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    Correction : Radeau de La Méduse

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    Correction : Radeau de La Méduse
    Message de tya posté le 12-03-2014 à 18:20:19 (S | E | F)
    Bonjour à tous!
    J'ai écrit une présentation d'un tableau renommé : Le Radeau de la Méduse.
    Pourriez-vous m'aider à la correction de la grammaire, s'il vous plaît ?
    Je vous remercie!!!


    La Radeau de La Méduse est une peinture à l’huile peint par Théodore Géricault. Ce tableau renommé représente une histoire triste que le 2 juillet 1876, la frégate Méduse a coulé dans la mer, au moins 150 personnes duraient se maintenir à la surface de la mer sur un radeau, mais seuls 15 personnes survivaient. Cette peinture décrit l’image vivant des gens se débattait dans le naufrage de la faim, la déshydratation, et la mort.

    Premièrement, je voudrais analyser les plans de ce tableau. Le premier plan se forme par trois corps : un noir, l’homme plus âgé tenant un corps et l’homme penchant la tête sur le radeau. Les trois corps sont tous pâles et rigides. L’homme âgé avec un foulard rouge se prolonge dans la méditation en tenant un homme plus jeune qui semble comme son fils. Cet homme âgé est le seul qui tourne son dos à la direction que tous les autres face à. Nous trouvons que dans la direction à laquelle tous les autres faisant face est un bateau de loin. Ce bateau est un symbole de l’espoir, mais cet homme tourne son dos à cet espoir et s’absorbe dans sa pensée de façon mélancolique. Il pense peut-être à la mort de son fils, peut-être à l’avenir de lui-même, nous ne savons jamais. Mais ce que nous pouvons sentir est une ambiance plein de désespoir, le froid de la mort. Le premier plan transmet la désespérance.

    Le deuxième plan se forme par les autres gens reste sur le radeau. Ils ont vu le bateau de loin. Ils ont vu l’espoir et l’avenir. Donc ceux qui ont encore l’énergie agitent leur main pour faire un signe, même des gens faibles s’assoyant sur le radeau. L’homme dans le milieu avec un air douloureux, même il est très chétif, il se débat de se lever pour voir l’espoir. L’envie forte de vivre exprimée par leurs mains ouvertes avec force, leur sentiment ardent d’être sauvé et les foulards rouge et blanc flottant au vent prend forme d’une image touchante. Dans le deuxième plan, l’espoir et l’optimisme des hommes sont peints d’une façon vivide.
    Le troisième plan consiste à la mer et le ciel. Ce n’est pas une mer tranquille, nous pouvons voir les vagues hauts bouillonnant près de leur radeau. Nous pouvons noter que le radeau flot contre le vent. Donc l’espoir des gens est voilé une tension.

    Deuxièmement je voudrais discuter la structure de ce tableau. Il consiste à trois triangles et une pyramide. La pyramide est la structure invisible soutenant l’image principale : La surface du radeau fait le fond de cette pyramide; Les trois points visibles du radeau et la ligne connectée le plus haut point du mât et le point en bas à droit du radeau se forment deux faces triangulaires de cette pyramide. Nous croyons que la pyramide est la structure la plus solide du monde, donc il apporte le tableau une balance et une stabilité. Les trois triangles dans ce tableau se sont entrecroisés.

    Le premier triangle est formé par le premier plan. Le deuxième triangle est formé par des gens remuant leurs mains. Les trois points du deuxième sont l’homme qui a l’air douloureux, l’homme brun agitant son foulard et l’homme avec une ceinture rouge. Le troisième triangle est formé par la ligne diagonale des personnages et les deux câbles du radeau. La forme triangulaire nous apporte un sentiment de l’équilibre. Ces trois triangles rendent ce tableau plus arrangé et plus harmonieux.

    Ce tableau dans son ensemble est peint en jaune foncé qui est un couleur lourd faisant l’ambiance de la mort, il fait aussi ressortir le couleur rouge se dispersant dans ce tableau. Le foulard dans la main de l’homme qui se situe au point le plus haut est coloré rouge et blanc. Les vêtements des personnages portent sont aussi des deux couleurs : rouge et blanc. Le rouge est un couleur de chaleur qui symbole la révolution, la liberté et l’éclat. Le blanc est un symbole de la royauté, la pureté et l’égalité. Donc je pense que le peintre voulait exprimer que nous sommes égales devant la mort même devant l’espoir, malgré le couleur de la peau, malgré la position sociale.

