambes qui tremblaient, et son cœur battait la chamade. Que pouvait-il bien faire pour se sortir de cette situation ? bref, il décida de partir en courant chez lui, espérant ne pas rencontrer Jules et sa bande de copains qui allaient le tabasser.
Mais, cette solution n’était pas aussi efficace qu’il ne le croyait, car son rivale l’arrêta à mi-chemin ; il était cerné.
Heureusement, l’un des professeurs qui passait par là, l’aperçut.
Il s’arrêta et dit :
<- Pourquoi allez-vous frapper Jérémy ? Ce garçon ne cherche jamais la bagarre.
-Mais monsieur, dit Jules, se sentant gêné par la présence du prof. Il m’a volé mon argent.
-Et comment le sais-tu ?
-Bein, puisqu’il était le dernier à sortir de la classe où j’avais oublier ma veste, j’en ai conclus que c’est lui le coupable.
-On va returner à l’école et voir grâce à la caméra qui se trouve en classe si c’est bien lui le coupable.>
Et ils retournèrent à l’établissement où il découvrirent que le vrai coupable était l’un des amis de Jules qui avait pris son argent pendant la récréation, et non pas Jérémy qui allait passer à tabac, mais il s’en ai sortit grâce à son prof et à l’enregistrement vidéo.
pouvez vous SVP me dire si cette expression est bien formulée? merci d'avance.
Réponse: Expression écrite de miss-radke, postée le 25-11-2010 à 23:11:38 (S | E)
"...ramener la veste à son propriétaire, mais, se rappelant que ce propriétaire n’était
"son hostile" : je ne comprend pas ce que tu veux dire mais hostile est un adjectif, tu ne peux pas donc le laisser seul. Peut-être voulais-tu mettre "ennemi" ?
"...puis il y arriva, la pri
"...cherchant Jérémy de ses yeux" c'est un peu maladroit mais correct. Le mieux serait de dire "cherchant Jérémy des yeux"
"...mais ce dernier était déjà sorti de la piéce" c'est un accent grave qu'on utilise ici : pièce
"<- Rendez-vous hors de l’école où je te réglerai ton compte.>"
Ici, le mot "hors" est un peu maladroit. Il vaudrait mieux dire "Rendez-vous à l'extérieur ou je règlerai ton compte". De plus, tu écris "où" (le lieu, une localisation) plutôt que "ou" (ou bien).
"On va returner" J'imagine que c'est une faute de frappe mais tu as oublié le o dans RETOURNER
"j’en ai conclus que c’est lui le coupable." A la place du présent, il faut mettre un temps du passé : "j’en ai conclus que c’était lui le coupable."
Et dernière petite faute : "il s’en ai" c'est "il s'en est"
Voilà ! J'espère t'avoir aidé
Réponse: Expression écrite de ariane6, postée le 26-11-2010 à 09:41:39 (S | E)
Bonjour kool!
C'est un texte vivant, vous vous exprimez bien !
Pour compléter la très bonne correction de miss-radke :
revoir : éléve, interromput, rivale, conclus, sortit
en dernier ---> le dernier
Pourquoi allez-vous ---> pourquoi alliez-vous ( heureusement que le professeur est arrivé à temps pour arrêter le massacre ! à ce propos, le sujet est " coûter la vie "...est-ce bien le cas ici ???? )
qui allait passer à tabac ---> qu'ils allaient passer à tabac ( Jeremy allait être passé à tabac )
Pas vraiment cool, la vie de collégien !
Réponse: Expression écrite de taconnet, postée le 26-11-2010 à 11:25:55 (S | E)
Bonjour.
Je dois reconnaître que vous vous exprimez en français avec une certaine aisance. Il y a peu de fautes, et chose rare vous employez le passé simple dans votre narration.
Malheureusement tout ce que vous avez écrit est hors sujet.
Voici le sujet :
Racontez comment un objet banal peut coûter la vie à une personne.
Objet banal : un stylo, un crayon, une pince à linge, un peigne... et pourquoi pas une balle de golf.
coûter la vie : mourir
Une caméra de surveillance n'est pas un objet banal.
Jérémy n'est pas mort.
D'autre part la caméra de surveillance n'a pas coûté la vie à Jérémy, mais a permis de le disculper.
Il faut donc tout reprendre.
Voici un sujet que vous pourriez développer.
Lien Internet
Réponse: Expression écrite de kool, postée le 26-11-2010 à 23:52:01 (S | E)
bonsoir et merci à vous tous pour vos réponses.
Taconnet a indiqué que l'objet banal dont je parle est la caméra, mais ce n'est pas le cas. le sujet ici est la veste de jules et la somme qui s'y trouvait, en tout cas merci pour le lien que tu m'as donné je vais le développer.
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