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    La famille vietnamienne

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    La famille vietnamienne
    Message de lefuongthuy posté le 23-05-2018 à 16:04:30 (S | E | F)
    Bonjour,
    J'ai écrit un petit texte sur la famille vietnamienne. Pourriez-vous m'aider à le corriger ? Merci beaucoup.

    La famille a une valeur universelle comme le premier environnement social d’un enfant. C’est là où il apprend à parler ses premiers mots, à concevoir l’amour d’un être-vivant, à respecter les autres, à avoir de la reconnaissance pour les gens qui l’aiment et l’aident, et encore plus large, à être reconnaissant à la vie. La famille est sans doute le premier berceau de son développement personnel, de ses habitudes et de ses valeurs qui ont un impact le long de sa vie future. Pour les vietnamiens, la famille a une valeur pareille. C’est le noyau de la vie d’une personne, peu import de son éducation, sa richesse ou son statut dans la société.
    Dans la famille, le papa, en plus de son autorité, travaille dur pour subvenir aux besoins financiers de sa famille. Cela veut dire qu’il a le rôle principal d’amener le riz à la maison. La mère est bien respectée dans la famille. Avec son mari, ils éduquent les enfants, les protègent, les disciplinent et surtout assurent le modèle de vie pour les enfants. La mère a un côté doux et attentif d’une femme donc elle s’occupe aussi du foyer et des relations externes avec les voisins, les amis de la famille et les grandes familles de deux côtés comme avec les grands-parents, les oncles, les tantes… La piété filiale est la plus importante valeur dans la famille et voire dans la société. Une personne sera jugée mauvais citoyen, mauvais futur salarié ou même mauvais époux si on apprend qu’elle ne pratique pas l’amour filial. La famille est donc très attachée. Ce n’est pas rare de voir que des grands-parents vivent encore avec leurs enfants, spécialement avec leur fils aîné ou cadet. Non seulement les parents ont la chance de s’occuper des grands-parents vieillissants, de se montrer comme le rôle modèle pour les enfants, mais aussi dans nôtre croyance, les grands-parents sont des sources de sagesse. C’est une chance de vivre et grandir avec eux. Les grands-parents aident aussi à s’occuper des enfants quand les parents partent au travail. Garder les enfants est sans doute une source de joie de vie pour les grands-parents. Donc on peut voir deux ou trois générations cohabitent sous la même toile. Dans nôtre société, ce n’est pas très acceptable de laisser les grands-parents vivre seules quand ils sont vieillis. Si c’est le cas, on juge leurs enfants mauvais ou on estime que les parents auraient dû mal se comporter dans le passé. Dans tout cas, on cherche une raison pour cette situation. On ne prend pas la situation comme normale comme c’est le cas dans les sociétés occidentaux. Il n’y a pas encore la notion de maison de retraite dans nôtre société.
    Qu’est ce qui se passe si les grands-parents sont morts ? On croit que la vie continue même après la morte. On croit à une vie parallèle des morts. Et les morts dans la famille sont toujours là avec les vivants, les surveillent et les protègent. On pratique alors le culte des ancêtres. On fait part aux morts un événement important comme l’anniversaire des morts, l’innovation de la maison, l’examen prochain d’un enfant ou son réussit d’un examen important, le mariage d’un enfant ou le nouvel an lunaire. Dans une maison vietnamienne, il y a toujours un endroit sacré pour vénérer les ancêtres. Cela peut être la salle principale dans la maison ou une salle séparée bien respectueuse. Un autel consiste souvent une table sur laquelle il y a souvent une planche en bois marquant le nom des défunts, leurs photographies, une corbeille de fruits, une vase de fleurs, des bâton d’encens, des chandeliers, et quelques verres pour contenir de l’eau ou de l’alcool de riz. Quand la famille veut faire la prière aux morts, c’est souvent le papa au premier rang, sa femme et leurs enfants l’accompagnent au deuxième rang. Chacun avec les bâtons d’encens, le papa va parler à haute voix pour annoncer la date de ce jour-là et l’évènement. Et puis il invite les morts de revenir à la maison pour assister à l’événement, à être avec la famille, à porter bonheur aux enfants pour l’examen, à porter la protection pendant l’innovation de la maison, à accepter le remerciement pour toutes les bonnes chances que la famille a reçues… Dans tous les cas, dans la réussite de la famille ou de chacun membre de la famille, il y a toujours une partie venant de nos ancêtres et de leurs légendes, donc il faut toujours montrer nôtre respect et nôtre reconnaissance pour eux. C’est aussi comme cela qu’on transmet aux enfants les valeurs de la piété filiale et de la reconnaissance aux aides qu’on reçoit. Un enfant bien élevé alors part avec lui des valeurs essentielles pour commencer la vie d’un adulte dans le monde extérieur. On croit à la valeur de la famille pour la réussite d’un individuel et même pour la société.