    Bien que le peintre ait peint un bateau de loin qui symbolise l’espoir, il n’est pas vraiment un optimiste. Dans ce tableau, l’espoir s’entrelace avec le désespoir. Regardez bien leur corps, leur muscle sont tendu, leur mains ouvertes sont tendus…Nous pouvons presque entendre leur cri douloureux et excité. Ils s’avancent envers le bateau mais contre le vent, des personnages sains faisant face à l’espoir, mais la mort (présenté par les corps) les suit.

    Sans aucun doute, ce tableau est un chef-d’œuvre. Il est non seulement un tableau bien peint, mais aussi un reportage d’un scandale. Il exprime les émotions ardentes avec une structure bien faite. Je le voit et revoit et il ne m’ennuie jamais.
    -------------------
    Modifié par bridg le 12-03-2014 19:04


    Réponse: Correction : Radeau de La Méduse de alienor64, postée le 12-03-2014 à 21:20:05 (S | E)
    Bonsoir Tya

    La Radeau de La Méduse est une peinture à l’huile peint(accord avec peinture", mais choisir un autre mot pour éviter la répétition) par Théodore Géricault. Ce tableau renommé représente une histoire triste que le 2 juillet 1876, la frégate Méduse a coulé dans la mer( de à : à reformuler : ".... la triste histoire du naufrage de la frégate " Méduse", le 2 juillet..."),(enlever la virgule; mettre un point) au moins 150 personnes duraient(erreur; verbe " devoir " au passé simple) se maintenir à la surface de la mer sur un radeau, mais seuls(accord avec " personnes") 15 personnes survivaient( autre temps: passé simple ). Cette peinture décrit l’image vivant(accord avec " image") des(" de ") gens se débattait(participe présent) dans le naufrage(enlever ce mot car inutile; on dit : " se débattre contre quelque chose ou quelqu'un"; à adapter à votre phrase) de la faim, la déshydratation, et la mort.

    Premièrement, je voudrais analyser les plans de ce tableau. Le premier plan se forme(autre verbe : "mettre en scène") par trois corps : un noir, l’homme plus âgé tenant un corps et l’homme penchant la tête sur le radeau. Les trois corps sont tous pâles et rigides. L’homme âgé avec un foulard rouge se prolonge( autre verbe : " semble plongé dans...") dans la méditation en tenant un homme plus jeune qui semble comme son fils( de à : à reformuler clairement). Cet homme âgé est le seul qui tourne son( article à la place du possessif) dos à la direction que tous les autres face à( phrase à reformuler de à : " ...est le seul qui tourne le dos, ne regardant pas dans la même direction que...". Nous trouvons(autre verbe ; " observer"/ " constater") que dans(enlever) la direction à laquelle tous les autres faisant( verbe " faire" au présent de l'indicatif) face est un bateau de( " au loin " ) loin. Ce bateau est un symbole de l( article partitif élidé)’espoir, mais cet homme tourne son dos à cet espoir et s’absorbe dans sa pensée de façon mélancolique. Il pense peut-être à la mort de son fils, peut-être à l’avenir de lui-même( mal exprimé), nous ne savons( à conjuguer au futur) jamais. Mais ce que nous pouvons sentir est une ambiance plein(accord avec " ambiance") de désespoir, le(autre article) froid de la mort. Le premier plan transmet la désespérance.

