Les parents
Cours gratuits > Forum > Apprendre le français || En basMessage de gls posté le 16-01-2017 à 16:52:04 (S | E | F)
Bonjour,
Svp, pourriez-vous corriger ce texte ?
Il était une fois, une vieille dame vivait toute seule, dans une grotte loin du bruit de la civilisation et même de la compagne. Avant de vous raconter son histoire, j’aimerais bien attiré vos attentions sur un vieux point étrange à notre culture, éducation et à notre tradition. Pourquoi on abandonne nos chers parents âgés qui ont fait tout pour notre bonheur, seuls dans un établissement avec d’autres personnes, privés de notre tendresse et soutien ?
Je comprends les difficultés que peut avoir un parent pour élever un enfant. Cette dame a eu au lieu un, cinq enfants, deux fils et trois filles. Comme toutes les familles simples et traditionnelles, son mari travaillait dans les champs de l’agriculture et parfois exerçait d’autres métiers comme : la maçonnerie, la menuiserie… pour subir les besoins de sa famille. En ce qui la concerne, elle s’occupait des travaux de la maison et de l’éducation de ses enfants durant toute la journée. Je n’ose pas à dire qu’ils ont été heureux ni à dire le contraire mais il suffit de jeter un coup d’œil rapide, sur le visage de l’un des parents pour lire « la souffrance ». Alors, pourquoi cette dame avait choisi de quitter son domicile pour aller vivre avec les douleurs de la solitude. Les vrais problèmes ont commencés dés la mort de son mari qui a quitté la vie après un accident mortel. La vie est devenue dure, difficile sur cette dame qui n’a jamais travaillé hors de sa maison. Elle n’avait pas de choix, les enfants sont encore jeunes, ils ont besoin de la nourriture, des habits… elle n’a pas croisé ses bras, or elle a retroussé ses manches et travailla. Parfois elle se souvient son mari et pleure. Après dix ans sur son départ, les enfants avaient grandi. Les filles sont mariées et parties avec leurs maris pour demeurer dans d’autres pays. Ses fils par la suite sont entrés dans des litiges et des confrontations mortelles qui ont aboutis à la destruction de cette famille.
Devant cette situation insupportable, cette dame n’a pas pu résister et avait choisi de partir lui aussi et de quitter ce champ de bataille, je veux dire sa maison. Je ne sais pas exactement combien des années qu’elle avait vécu dans sa triste grotte, à mes informations elle n’avait pas résisté trop longtemps et elle s’est déplacée pour habiter avec d’autres personnes de son âge, dans un établissement public de soutien. Personne ne l’avait pas visitée et finalement elle a été décédée et enterrée, toute seule.
Merci.
Réponse : Les parents de alienor64, postée le 16-01-2017 à 18:00:14 (S | E)
Bonjour azeddine1
La forme interrogative : Lien internet
- Accord des participes passés : Lien internet
Il était une fois, une vieille dame ( pronom relatif sujet)vivait toute seule,(pas de virgule) dans une grotte loin du bruit de la civilisation et même de la compagne(incompréhensible ! Vit-elle à la campagne ou sans compagnie ? ). Avant de vous raconter son histoire, j’aimerais bien attiré(infinitif et non participe passé : pour ne pas vous tromper, remplacez mentalement ce verbe par un autre avec l'infinitif en 're' et, toujours mentalement, mettez le participe passé correspondant : par exemple : 'faire = fait/ vendre = vendu/ coudre = cousu') vos attentions(singulier pour ces deux mots) sur un vieux point étrange(mal placé ; le mettre après 'vieux' + conjonction de coordination pour relier les deux adjectifs) (ici, il manque un mot indiquant la nature précise de ce point par rapport à votre culture : 'opposé à ?/ associé à ?/ 'contraire à ? A vous de mettre ce qui convient) à notre culture, (préposition + déterminant possessif)éducation et à notre tradition. Pourquoi on abandonne(forme interrogative incorrecte : voir lien) nos chers parents âgés qui ont fait tout(entre le verbe et le participe passé) pour notre bonheur, seuls dans un établissement avec d’autres personnes, privés de notre tendresse et (préposition + déterminant possessif)soutien ?
