Production écrite - Article
Cours gratuits > Forum > Apprendre le français || En basMessage de rafaelix posté le 19-04-2017 à 17:13:58 (S | E | F)
Bonjour,
J'espère que vous tous ayez passé un bon lundi de Pâques.
Cette fois, j'ai dû écrire un article sur un texte français clasique: " Pétition des fabricants de chandelles " de Frédéric Bastiat.
Seriez-vous si aimables de le corriger ?
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L’économiste français Frédéric Bastiat a été un des principaux défenseurs du libre commerce à son époque. Il a vécu dans la première moitié du XIXème siècle dans un pays qui essayait les mesures protectionnistes comme une façon de déclencher une croissance de l’économie.
C’est dans ce contexte social que son petite oeuvre « Pétition des fabricants de chandelles » est insérée. Le texte, rédigé sous la forme d’une lettre aux membres du Parlement, est une satire avec la quelle Bastiat se moque de quelques actions contre l’importation de produits étrangers de son gouvernement. L’auteur, qui se dit représentant des fabricants de chandelles, bougies et autres instruments de éclairage, explique qu’il faut une loi pour interdire que le soleil entre dans les maisons. De cette façon, ses représentés vendraient plus et toute l’économie du pays en profiterait. Bastiat argumente que si les oranges du Portugal, à ce moment-là interdites, sont seulement une moitié moins chères que les nationales, on devrait faire la même chose avec le soleil qui est « deux moitiés moins cher » que leur produit, c’est à dire, gratuit.
À part de ses aspects humoristiques, voire grotesques, le texte de Fréderic Bastiat met en relief des aspects très claires sur comme l’économie est regardée d’un point de vue simpliste. Bien qu’elle soit écrite il y a plus de 150 ans, cette « Pétition » semble être bien d’actualité aujourd'hui.
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Merci.
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Modifié par rafaelix le 19-04-2017 17:19
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Modifié par rafaelix le 19-04-2017 17:20
Réponse : Production écrite - Article de puente17, postée le 20-04-2017 à 11:36:53 (S | E)
Bonjour,
Seriez-vous si assez / esto es una espa... perdón un hispanismo aimables de le corriger ?/ou: quelqu'un aurait-il l'amabilité de m'aider à corriger ce texte?
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L’économiste français Frédéric Bastiat a été un des principaux défenseurs du libre commerce à son époque. Il a vécu dans la première moitié du XIXème siècle dans un pays qui essayait les mesures protectionnistes comme une façon de déclencher une croissance de l’économie.
C’est dans ce contexte social que son f. petite oeuvre « Pétition des fabricants de chandelles » est insérée s'insère. Le texte, rédigé sous la forme d’une lettre adressée / dans un titre on pourrait mettre :"lettre aux membres du... aux membres du Parlement, est une satire avec la quelle Bastiat se moque de quelques actions contre l’importation de produits étrangers de son gouvernement. L’auteur, qui se dit représentant des fabricants de chandelles, bougies et autres instruments de d'éclairage, explique qu’il faut une loi pour interdire que le soleil entre dans les maisons. De cette façon, ses représentés vendraient plus et toute l’économie du pays en profiterait. Bastiat argumente que si les oranges du Portugal, à ce moment-là interdites, sont seulement une moitié moins chères que les nationales, on devrait faire la même chose avec le soleil qui est « deux moitiés moins cher » que leur produit, c’est à dire, gratuit. no entiendo nada de esta frase... la mitad de la mitad es un cuarto,
¿no te parece?
À part
Réponse : Production écrite - Article de rafaelix, postée le 20-04-2017 à 12:58:58 (S | E)
Umm puente17. Vous avez failli écrire le mot interdit !
Merci !
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L’économiste français Frédéric Bastiat a été un des principaux défenseurs du libre commerce à son époque. Il a vécu dans la première moitié du XIXème siècle dans un pays qui essayait les mesures protectionnistes comme une façon de déclencher une croissance de l’économie.
