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Message de alejandra62 posté le 13-12-2012 à 22:51:24 (S | E | F)
Bonsoir à tous
Je vous vous remercie pour votre aide à la correction du texte suivant, s'il vous plaît.
Merci beaucoup.
La limite est ce qui sépare, distingue, divise En cinéma une ligne sépare la fiction et le documentaire. En effet cette limite rentre dans l'idée que le documentaire doit servir de document et au contraire le cinéma de fiction doit divertir.
Cette limite entre documentaire et fiction est loin d'être évident, parce que le documentaire ne peut pas être un reflet de la réalité, car il reste un fiction du réel. Le documentaire, de même, recours à l'alternance entre l'objectif et le subjectif et il exciter simultanément des temporalités et des espaces différants.
On ne peut donc pas porter de fidélité parfait au réel, car la distorsion est inévitable. Par conséquent il n'y a aucun critère pour tracer une limite entre fiction et documentaire, parce que tout film est une fiction, en même temps tout film est aussi documentaire. Ce constat de la limite entre fiction et documentaire ne serait pas révélateur d'une conception erronée de la limite, car la limite elle même peut être illusoire ou fautive.
Toutefois la limite est nécessaire pour garantir une ordre pour opérer des distinction, elle sert à catégoriser les films.
D'abord si on constat que la limite est utile et aussi possible constater que existerait une nuance entre deux approches du réel. En tout cas la limite entre fiction et documentaire semble ainsi finalement indispensable. C'est pourquoi il faudrait accepter l'ambivalence de la limite: capable de soutenir une distinction et inclure en même temps des variations.
Message de alejandra62 posté le 13-12-2012 à 22:51:24 (S | E | F)
Bonsoir à tous
Je vous vous remercie pour votre aide à la correction du texte suivant, s'il vous plaît.
Merci beaucoup.
La limite est ce qui sépare, distingue, divise En cinéma une ligne sépare la fiction et le documentaire. En effet cette limite rentre dans l'idée que le documentaire doit servir de document et au contraire le cinéma de fiction doit divertir.
Cette limite entre documentaire et fiction est loin d'être évident, parce que le documentaire ne peut pas être un reflet de la réalité, car il reste un fiction du réel. Le documentaire, de même, recours à l'alternance entre l'objectif et le subjectif et il exciter simultanément des temporalités et des espaces différants.
On ne peut donc pas porter de fidélité parfait au réel, car la distorsion est inévitable. Par conséquent il n'y a aucun critère pour tracer une limite entre fiction et documentaire, parce que tout film est une fiction, en même temps tout film est aussi documentaire. Ce constat de la limite entre fiction et documentaire ne serait pas révélateur d'une conception erronée de la limite, car la limite elle même peut être illusoire ou fautive.
Toutefois la limite est nécessaire pour garantir une ordre pour opérer des distinction, elle sert à catégoriser les films.
D'abord si on constat que la limite est utile et aussi possible constater que existerait une nuance entre deux approches du réel. En tout cas la limite entre fiction et documentaire semble ainsi finalement indispensable. C'est pourquoi il faudrait accepter l'ambivalence de la limite: capable de soutenir une distinction et inclure en même temps des variations.
Réponse: Le cinéma à la frontière du réel de alienor64, postée le 14-12-2012 à 19:15:22 (S | E)
Bonsoir Alejandra
" La limite est ce qui sépare, distingue, divise . En
( on dit : " Au cinéma ") cinéma une ligne ( autre mot ) sépare la fiction et le( on "sépare quelque chose d'une autre chose ") documentaire. En effet cette limite rentre ( autre verbe )dans l'idée que le documentaire doit servir de document ( autre mot car il y a répétition : "documentaire "/ " document " ) et au contraire le cinéma de fiction doit divertir.Cette limite entre documentaire et fiction est loin d'être évident
( à accorder avec le nom qu'il qualifie ), parce que le documentaire ne peut pas être un reflet de la réalité
, car il reste un ( féminin ) fiction du réel( ça , c'est votre interprétation ! ). Le documentaire, de même, recours ( 3ème personne présent indicatif ) à l'alternance entre l'objectif et le subjectif et il exciter ( à conjuguer ) simultanément des temporalités et des espaces différants ( orthographe ).On ne peut donc pas porter de fidélité parfait
( à accorder avec le mot qu'il qualifie ) au réel ( mal exprimé ), car la distorsion est inévitable. Par conséquent il n'y a aucun critère pour tracer une limite entre fiction et documentaire, parce que tout film est une fiction, en même temps tout film est aussi documentaire. Ce constat de la limite entre fiction et documentaire ne serait pas révélateur d'une conception erronée de la limite, car la limite elle ( trait d'union ) même peut être illusoire ou fautive.Toutefois la limite est nécessaire pour garantir une
( masculin ) ordre pour opérer des distinction ( pluriel ), elle sert à catégoriser les films.D'abord si ( l' )on constat
( verbe " constater" à conjuguer ) que la limite est utile 
( il faut une tournure impersonnelle)et aussi possible ( il faut une préposition introduisant l' infinitif ) constater que ( ici , il faut un pronom personnel pour cette tournure impersonnelle ) existerait une nuance entre deux approches du réel. En tout cas ( virgule )la limite entre fiction et documentaire semble ainsi ( à enlever ) finalement indispensable. C'est pourquoi il faudrait accepter l'ambivalence de la limite: capable de soutenir une distinction et inclure en même temps des variations. "Bonne soirée !
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Modifié par alienor64 le 14-12-2012 19:16
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