Je comprends les difficultés que peut avoir un parent pour élever un enfant. Cette dame a eu au lieu un(cela ne veut rien dire ! Pour indiquer qu'elle n'a pas eu seulement un enfant, mettez la tournure 'ne... pas que' avec le verbe 'avoir' au passé composé) ,(pas de virgule ; conjonction qui indique une opposition) cinq enfants, deux fils et trois filles. Comme toutes les familles simples et traditionnelles, son mari travaillait (ici, (conjonction signifiant ' en tant que' + le substantif ( = le nom) désignant le métier du mari) dans les champs de l'agriculture(à enlever) et parfois exerçait d’autres métiers comme : la maçonnerie, la menuiserie… pour subir(autre verbe : 'subvenir' + déterminant contracté pluriel : contraction de 'à + les') les(enlever) besoins de sa famille. En ce qui la concerne, elle s’occupait des travaux de la maison et de l’éducation de ses enfants durant toute la journée. Je n’ose(autre verbe : 'avoir') pas à dire qu’ils ont été heureux ni à dire le contraire mais il suffit de jeter un coup d’œil rapide,(pas de virgule) sur le visage de l’un des parents pour lire « la souffrance ». Alors, pourquoi cette dame avait(passé composé + forme interrogative : après le verbe : pronom personnel sujet, sans oublier les traits d'union et le 't' entre l'auxiliaire et le pronom personnel, pour une question d'euphonie) choisi de quitter son domicile pour aller vivre avec les douleurs de la solitude.( pas de point, mais point d'interrogation) Les vrais problèmes ont commencés( auxiliaire 'avoir' : pas d'accord du participe passé car pas de COD devant le verbe) dés(accent grave) la mort de son mari qui a quitté la vie après un accident mortel(à enlever car inutile, puisque vous avez dit qu'il en est mort). La vie est devenue dure, difficile sur(autre préposition indiquant une attribution) cette dame qui n’a jamais travaillé hors de sa maison. Elle n’avait pas de(déterminant défini) choix, les enfants sont(imparfait) encore jeunes, ils ont(idem) besoin de la(enlever) nourriture, des(préposition élidée) habits… elle n’a pas croisé ses bras, or(enlever) elle a retroussé ses manches et travailla(passé composé). Parfois elle se souvient (préposition) son mari et pleure. Après dix ans sur son départ(enlever), les enfants avaient grandi. Les filles sont mariées et parties avec leurs maris pour demeurer('vivre') dans d’autres pays. Ses fils(virgule) par la suite(virgule) sont entrés dans des litiges et des confrontations mortelles qui ont aboutis(voir participes passés avec l'auxiliaire 'avoir') à la destruction de cette famille.
Devant cette situation insupportable, cette dame n’a pas pu résister et avait choisi(passé composé) de partir lui(' lui' ???) aussi et de quitter ce champ de bataille, je veux dire sa maison. Je ne sais pas exactement combien des(préposition élidée) années qu'(enlever)elle avait vécu(passé composé) dans sa triste grotte.
Réponse : Les parents de alienor64, postée le 16-01-2017 à 18:12:11 (S | E)
La suite :
à( autre mot : 'selon'. C'est une nouvelle phrase, donc : majuscule) mes informations (virgule)elle n’avait pas résisté(passé composé) trop longtemps et elle(enlever) s’est déplacée pour habiter avec d’autres personnes de son âge,(pas de virgule) dans un établissement public de soutien. Personne ne l'avait pas visitée(dans cette proposition, il y a deux négations : 'Personne' et 'ne...pas', ce qui équivaut à une affirmation. Laissez ' Personne ne ' et enlevez 'pas' + verbe au passé composé) et finalement elle a été(présent) décédée(mieux avec 'toute seule ': 'morte') et a été enterrée( 'a été enterrée' où ? A compléter) , toute seule(' toute seule' ne se rapporte pas logiquement à 'enterrée') .
Bonne correction
Réponse : Les parents de alienor64, postée le 16-01-2017 à 22:19:08 (S | E)
Bonsoir Azeddine1
A propos du texte 'Cher parent' que vous avez posté par erreur, je viens de supprimer ma réponse pour que vous puissiez, à votre tour, supprimer ce texte.
Bonne soirée
Réponse : Les parents de gls, postée le 18-01-2017 à 10:38:18 (S | E)
Il était une fois, une vieille dame qui vivait toute seule dans une grotte loin du bruit de la civilisation et de la campagne. Avant de vous raconter son histoire, j’aimerais bien attirer votre attention sur un étrange et vieux point opposé à notre culture, à notre éducation et à notre tradition. Pourquoi abandonnons-nous nos chers parents âgés qui ont tout fait pour notre bonheur, seuls dans un établissement avec d’autres personnes, privés de notre tendresse et de notre soutien ?