C’est dans ce contexte social que sa petite oeuvre « Pétition des fabricants de chandelles » s'insère. Le texte, rédigé sous la forme d’une lettre adressée aux membres du Parlement, est une satire avec la quelle Bastiat se moque de quelques actions contre l’importation de produits étrangers de son gouvernement. L’auteur, qui se dit représentant des fabricants de chandelles, bougies et autres instruments d'éclairage, explique qu’il faut une loi pour interdire que le soleil entre dans les maisons. De cette façon, ses représentés vendraient plus et toute l’économie du pays en profiterait. Bastiat argumente que si les oranges du Portugal, à ce moment-là interdites, sont seulement une moitié moins chères que les nationales, c'est à dire : demi-gratuites, on devrait faire la même chose avec le soleil qui est completement gratuit.
no entiendo nada de esta frase... la mitad de la mitad es un cuarto, ¿no te parece? Umm. deux moities font l'unité, mon ami.
À part ses aspects humoristiques, voire grotesques, le texte de Fréderic Bastiat met en relief des aspects très clairs sur comment l’économie est regardée d’un point de vue simpliste. Bien qu’elle ait été écrite il y a plus de 150 ans, cette « Pétition » semble bien être d’actualité aujourd'hui.
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Modifié par rafaelix le 20-04-2017 19:4
Réponse : Production écrite - Article de braawr, postée le 20-04-2017 à 12:59:03 (S | E)
Bonjour,
J'espère que vous avez tous passé un bon lundi de Pâques.
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Je me permets de vous corriger ça
Réponse : Production écrite - Article de rafaelix, postée le 20-04-2017 à 19:42:27 (S | E)
Merci pour votre aide braawr. Les petits ruisseaux font les grandes rivières. :-)
Réponse : Production écrite - Article de alienor64, postée le 21-04-2017 à 12:00:34 (S | E)
Bonjour rafaelix
Un supplément d'aide !
Un lien sur l'expression de la condition avec 'si' : Lien internet
et un autre sur les pronoms relatifs composés : Lien internet
L’économiste français Frédéric Bastiat a été (ici, pour une question d'euphonie, mettez l'article élidé 'l' devant le mot qui suit)un des principaux défenseurs du libre commerce à son époque. Il a vécu dans la première moitié du XIXème siècle dans un pays qui essayait les mesures protectionnistes comme une façon de déclencher une croissance de l’économie.
C’est dans ce contexte social que sa petite oeuvre(cliquez sur la case grisée ' Accents' pour écrire le 'œ' de 'œuvre') « Pétition des fabricants de chandelles » s'insère(mieux : après 'que'). Le texte, rédigé sous la forme d’une lettre adressée aux membres du Parlement, est une satire avec la quelle(orthographe : en un seul mot) Bastiat se moque de quelques actions contre l’importation de produits étrangers de son gouvernement(après 'actions'). L’auteur, qui se dit représentant des fabricants de chandelles, bougies et autres instruments d'éclairage, explique qu’il faut une loi pour interdire que le soleil entre dans les maisons. De cette façon, ses représentés(devant ce mot, il manque un nom ! De quoi s'agit-il ? ) vendraient(devant ce verbe, il manque un pronom personnel réfléchi qui désigne le nom que vous avez oublié devant 'représentés'.) plus et toute l’économie du pays en profiterait. Bastiat argumente que si les oranges du Portugal, à ce moment-là interdites, sont(autre temps dans une proposition indiquant une hypothèse : voir lien ci-dessus) seulement une moitié moins chères que les nationales, c'est à dire(il manque deux traits d'union) : demi-gratuites, on devrait faire la même chose avec le soleil qui est completement(accent grave) gratuit.
no entiendo nada de esta frase... la mitad de la mitad es un cuarto, ¿no te parece? Umm. deux moitiés font l'unité, mon ami. Aunque las mates no sean lo mío, a mí también ¡ me parece un poco rara, la frase !
À part ses aspects humoristiques, voire grotesques, le texte de Fréderic Bastiat met en relief des aspects très clairs sur comment(mieux : 'la façon' + pronom relatif composé précédé d'une préposition : voir lien ci-dessus) l’économie est regardée d’un point de vue simpliste. Bien qu’elle ait été écrite il y a plus de 150 ans, cette « Pétition » semble bien être d’actualité aujourd'hui.