    Le deuxième plan se forme(verbe à conjuguer à la voix passive)) par les autres gens reste(participe passé ) sur le radeau. Ils ont vu le bateau de(voir plus haut) loin. Ils ont vu l’espoir et l’avenir. Donc (virgule)ceux qui ont encore(ici, il faut un article partitif) l’énergie(virgule) agitent leur main( pluriel) pour faire un signe, même des gens faibles s’assoyant(orthographe) sur le radeau ( de à : à reformuler). L’homme dans( autre préposition) le milieu( " milieu " de quoi ? A préciser) avec un air douloureux, même( à placer après le verbe) il est très chétif, il(enlever, le sujet est nommé en début de phrase "L'homme..") se débat de(autre préposition) se lever pour voir l’espoir. L’envie forte de vivre exprimée par leurs mains ouvertes avec force(enlever), leur sentiment ardent d’être sauvé et les foulards rouge et blanc(accord) flottant au vent prend( ce verbe a plusieurs sujets)(ici, il faut un article défini) forme d’une image touchante. Dans le deuxième plan, l’espoir et l’optimisme des hommes sont peints d’une façon vivide(erreur ; ce mot n'existe pas !)).
    Le troisième plan consiste(autre verbe) à la mer et le ciel. Ce n’est pas une mer tranquille, nous pouvons voir les vagues hauts (accord + à placer devant le mot qu'il qualifie)bouillonnant près de leur radeau. Nous pouvons noter que le radeau flot( verbe " flotter" présent de l'indicatif) contre le vent. Donc l’espoir des gens est voilé(ici, il manque une préposition ) une tension.






    Réponse: Correction : Radeau de La Méduse de alienor64, postée le 12-03-2014 à 21:39:20 (S | E)

    La suite !

    Deuxièmement(virgule) je voudrais discuter (on dit: " discuter de quelque chose")la structure de ce tableau. Il consiste à(autre préposition) trois triangles et une pyramide. La pyramide est la structure invisible soutenant l’image principale : La (pas de majuscule après deux points)surface du radeau fait le fond( plutôt : " forme la base de ..." de cette pyramide;(point) Les trois points visibles du radeau et la ligne connectée le plus haut point du mât et le point en bas à droit du radeau se forment deux faces triangulaires de cette pyramide( de à : phrase à reformuler car incompréhensible). Nous croyons que la pyramide est la structure la plus solide du monde, donc il(sujet : " la pyramide") apporte le(erreur : il faut un article défini masculin contracté) tableau une balance et une stabilité. Les trois triangles dans ce tableau se sont entrecroisés.

    Le premier triangle est formé par le premier plan. Le deuxième triangle est formé par des gens remuant leurs mains. Les trois points du deuxième sont l’homme qui a l’air douloureux, l’homme brun agitant son foulard et l’homme avec une ceinture rouge. Le troisième triangle est formé par la ligne diagonale des personnages et les deux câbles du radeau. La forme triangulaire nous apporte un sentiment de l(" d'équilibre ")’équilibre. Ces trois triangles rendent ce tableau plus arrangé et plus harmonieux.

    Ce tableau dans son ensemble est peint en jaune foncé qui est un( féminin) couleur lourd(accord avec " couleur") faisant l’ambiance de la mort,(autre ponctuation) il fait aussi ressortir le(féminin) couleur rouge se dispersant dans ce tableau. Le foulard dans la main de l’homme qui se situe au point le plus haut est coloré(il manque une préposition) rouge et blanc. Les vêtements des personnages portent(enlever) sont aussi des deux couleurs : rouge et blanc. Le rouge est un( voir plus haut) couleur de chaleur qui symbole( verbe " symboliser") la révolution, la liberté et l’éclat. Le blanc est un symbole de la royauté, la pureté et l’égalité. Donc je pense que le peintre voulait exprimer que nous sommes égales(masculin pluriel) devant la mort même( il manque une conjonction) devant l’espoir, malgré le( voir plus haut) couleur de la peau, malgré la position sociale.

    Bien que le peintre ait peint un bateau de loin qui symbolise l’espoir, il n’est pas vraiment un optimiste. Dans ce tableau, l’espoir s’entrelace avec le désespoir. Regardez bien leur corps, leur muscle (pluriel)sont tendu(accord pluriel), leur(pluriel) mains ouvertes sont tendus(accord avec "mains")…Nous pouvons presque entendre leur cri douloureux et excité. Ils s’avancent envers(erreur ; " vers") le bateau mais contre le vent, des personnages sains faisant face à l’espoir, mais la mort (présenté(accord avec " la mort") par les corps) les suit.

    Sans aucun doute, ce tableau est un chef-d’œuvre. Il est non seulement un tableau bien peint, mais aussi un(autre article : défini masculin) reportage d’un scandale. Il exprime les émotions ardentes avec une structure bien faite. Je le voit( 1ère personne) et revoit(idem) et il ne m’ennuie jamais.