Je comprends les difficultés que peut avoir un parent pour élever un enfant. Cette dame n’a pas eu qu’un enfant mais cinq dont deux fils et trois filles. Comme toutes les familles simples et traditionnelles, son mari travaillait dans les champs en tant que l’agriculteur et parfois exerçait d’autres métiers comme : la maçonnerie, la menuiserie… pour subvenir les besoins de sa famille. En ce qui la concerne, elle s’occupait des travaux de la maison et de l’éducation de ses enfants durant toute la journée. Je n’ai pas à dire qu’ils ont été heureux ni à dire le contraire mais il suffit de jeter un coup d’œil rapide sur le visage de l’un des parents pour lire « la souffrance ». Alors, pourquoi a-t-elle choisi de quitter son domicile pour aller vivre avec les douleurs de la solitude ? Les vrais problèmes ont commencé dès la mort de son mari qui a quitté la vie après un accident. La vie est devenue dure et difficile pour cette dame qui n’a jamais travaillé hors de sa maison. Elle n’avait pas le choix, les enfants étaient encore jeunes, ils avaient besoin de nourriture, d’habits… elle n’a pas croisé ses bras, elle a retroussé ses manches et travaillé. Parfois elle se souvient de son mari et pleure. Après dix ans les enfants avaient grandi. Les filles sont mariées et parties avec leurs maris pour vivre dans d’autres pays. Ses fils, par la suite sont entrés dans des litiges et des confrontations mortelles qui ont abouti à la destruction de cette famille.
Devant cette situation insupportable, cette dame n’a pas pu résister et a choisi de partir aussi et de quitter ce champ de bataille, je veux dire sa maison. Je ne sais pas exactement combien d’années qu’elle a vécu dans sa triste grotte. Selon mes informations, elle n’a pas résisté trop longtemps et s’est déplacée pour habiter avec d’autres personnes de son âge dans un établissement public de soutien. Personne ne l’avait visitée et finalement elle est morte toute seule et elle a été enterrée dans un cimetière réservé aux inconnus.
J’ai une question
Pourquoi on écrit de nourriture, d’habits au lieu de la nourriture, des habits.
Réponse : Les parents de alienor64, postée le 18-01-2017 à 18:42:00 (S | E)
Bonsoir azeddine1
Il était une fois,(pas de virgule) une vieille dame qui vivait toute seule dans une grotte loin du bruit de la civilisation et et de la campagne(Vivait-elle loin de la campagne ou à la campagne ? A formuler plus clairement). Avant de vous raconter son histoire, j'aimerais bien attirer votre attention sur un étrange et vieux(vous pouvez enlever) point opposé à notre culture, à notre éducation et à notre tradition. Pourquoi abandonnons-nous nos chers parents âgés qui ont tout fait pour notre bonheur, seuls dans un établissement avec d'autres personnes, privés de notre tendresse et de notre soutien ?
Je comprends les difficultés que peut avoir un parent pour élever un enfant. Cette dame n'a pas eu qu'un enfant mais cinq(virgule) dont deux fils et trois filles. Comme toutes les familles simples et traditionnelles, son mari travaillait dans les champs en tant que(vous avez recopié l'indication que je vous avez donnée ! Trouvez la conjonction qui correspond à cette locution conjonctive) l'(enlever) agriculteur et parfois exerçait d'autres métiers comme : la maçonnerie, la menuiserie?(enlevez ce point d'interrogation) pour subvenir les(déterminant contracté ; déjà signalé) besoins de sa famille. En ce qui la concerne, elle s'occupait des travaux de la maison et de l'éducation de ses enfants durant toute la journée. Je n'ai pas à dire qu'ils ont été heureux ni à dire le contraire(virgule) mais il suffit de jeter un coup d'oeil rapide sur le visage de l'un des parents pour lire « la souffrance ». Alors, pourquoi a-t-elle choisi de quitter son domicile pour aller vivre avec les douleurs de la solitude ? Les vrais problèmes ont commencé dès la mort de son mari qui a quitté(participe passé de 'perdre') la vie après un accident. La vie est devenue dure et difficile pour cette dame qui n'a jamais travaillé hors de sa maison. Elle n'avait pas le choix, les enfants étaient encore jeunes, ils avaient besoin de nourriture, d'habits... elle n'a pas croisé ses bras, elle a retroussé ses manches et travaillé. Parfois elle se souvient de son mari et pleure. Après dix ans(mal formulé : 'Dix ans ont passé + ponctuation') les enfants avaient grandi(passé composé). Les filles sont mariées et parties avec leurs maris pour vivre dans d'autres pays. Ses fils, par la suite (virgule)sont entrés dans des litiges et des confrontations mortelles qui ont abouti à la destruction de cette famille.