Bonne journée
Réponse : Production écrite - Article de rafaelix, postée le 23-04-2017 à 11:41:11 (S | E)
Merci alienor64.
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L’économiste français Frédéric Bastiat a été l'un des principaux défenseurs du libre commerce à son époque. Il a vécu dans la première moitié du XIXème siècle dans un pays qui essayait les mesures protectionnistes comme une façon de déclencher une croissance de l’économie.
C’est dans ce contexte social que s'insère sa petite œuvre « Pétition des fabricants de chandelles ». Le texte, rédigé sous la forme d’une lettre adressée aux membres du Parlement, est une satire avec laquelle Bastiat se moque de quelques actions de son gouvernement contre l’importation de produits étrangers. L’auteur, qui se dit représentant des fabricants de chandelles, bougies et autres instruments d'éclairage, explique qu’il faut une loi pour interdire que le soleil entre dans les maisons. De cette façon, ses marchands (??) représentés(devant ce mot, il manque un nom ! De quoi s'agit-il ? No lo veo claro...) vendraient(devant ce verbe, il manque un pronom personnel réfléchi qui désigne le nom que vous avez oublié devant 'représentés'.) ¿Qué reflexivo? se ? ) plus et toute l’économie du pays en profiterait. Bastiat argumente que comme (je crois que 'comme' est mieux ici. Le prix des oranges n'est pas une hypothèse) les oranges du Portugal, à ce moment-là interdites, étaient seulement une moitié moins chères que les nationales, c'est-à-dire : demi-gratuites, on devrait faire la même chose avec le soleil qui est complètement gratuit.
no entiendo nada de esta frase... la mitad de la mitad es un cuarto, ¿no te parece? Umm. deux moitiés font l'unité, mon ami. Aunque las mates no sean lo mío, a mí también ¡ me parece un poco rara, la frase !
Como pueden ver en el original (Lien internet
, es el propio Bastiat quien sugiere, sin duda de forma socarrona, esta "torsión del lenguaje".
À part ses aspects humoristiques, voire grotesques, le texte de Fréderic Bastiat met en relief des aspects très clairs sur la façon de laquelle l’économie est regardée d’un point de vue simpliste. Bien qu’elle ait été écrite il y a plus de 150 ans, cette « Pétition » semble bien être d’actualité aujourd'hui.
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Réponse : Production écrite - Article de alienor64, postée le 23-04-2017 à 19:47:58 (S | E)
Bojour rafaelix
C’est dans ce contexte social que s'insère sa petite œuvre « Pétition des fabricants de chandelles ». Le texte, rédigé sous la forme d’une lettre adressée aux membres du Parlement, est une satire avec(autre préposition) laquelle Bastiat se moque de quelques actions de son gouvernement contre l’importation de produits étrangers. L’auteur, qui se dit représentant des fabricants de chandelles, bougies et autres instruments d'éclairage, explique qu’il faut une loi pour interdire que le soleil entre dans les maisons. De cette façon, ses marchands (autre mot ; soit ce ne sont pas les marchands qui sont représentés, mais les chandelles, bougies, etc. Trouvez le mot qui convient et mettez le verbe 'vendre' à la forme pronominale, soit ce sont les vendeurs mandatés par le fabricant qui vont trouver les commerçants pour essayer de vendre ces produits et ces vendeurs ont un nom ; dans ce cas, le verbe 'vendre' ne sera pas pronominal)(??) représentés(devant ce mot, il manque un nom ! De quoi s'agit-il ? No lo veo claro...) vendraient(devant ce verbe, il manque un pronom personnel réfléchi qui désigne le nom que vous avez oublié devant 'représentés'.) ¿Qué reflexivo? se ? ¡ Sí ! ) plus et toute l’économie du pays en profiterait. Bastiat argumente que comme (je crois que 'comme' est mieux ici. Le prix des oranges n'est pas une hypothèse dans ce cas, conjuguez le verbe de la subordonnée introduite par 'comme' au présent)) les oranges du Portugal, à ce moment-là interdites, étaient seulement une moitié moins chères que les nationales, c'est-à-dire : demi-gratuites(mieux : 'à demi gratuites' ou ' semi-gratuites'), on devrait faire la même chose avec le soleil qui est complètement gratuit.