    Bonne soirée !



    Réponse: Correction : Radeau de La Méduse de jij33, postée le 13-03-2014 à 11:00:50 (S | E)
    Bonjour Tya
    Quelques petites remarques supplémentaires :
    Dans l'analyse d'une œuvre picturale, il vaut mieux dire "huile sur toile" que "peinture à l'huile". Vous pourriez ajouter au début de votre étude les dimensions du tableau, pour en donner une idée à votre lecteur, car, en l'occurrence, elles ne sont pas banales. On ajoute aussi habituellement le lieu où l'on peut voir l'œuvre. Par exemple : les Demoiselles d'Avignon, huile sur toile (243cm x 233cm), peintes en 1907 par Picasso, Musée d'Art Moderne de New-York.
    Vous parlez bien ensuite de premier et de second plan (il vaut d'ailleurs mieux dire "second" que "deuxième"), mais dites plutôt ensuite "arrière-plan" que troisième plan.
    Je vous souhaite de pouvoir un jour admirer ce chef-d'œuvre de la peinture romantique, dans ses dimensions réelles !

    Bonne correction



    Réponse: Correction : Radeau de La Méduse de tya, postée le 13-03-2014 à 13:55:55 (S | E)
    Bonjour alinor64 et jij33. Voici ma correction! Merci!

    La Radeau de La Méduse est une peinture à l’huile brossée par Théodore Géricault. Ce tableau renommé représente la triste histoire du naufrage de la frégate Méduse, le 2 juillet. Au moins 150 personnes se maintinrent à la surface de la mer sur un radeau, mais seules 15 personnes survécurent. Cette peinture décrit l’image vivante de gens se débat contre la faim, la déshydratation, et la mort.

    Premièrement, je voudrais analyser les plans de ce tableau. Le premier plan est mis en scène par trois corps : un noir, l’homme plus âgé tenant un corps et l’homme penchant la tête sur le radeau. Les trois corps sont tous pâles et rigides. L’homme âgé avec un foulard rouge semble prolongé dans la méditation en tenant un homme plus jeune, c’est peut-être son fils. Cet homme âgé est le seul qui tourne le dos, ne regardant pas dans la même direction que tous les autres. Nous observons que la direction à laquelle tous les autres font face est un bateau au loin. Ce bateau est un symbole d’espoir, mais cet homme tourne son dos à cet espoir et s’absorbe dans sa pensée de façon mélancolique. Il pense peut-être à la mort de son fils, peut-être à son avenir, nous ne saurons jamais. Mais ce que nous pouvons sentir est une ambiance pleine de désespoir, du froid et de la mort. Le premier plan transmet la désespérance.

    Le deuxième plan s’est formé par les autres gens restés sur le radeau. Ils ont vu le bateau au loin. Ils ont vu l’espoir et l’avenir. Donc, ceux qui ont encore de l’énergie, agitent leurs mains pour faire un signe, même les gens faibles et s’asseyent sont aussi ardents. Par exemple, l’homme au milieu de ce tableau avec un air douloureux est très chétif, mais il se débat à se lever pour voir l’espoir. L’envie forte de vivre exprimée par leurs mains ouvertes, leur sentiment ardent d’être sauvé et les foulards rouges et blancs flottant au vent prennent le forme d’une image touchante. Dans le deuxième plan, l’espoir et l’optimisme des hommes sont peints d’une façon vivante.
    Le troisième plan se compose de la mer et le ciel. Ce n’est pas une mer tranquille, nous pouvons voir les hautes vagues bouillonnant près de leur radeau. Nous pouvons noter que le radeau flotte contre le vent. Donc l’espoir des gens est voilé d’une tension.
    Deuxièmement, je voudrais discuter de la structure de ce tableau. Il consiste de trois triangles et une pyramide. La pyramide est la structure invisible soutenant l’image principale : la surface du radeau forme la base de cette pyramide. Deux faces triangulaires de cette pyramide sont formées par les trois points visibles du radeau et la ligne connectée le point le plus haut du mât. Nous croyons que la pyramide est la structure la plus solide du monde, donc elle apporte du tableau une balance et une stabilité. Les trois triangles dans ce tableau se sont entrecroisés.

