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Cloche (Imparfait -passé simple)

La cloche

Conte d’Andersen (extrait)

Cet exercice comporte 2 parties indiquées en lettres capitales. Dans la première partie de ce texte je vous propose de mettre les verbes entre parenthèses à l’imparfait alors qu’ils devront être au passé simple dans la seconde partie du texte.

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(IMPARFAIT)
Le soir, dans les rues étroites de la grande ville, vers le faubourg, lorsque le soleil (se coucher) et que les nuages (apparaître) comme un fond d’or sur les cheminées noires, tantôt l’un, tantôt l’autre (entendre) un son étrange, comme l’écho lointain d’une cloche d’église ; mais le son ne (durer) qu’un instant, le bruit des passants, des voitures, des charrettes l' (étouffer) aussitôt. Un peu hors de la ville, là où les maisons sont plus écartées les unes des autres et où il y a moins de mouvements, on (voir) beaucoup mieux le beau ciel enflammé par les rayons du soleil couchant, et on (percevoir) bien le son de la cloche, qui (sembler) provenir de la vaste forêt qui s' (entendre) au loin. C’est de ce côté que les gens (tendre) l’oreille, ils se (sentir) pris d’un doux sentiment de religieuse piété.

(PASSE SIMPLE)
On (finir) par se demander l’un à l’autre : « Il y a donc une église au fond de la forêt ? Quel son sublime elle a, cette cloche ! N’irons-nous pas l’entendre de plus près ? » Et, un beau jour, on (se mettre) en route : les gens riches en voiture, les pauvres à pied ; mais, aux uns comme aux autres, le chemin (paraître) étonnamment long et lorsque, arrivés à la lisière du bois, ils (apercevoir) un talus tapissé d’herbe et de mousse et planté de beaux saules, ils s’y (précipiter) et s’y (étendre) à leur aise.