no entiendo nada de esta frase... la mitad de la mitad es un cuarto, ¿no te parece? Umm. deux moitiés font l'unité, mon ami. Aunque las mates no sean lo mío, a mí también ¡ me parece un poco rara, la frase !
Como pueden ver en el original (Lien internet
, es el propio Bastiat quien sugiere, sin duda de forma socarrona, esta "torsión del lenguaje". ¡Si lo dice Bastiat ! pero el enlace no funciona, no lo puedo abrir.
À part ses aspects humoristiques, voire grotesques, le texte de Fréderic(il manque un accent) Bastiat met en relief des aspects très clairs sur la façon de (autre préposition indiquant la manière)laquelle l’économie est regardée d’un point de vue simpliste. Bien qu’elle ait été écrite il y a plus de 150 ans, cette « Pétition » semble bien être d’actualité aujourd'hui.
Bonne soirée
Réponse : Production écrite - Article de rafaelix, postée le 24-04-2017 à 10:07:51 (S | E)
Bonjour alienor64,
(*)
(autre mot ;
- soit ce ne sont pas les marchands qui sont représentés, mais les chandelles, bougies, etc. Trouvez le mot qui convient et mettez le verbe 'vendre' à la forme pronominale,
soit ce sont les vendeurs mandatés par le fabricant qui vont trouver les commerçants pour essayer de vendre ces produits et ces vendeurs ont un nom ; dans ce cas, le verbe 'vendre' ne sera pas pronominal)(??)
C'est le second cas, mais plus simplifié. Les (pretendus) répresentés de M. Bastiat sont les fabricants qui, à cette époque-là, étaient ( très probablement ) aussi les vendeurs au public.
Avec tout le respect que je vous dois , je dirais qu'il ne faut pas ajouter un autre rôle.
(**)
no entiendo nada de esta frase... la mitad de la mitad es un cuarto, ¿no te parece? Umm. deux moitiés font l'unité, mon ami. Aunque las mates no sean lo mío, a mí también ¡ me parece un poco rara, la frase !
Como pueden ver en el original (Lien internet, es el propio Bastiat quien sugiere, sin duda de forma socarrona, esta "torsión del lenguaje". ¡Si lo dice Bastiat ! pero el enlace no funciona, no lo puedo abrir.
Oui. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai du mal à écrire les liens sur ce site. En tout cas, c'est un texte très facil à trouver sur Google. Et, très recommendable !
Merci.
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L’économiste français Frédéric Bastiat a été l'un des principaux défenseurs du libre commerce à son époque. Il a vécu dans la première moitié du XIXème siècle dans un pays qui essayait les mesures protectionnistes comme une façon de déclencher une croissance de l’économie.
C’est dans ce contexte social que s'insère sa petite œuvre « Pétition des fabricants de chandelles ». Le texte, rédigé sous la forme d’une lettre adressée aux membres du Parlement, est une satire par laquelle Bastiat se moque de quelques actions de son gouvernement contre l’importation de produits étrangers. L’auteur, qui se dit représentant des fabricants de chandelles, bougies et autres instruments d'éclairage, explique qu’il faut une loi pour interdire que le soleil entre dans les maisons. De cette façon, ses représentés (*) vendraient plus et toute l’économie du pays en profiterait. Bastiat argumente que comme les oranges du Portugal, à ce moment-là interdites, sont seulement une moitié moins chères que les nationales, c'est-à-dire : à demi gratuites, on devrait faire la même chose avec le soleil qui est complètement gratuit.(**)
À part ses aspects humoristiques, voire grotesques, le texte de Frédéric Bastiat met en relief des aspects très clairs sur la façon selon laquelle l’économie est regardée d’un point de vue simpliste. Bien qu’elle ait été écrite il y a plus de 150 ans, cette « Pétition » semble bien être d’actualité aujourd'hui.