    Le premier triangle est formé par le premier plan. Le deuxième triangle est formé par des gens remuant leurs mains. Les trois points du deuxième sont l’homme qui a l’air douloureux, l’homme brun agitant son foulard et l’homme avec une ceinture rouge. Le troisième triangle est formé par la ligne diagonale des personnages et les deux câbles du radeau. La forme triangulaire nous apporte un sentiment d’équilibre. Ces trois triangles rendent ce tableau plus arrangé et plus harmonieux.

    Ce tableau dans son ensemble est peint en jaune foncé qui est une couleur lourde faisant l’ambiance de la mort ; il fait aussi ressortir la couleur rouge se dispersant dans ce tableau. Le foulard dans la main de l’homme qui se situe au point le plus haut est coloré en rouge et blanc. Les vêtements des personnages sont aussi des deux couleurs : rouge et blanc. Le rouge est une couleur de chaleur qui symbolise la révolution, la liberté et l’éclat. Le blanc est un symbole de la royauté, la pureté et l’égalité. Donc je pense que le peintre voulait exprimer que nous sommes égaux devant la mort même que devant l’espoir, malgré la couleur de la peau, malgré la position sociale.

    Bien que le peintre ait peint un bateau de loin qui symbolise l’espoir, il n’est pas vraiment un optimiste. Dans ce tableau, l’espoir s’entrelace avec le désespoir. Regardez bien leur corps, leurs muscles sont tendus, leurs mains ouvertes sont tendues…Nous pouvons presque entendre leur cri douloureux et excité. Ils s’avancent vers le bateau mais contre le vent, des personnages sains faisant face à l’espoir, mais la mort (présentée par les corps) les suit.

    Sans aucun doute, ce tableau est un chef-d’œuvre. Il est non seulement un tableau bien peint, mais aussi le reportage d’un scandale. Il exprime les émotions ardentes avec une structure bien faite. Je le vois et revois et il ne m’ennuie jamais.



    Réponse: Correction : Radeau de La Méduse de alienor64, postée le 13-03-2014 à 21:25:16 (S | E)

    Bonsoir Tya

    La("Le" ) Radeau de La Méduse est une peinture à l’huile( le conseil judicieux de Jij33 est à suivre: voir plus haut) brossée( autre mot) par Théodore Géricault. Ce tableau renommé représente la triste histoire du naufrage de la frégate Méduse, le 2 juillet( de quelle année ?). Au moins 150 personnes se maintinrent à la surface de la mer sur un radeau, mais seules 15 personnes survécurent. Cette peinture décrit l’image vivante de gens se débat(verbe " se débattre" à mettre au participe présent) contre la faim, la déshydratation, et la mort.

    Premièrement, je voudrais analyser les plans de ce tableau. Le premier plan est mis(conjuguer " mettre en scène" à la voix active avec pour COD : " trois corps") en scène par trois corps : un noir, l’homme plus âgé tenant un corps et l’homme penchant la tête sur le radeau. Les trois corps sont tous pâles et rigides. L’homme âgé avec un foulard rouge semble prolongé(autre mot; déjà signalé) dans la méditation en tenant un homme plus jeune, c’est(enlever) peut-être son fils. Cet homme âgé est le seul qui tourne le dos, ne regardant pas dans la même direction que tous les autres. Nous observons que la direction à laquelle tous les autres font face est un bateau au loin. Ce bateau est un symbole d’espoir, mais cet homme tourne son dos à cet espoir et s’absorbe dans sa pensée de façon mélancolique. Il pense peut-être à la mort de son fils, peut-être à son avenir, nous ne saurons jamais. Mais ce que nous pouvons sentir est une ambiance pleine de désespoir, du(article partitif : " de") froid et de la(enlever cet article pour laisser " de") mort. Le premier plan transmet la désespérance.

