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Participes passés : Maison paternelle

Un joli texte de Lamartine pour réviser les règles d'accord du participe passé !

Un peu de réflexion suffit pour ajouter les bonnes réponses.

Maison paternelle de Lamartine

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On entre d'abord dans un corridor large et bien éclairééclairéeJe ne sais pas mais dont la largeur est diminuédiminuéeJe ne sais pas par des sacs de blé ou de farine déposéedéposésJe ne sais pas là pour les besoins journaliers.
A gauche est la cuisine dont la porte est toujours ouvertouverteJe ne sais pas ce qui permet d'apercevoir une longue table de bois de chêne entouréentouréeJe ne sais pas de bancs.
Il est rare qu'on n'y voie pas des paysans attablésattabléesJe ne sais pas à toute heure du jour, car la nappe y est toujours mismiseJe ne sais pas, soit pour les ouvriers, soit pour ces survenants à qui on offre habituellement le couvert, dans les campagnes éloignéeséloignésJe ne sais pas des villes, et qui n'ont ni auberge, ni cabaret.
A droite, on entre dans la salle à manger (...) Dans le jardin, un escalier en pierres grossièrement taillétailléesJe ne sais pas, mène à l'étage unique.
Voilà tout l'intérieur de cette maison qui nous a si longtemps couvéscouvéJe ne sais pas dans ses murs sombres et chauds; voilà le nid qui nous abrita tant d'années...; le nid où la mort est venuevenuJe ne sais pas tout à tour prendre le père et la mère et dont les enfants se sont successivement envoléenvolésJe ne sais pas ! J'en conserve pieusement les restes.