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Réponse : Production écrite - Article de alienor64, postée le 24-04-2017 à 11:29:06 (S | E)
Bonjour rafaelix
L’économiste français Frédéric Bastiat a été l'un des principaux défenseurs du libre commerce à son époque. Il a vécu dans la première moitié du XIXème siècle dans un pays qui essayait les mesures protectionnistes comme une façon de déclencher une croissance de l’économie.
C’est dans ce contexte social que s'insère sa petite œuvre « Pétition des fabricants de chandelles ». Le texte, rédigé sous la forme d’une lettre adressée aux membres du Parlement, est une satire par laquelle Bastiat se moque de quelques actions de son gouvernement contre l’importation de produits étrangers. L’auteur, qui se dit représentant des fabricants de chandelles, bougies et autres instruments d'éclairage, explique qu’il faut une loi pour interdire que le soleil entre dans les maisons. De cette façon, ses représentés(*)(j'ai bien lu votre remarque ; mais ici, 'représentés' ne veut toujours pas dire grand-chose ! puente17 vous l'avait déjà signalé. Autre mot) vendraient plus et toute l’économie du pays en profiterait. Bastiat argumente que comme les oranges du Portugal, à ce moment-là interdites, sont seulement une moitié moins chères que les nationales, c'est-à-dire :(enlevez ces deux points) à demi gratuites, on devrait faire la même chose avec le soleil qui est complètement gratuit.(**)
À part ses aspects humoristiques, voire grotesques, le texte de Frédéric Bastiat met en relief des aspects très clairs sur la façon selon(autre préposition) laquelle l’économie est regardée d’un point de vue simpliste. Bien qu’elle ait été écrite il y a plus de 150 ans, cette « Pétition » semble bien être d’actualité aujourd'hui.
Bonne journée
Réponse : Production écrite - Article de rafaelix, postée le 25-04-2017 à 17:45:45 (S | E)
(*) (j'ai bien lu votre remarque ; mais ici, 'représentés' ne veut toujours pas dire grand-chose ! puente17 vous l'avait déjà signalé. Autre mot) Je me rends à vos arguments. Les fabricants sont ( figurativement ) des clients de M. Bastiat.
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L’économiste français Frédéric Bastiat a été l'un des principaux défenseurs du libre commerce à son époque. Il a vécu dans la première moitié du XIXème siècle dans un pays qui essayait les mesures protectionnistes comme une façon de déclencher une croissance de l’économie.
C’est dans ce contexte social que s'insère sa petite œuvre « Pétition des fabricants de chandelles ». Le texte, rédigé sous la forme d’une lettre adressée aux membres du Parlement, est une satire par laquelle Bastiat se moque de quelques actions de son gouvernement contre l’importation de produits étrangers. L’auteur, qui se dit représentant des fabricants de chandelles, bougies et autres instruments d'éclairage, explique qu’il faut une loi pour interdire que le soleil entre dans les maisons. De cette façon, ses clients (*) vendraient plus et toute l’économie du pays en profiterait. Bastiat argumente que comme les oranges du Portugal, à ce moment-là interdites, sont seulement une moitié moins chères que les nationales, c'est-à-dire à demi gratuites, on devrait faire la même chose avec le soleil qui est complètement gratuit.
À part ses aspects humoristiques, voire grotesques, le texte de Frédéric Bastiat met en relief des aspects très clairs sur la façon par laquelle l’économie est regardée d’un point de vue simpliste. Bien qu’elle ait été écrite il y a plus de 150 ans, cette « Pétition » semble bien être d’actualité aujourd'hui.
Réponse : Production écrite - Article de alienor64, postée le 26-04-2017 à 00:06:59 (S | E)
Bonsoir rafaelix
Je me rends à vos arguments. Les fabricants sont ( figurativement cet adverbe est rarement employé ; ici, je ne saisis pas bien son sens : Lien internet
) des clients de M. Bastiat. Avec le mot 'clients' comme sujet, on s'attend, en tout logique, au verbe 'acheter ' et non 'vendre'. Dans le cas présent, le mot 'clients' doit être remplacé par celui qui désigne un acheteur qui revend : c'est un revendeur ; ainsi, votre texte reste cohérent.