    Le deuxième( voir conseils de Jij33) plan s’(enlever ce pronom; ici, "former" n'est pas pronominal)est formé par les autres gens( plutôt: "personnes" et accorder le participe passé ainsi que les pronoms personnels dans les phrases suivantes) restés sur le radeau. Ils ont vu le bateau au loin. Ils ont vu l’espoir et l’avenir. Donc, ceux qui ont encore de l’énergie, agitent leurs mains pour faire un signe, même les gens faibles et s’asseyent sont aussi ardents( de à : incompréhensible). Par exemple, l’homme au milieu de ce tableau( mal dit ; " au centre du tableau") avec un air douloureux est très chétif, mais il se débat à( erreur : autre préposition) se lever(ici, mettre conjonction de coordination) pour voir l’espoir. L’envie forte de vivre exprimée par leurs mains ouvertes, leur sentiment ardent d’être sauvé(pluriel) et les foulards rouges et blancs flottant au vent prennent le(féminin) forme d’une image touchante. Dans le deuxième( voir plus haut : conseils de Jij33) plan, l’espoir et l’optimisme des hommes sont peints d’une façon vivante.
    Le troisième( il faut suivre ce qui a été conseillé précédemment concernant les "plans" dans une toile) plan se compose de la mer et le( " du") ciel. Ce n’est pas une mer tranquille, nous pouvons voir les( " de" ) hautes vagues bouillonnant près de leur radeau. Nous pouvons noter que le radeau flotte contre le vent. Donc l’espoir des gens est voilé d( il faut une préposition à la place de cet article élidé)’une tension( ceci peut être mieux exprimé).



    Réponse: Correction : Radeau de La Méduse de alienor64, postée le 13-03-2014 à 21:49:58 (S | E)

    La suite !

    Deuxièmement, je voudrais discuter de la structure de ce tableau. Il consiste de trois triangles et une pyramide. La pyramide est la structure invisible soutenant l’image principale : la surface du radeau forme la base de cette pyramide. Deux faces triangulaires de cette pyramide sont formées par les trois points visibles du radeau et la ligne connectée le( "au ") point le plus haut du mât. Nous croyons que la pyramide est la structure la plus solide du monde, donc elle apporte du( article défini masculin ,contraction de " à " et " le ") tableau une balance et une stabilité. Les trois triangles dans ce tableau se sont entrecroisés( " s'entrecroiser" à conjuguer à l'indicatif présent).

    Le premier triangle est formé par le premier plan. Le deuxième triangle est formé par des gens remuant leurs mains. Les trois points du deuxième sont l’homme qui a l’air douloureux, l’homme brun agitant son foulard et l’homme avec une ceinture rouge. Le troisième triangle est formé par la ligne diagonale des personnages et les deux câbles du radeau. La forme triangulaire nous apporte un sentiment d’équilibre. Ces trois triangles rendent ce tableau plus arrangé et plus harmonieux.

    Ce tableau dans son ensemble est peint en jaune foncé qui est une couleur lourde faisant( autre terme pour s'accorder avec " ambiance") l’ambiance de la mort ; il fait aussi ressortir la couleur rouge se dispersant( ou " se répandant ") dans ce tableau. Le foulard dans la main de l’homme qui se situe au point le plus haut est coloré en rouge et blanc. Les vêtements des personnages sont aussi des deux couleurs : rouge et blanc( accord avec " couleur"). Le rouge est une couleur de chaleur( plutôt adjectif " chaude" que substantif) qui symbolise la révolution, la liberté et l’éclat. Le blanc est un symbole de la royauté,( "de") la pureté et( "de") l’égalité. Donc je pense que le peintre voulait exprimer que nous sommes égaux devant la mort même( " de même que...") que devant l’espoir, malgré la couleur de la peau, malgré la position sociale.

    Bien que le peintre ait peint un bateau de loin qui symbolise l’espoir, il n’est pas vraiment un optimiste. Dans ce tableau, l’espoir s’entrelace avec le désespoir. Regardez bien leur corps,(autre ponctuation ; mettre deux points) leurs muscles sont tendus, leurs mains ouvertes sont tendues( répétition)…Nous pouvons presque entendre leur cri douloureux et excité(autre terme). Ils s’avancent vers le bateau mais contre le vent, des personnages sains faisant face à l’espoir, mais la mort (présentée par les corps) les suit.

    Sans aucun doute, ce tableau est un chef-d’œuvre. Il est non seulement un tableau bien peint( mieux, pour ce chef-d'oeuvre : " magistralement exécuté")), mais aussi le reportage( ou " le témoignage") d’un scandale. Il exprime les( autre article indéfini) émotions ardentes avec une structure bien faite. Je le vois et revois et il ne m’ennuie jamais.


    Bonne soirée !




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