Devant cette situation insupportable, cette dame n'a pas pu résister et a choisi de partir(ici, vous aviez mis 'lui', ce qui était incorrect ; mettez le pronom qui correspond à cette dame) aussi et de quitter ce champ de bataille, je veux dire sa maison. Je ne sais pas exactement combien d'années qu'( enlever : déjà signalé) elle a vécu dans sa triste grotte. Selon mes informations, elle n'a pas résisté trop longtemps et s'est déplacée pour habiter avec d'autres personnes de son âge dans un établissement public de soutien. Personne ne l'avait visitée(passé composé) et finalement elle est morte toute seule et elle(enlever) a été enterrée dans un cimetière réservé aux inconnus.
J'ai une question
Pourquoi on écrit(forme interrogative directe : verbe + pronom + point d'interrogation en fin de phrase) de nourriture, d'habits au lieu de la nourriture, des habits. 'Avoir besoin' se construit avec la préposition 'de' et, dans votre texte, il s'agit de termes généraux, non définis. Si vous aviez écrit : 'Ils ont besoin de la nourriture qu'ils ont l'habitude de consommer et des habits que leur mère a confectionnés et qu'elle répare au moindre accroc' : les déterminants définis auraient eu toute leur place puisque 'la nourriture' et 'les habits' sont identifiés.
Bonne soirée
Réponse : Les parents de gls, postée le 19-01-2017 à 20:13:32 (S | E)
Bonsoir
Ok mon amie je vais faire la correction et posté le texte.
Merci
Réponse : Les parents de gls, postée le 20-01-2017 à 16:52:35 (S | E)
Bonsoir
Il était une fois une vieille dame qui vivait toute seule dans une grotte loin du bruit de la civilisation et de celui de la campagne. Avant de vous raconter son histoire, j’aimerais bien attirer votre attention sur un étrange point opposé à notre culture, à notre éducation et à notre tradition. Pourquoi abandonnons-nous nos chers parents âgés qui ont tout fait pour notre bonheur, seuls dans un établissement avec d’autres personnes, privés de notre tendresse et de notre soutien ?
Je comprends les difficultés que peut avoir un parent pour élever un enfant. Cette dame n’a pas eu qu’un enfant mais cinq, dont deux fils et trois filles. Comme toutes les familles simples et traditionnelles, son mari travaillait dans les champs en qualité d’ (comme) agriculteur et parfois exerçait d’autres métiers comme : la maçonnerie, la menuiserie… pour subvenir aux besoins de sa famille. En ce qui la concerne, elle s’occupait des travaux de la maison et de l’éducation de ses enfants durant toute la journée. Je n’ai pas à dire qu’ils ont été heureux ni à dire le contraire, mais il suffit de jeter un coup d’œil rapide sur le visage de l’un des parents pour lire « la souffrance ». Alors, pourquoi a-t-elle choisi de quitter son domicile pour aller vivre avec les douleurs de la solitude ? Les vrais problèmes ont commencé dès la mort de son mari qui a perdu la vie après un accident. La vie est devenue dure et difficile pour cette dame qui n’a jamais travaillé hors de sa maison. Elle n’avait pas le choix, les enfants étaient encore jeunes, ils avaient besoin de nourriture, d’habits… elle n’a pas croisé ses bras, elle a retroussé ses manches et travaillé. Parfois elle se souvient de son mari et pleure. Dix ans ont passé, les enfants ont grandi. Les filles sont mariées et parties avec leurs maris pour vivre dans d’autres pays. Ses fils par la suite, sont entrés dans des litiges et des confrontations mortelles qui ont abouti à la destruction de cette famille.
Devant cette situation insupportable, cette dame n’a pas pu résister et a choisi de partir elle aussi et de quitter ce champ de bataille, je veux dire sa maison. Je ne sais pas exactement combien d’années elle a vécu dans sa triste grotte. Selon mes informations, elle n’a pas résisté trop longtemps et s’est déplacée pour habiter avec d’autres personnes de son âge dans un établissement public de soutien. Personne ne l’a visitée et finalement elle est morte toute seule et a été enterrée dans un cimetière réservé aux inconnus.
Merci.