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L’économiste français Frédéric Bastiat a été l'un des principaux défenseurs du libre commerce à son époque. Il a vécu dans la première moitié du XIXème siècle dans un pays qui essayait les mesures protectionnistes comme une façon de déclencher une croissance de l’économie.
C’est dans ce contexte social que s'insère sa petite œuvre « Pétition des fabricants de chandelles ». Le texte, rédigé sous la forme d’une lettre adressée aux membres du Parlement, est une satire par(autre préposition : 'dans') laquelle Bastiat se moque de quelques actions de son gouvernement contre l’importation de produits étrangers. L’auteur, qui se dit représentant des fabricants de chandelles, bougies et autres instruments d'éclairage, explique qu’il faut une loi pour interdire que le soleil entre dans les maisons. De cette façon, ses clients (*( j'ai bien lu votre explication, mais 'clients' ne convient toujours pas : voir indications pour changer ce mot )) vendraient(autre verbe pour éviter 'revendeurs'/'vendre' : 'écouler') plus( à compléter : 'plus' de quoi ?) et toute l’économie du pays en profiterait. Bastiat argumente que comme les oranges du Portugal, à ce moment-là interdites, sont seulement une moitié moins chères que les nationales, c'est-à-dire à demi gratuites, on devrait faire la même chose avec le soleil qui est complètement gratuit.
La phrase suivante sera mieux formulée après ces quelques modifications :
À part ses aspects humoristiques, voire grotesques, le texte de Frédéric Bastiat met en relief des aspects très clairs sur la façon(enlever) par(autre préposition : avec) laquelle(accord avec 'point de vue') l’économie est regardée d'un point de vue simpliste(enlever 'd'un' ; à mettre à la place de 'la façon', précédé, bien sûr, d'un déterminant défini). Bien qu’elle ait été écrite il y a plus de 150 ans, cette « Pétition » semble bien être d’actualité.aujourd'hui(après 'être' et entre deux virgules)
Bonne soirée
Réponse : Production écrite - Article de rafaelix, postée le 27-04-2017 à 19:47:27 (S | E)
Voilà le texte modifié.
Merci à toutes et à tous.
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L’économiste français Frédéric Bastiat a été l'un des principaux défenseurs du libre commerce à son époque. Il a vécu dans la première moitié du XIXème siècle dans un pays qui essayait les mesures protectionnistes comme une façon de déclencher une croissance de l’économie.
C’est dans ce contexte social que s'insère sa petite œuvre « Pétition des fabricants de chandelles ». Le texte, rédigé sous la forme d’une lettre adressée aux membres du Parlement, est une satire dans laquelle Bastiat se moque de quelques actions de son gouvernement contre l’importation de produits étrangers. L’auteur, qui se dit représentant des fabricants de chandelles, bougies et autres instruments d'éclairage, explique qu’il faut une loi pour interdire que le soleil entre dans les maisons. De cette façon, ses confrères vendraient plus et toute l’économie du pays en profiterait. Bastiat argumente que comme les oranges du Portugal, à ce moment-là interdites, sont seulement une moitié moins chères que les nationales, c'est-à-dire à demi gratuites, on devrait faire la même chose avec le soleil qui est complètement gratuit.
À part ses aspects humoristiques, voire grotesques, le texte de Frédéric Bastiat met en relief des aspects très clairs sur le point de vue simpliste avec lequel l’économie est souvent regardée. Bien qu’elle ait été écrite il y a plus de 150 ans, cette « Pétition » semble bien être, aujourd'hui, d’actualité.
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Réponse : Production écrite - Article de alienor64, postée le 27-04-2017 à 23:24:40 (S | E)
Bonsoir rafaelix
Votre texte est maintenant tout à fait correct.
Bonne continuation
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