Réponse : Les parents de alienor64, postée le 20-01-2017 à 18:58:17 (S | E)
Bonsoir azeddine1
Grammaticalement, votre texte est tout a fait correct ! Nous pouvons juste améliorer une expression pour que le tout soit parfait :
en qualité d’ (comme)(les deux sont corrects ; mettez l'un ou l'autre) agriculteur.
Ses fils par la suite, sont entrés dans des litiges et des confrontations mortelles('mortelles' peut convenir s'ils se sont entretués ! Sinon, un autre adjectif sera plus adapté, tout en conservant le caractère belliqueux que vous voulez exprimer : implacables/ impitoyables/ féroces ; vous placerez l'adjectif que vous choisirez devant le substantif ( = le nom). Lorsque l'adjectif qualificatif est placé avant le nom, on emploie de préférence 'de' (ou d') à la place de 'des'.
Bonne soirée
Réponse : Les parents de gls, postée le 21-01-2017 à 13:42:51 (S | E)
Bonjour
***Il était une fois une vieille dame qui vivait toute seule dans une grotte loin du bruit de la civilisation et de celui de la campagne. Avant de vous raconter son histoire, j’aimerais bien attirer votre attention sur un étrange point opposé à notre culture, à notre éducation et à notre tradition. Pourquoi abandonnons-nous nos chers parents âgés qui ont tout fait pour notre bonheur, seuls dans un établissement avec d’autres personnes, privés de notre tendresse et de notre soutien ?
Je comprends les difficultés que peut avoir un parent pour élever un enfant. Cette dame n’a pas eu qu’un enfant mais cinq, dont deux fils et trois filles. Comme toutes les familles simples et traditionnelles, son mari travaillait dans les champs en qualité d’agriculteur et parfois exerçait d’autres métiers comme : la maçonnerie, la menuiserie… pour subvenir aux besoins de sa famille. En ce qui la concerne, elle s’occupait des travaux de la maison et de l’éducation de ses enfants durant toute la journée. Je n’ai pas à dire qu’ils ont été heureux ni à dire le contraire, mais il suffit de jeter un coup d’œil rapide sur le visage de l’un des parents pour lire « la souffrance ». Alors, pourquoi a-t-elle choisi de quitter son domicile pour aller vivre avec les douleurs de la solitude ? Les vrais problèmes ont commencé dès la mort de son mari qui a perdu la vie après un accident. La vie est devenue dure et difficile pour cette dame qui n’a jamais travaillé hors de sa maison. Elle n’avait pas le choix, les enfants étaient encore jeunes, ils avaient besoin de nourriture, d’habits… elle n’a pas croisé ses bras, elle a retroussé ses manches et travaillé. Parfois elle se souvient de son mari et pleure. Dix ans ont passé, les enfants ont grandi. Les filles sont mariées et parties avec leurs maris pour vivre dans d’autres pays. Ses fils par la suite, sont entrés dans des litiges et de féroces confrontations qui ont abouti à la destruction de cette famille.
Devant cette situation insupportable, cette dame n’a pas pu résister et a choisi de partir elle aussi et de quitter ce champ de bataille, je veux dire sa maison. Je ne sais pas exactement combien d’années elle a vécu dans sa triste grotte. Selon mes informations, elle n’a pas résisté trop longtemps et s’est déplacée pour habiter avec d’autres personnes de son âge dans un établissement public de soutien. Personne ne l’a visitée et finalement elle est morte toute seule et a été enterrée dans un cimetière réservé aux inconnus.
Merci.
_________________________________________
***
Réponse : Les parents de alienor64, postée le 21-01-2017 à 20:03:07 (S | E)
Bonsoir azeddine1
Votre texte est maintenant très correct. Bravo
Bonne continuation
Réponse : Les parents de gls, postée le 21-01-2017 à 22:52:45 (S | E)
Bonsoir
C'est grâce à vous
merci
Réponse : Les parents de phil512, postée le 22-01-2017 à 00:41:14 (S | E)
Bonjour azeddine1 et sa correctrice alienor64
Dans un texte aussi bien réussi (bravo !), peut-on suggérer : "elle ne s'est pas croisé les bras" en lieu et place de "elle n'a pas croisé ses bras". Il me semble que c'est la formulation correcte et usuelle en bon français.
Bonne soirée à tous deux !
-------------------
Modifié par phil512 le 22-01-2017 05:18
-------------------
Modifié par phil512 le 22-01-2017 05:20
-------------------
Modifié par phil512 le 22-01-2017 07:04
Cours gratuits > Forum > Apprendre le français