    Réponse : La famille vietnamienne de jij33, postée le 25-05-2018 à 07:57:57 (S | E)
    Bonjour Lefuongthuy
    Votre texte est long : les corrections vous seront proposées en deux parties. Vous pouvez d'ores et déjà modifier celle-ci.
    C'est là que, c'est là où : Lien internet
    Pronoms possessifs : Lien internet
    Déterminant possessif : Lien internet
    Tournure impersonnelle : Lien internet

    La famille a une valeur universelle comme le (mieux sans "le" ; on peut dire aussi "en tant que") premier environnement social d’un enfant. C’est là (voir lien ci-dessus) il apprend à parler ses premiers mots, à concevoir l’amour d’un être-vivant (sans trait d'union), à respecter les autres, à avoir de la reconnaissance pour les gens qui l’aiment et l’aident, et encore plus large (remplacer par l'adverbe de la même famille), à être reconnaissant à la vie. La famille est sans doute le premier berceau de son développement personnel, de ses habitudes et de ses (contraction de de + les) valeurs qui ont (au futur) un impact le long (on dit plutôt "tout au long de") de sa vie future (supprimer, car le futur et "tout au long de" rendent ce mot pléonastique). Pour les vietnamiens (les noms de nationalité prennent une majuscule), la famille a une valeur pareille (compréhensible mais peu courant : synonyme). C’est le noyau de la vie d’une personne, peu import (il manque une lettre) de (supprimer) son éducation, sa richesse ou son statut dans la société.
    Dans la famille, le papa (autre terme, plus général), en plus de son autorité, travaille dur pour subvenir aux besoins financiers de sa famille. Cela veut dire qu’il a le rôle principal d’amener le riz à la maison. La mère est bien respectée dans la famille. Avec son mari, (soit avec son mari, elle + verbes au singulier, soit "les parents") ils éduquent les enfants, les protègent, les disciplinent et surtout assurent le modèle de vie pour les enfants. La mère a un côté doux et attentif d’une femme donc elle s’occupe aussi du foyer et des relations externes avec les voisins, les amis de la famille et les grandes familles de (contraction de de + les) deux côtés comme (remplacer par les deux-points) avec les grands-parents, les oncles, les tantes… La piété filiale est la (placer "valeur" ici et ajouter un déterminant devant le superlatif comme dans le bien le plus précieux) plus importante valeur dans la famille et (remplacer par une virgule) voire dans la société. Une personne sera jugée mauvais citoyen, mauvais futur salarié ou même mauvais époux si on apprend qu’elle ne pratique pas l’amour filial. La famille est donc très attachée (mieux : soudée). Ce (remplacer par le pronom sujet des tournures impersonnelles) n’est pas rare de voir que des grands-parents vivent encore avec leurs enfants, spécialement avec leur fils aîné ou cadet. Non seulement les parents ont la chance de s’occuper des grands-parents vieillissants, de se montrer comme le rôle (remplacer par le déterminant défini et mettre le nom qui suit au pluriel) modèle pour les enfants, mais aussi dans nôtre (pas d'accent circonflexe sur le déterminant possessif, seulement sur le pronom le(s) nôtre(s)) croyance, les grands-parents sont des sources de sagesse. C’est une chance de vivre et (répéter la préposition) grandir avec eux. Les grands-parents aident aussi à s’occuper des enfants quand les parents partent au travail. Garder les enfants est sans doute une source de joie de vie pour les grands-parents. Donc (après "on peut", car donc a ici une valeur adverbiale) on peut voir deux ou trois générations cohabitent (infinitif ou participe présent) sous la même toile. Dans nôtre (sans accent) société, ce (remplacer par le sujet des verbes impersonnels) n’est pas très acceptable de laisser les grands-parents vivre seules (accord avec grands-parents) quand ils sont vieillis (sont âgés ou ont vieilli). Si c’est le cas, on juge leurs enfants mauvais ou on estime que les parents auraient dû (pas de conditionnel : passé composé) mal se comporter dans le passé. Dans (autre préposition) tout cas, on cherche une raison pour cette situation. On ne prend (verbe considérer) pas la situation comme normale comme c’est le cas dans les sociétés occidentaux (accord avec le nom qui précède). Il n’y a pas encore la notion de maison de retraite dans nôtre société.
    Bonne correction.



    Réponse : La famille vietnamienne de lefuongthuy, postée le 25-05-2018 à 17:41:48 (S | E)
    Bonjour jij33,
    Merci pour votre temps.
    Voici la correction :

    La famille a une valeur universelle en tant que premier environnement social d’un enfant. C’est là qu’il apprend à parler ses premiers mots, à concevoir l’amour d’un être vivant, à respecter les autres, à avoir de la reconnaissance pour les gens qui l’aiment et l’aident, et encore plus grand, à être reconnaissant à la vie. La famille est sans doute le premier berceau de son développement personnel, de ses habitudes et des valeurs qui auront un impact tout au long de sa vie. Pour les Vietnamiens, la famille a une valeur identique. C’est le noyau de la vie d’une personne, peu importe son éducation, sa richesse ou son statut dans la société.

    Dans la famille, le père, en plus de son autorité, travaille dur pour subvenir aux besoins financiers de sa famille. Cela veut dire qu’il a le rôle principal d’amener le riz à la maison. La mère est bien respectée dans la famille. Avec son mari, elle éduque ses enfants, les protège, les discipline et surtout assure le modèle de vie pour eux. La mère a un côté doux et attentif d’une femme donc elle s’occupe aussi du foyer et des relations externes avec les voisins, les amis de la famille et les grandes familles des deux côtés : les grands-parents, les oncles, les tantes… La piété filiale est la valeur la plus importante dans la famille, voire dans la société. Une personne sera jugée mauvais citoyen, mauvais futur salarié ou même mauvais futur époux si on apprend qu’elle ne pratique pas l’amour filial. La famille est donc très soudée. Il n’est pas rare de voir que des grands-parents vivent encore avec leurs enfants, spécialement avec leur fils aîné ou cadet. Non seulement les parents ont la chance de s’occuper des grands-parents vieillissants, de se montrer comme les modèles pour les enfants, mais aussi dans notre croyance, les grands-parents sont des sources de sagesse. C’est une chance de vivre et de grandir avec eux. Les grands-parents aident également à s’occuper des enfants quand les parents partent au travail. Garder les enfants est sans doute une source de joie de vie pour les grands-parents. On peut donc voir deux ou trois générations cohabitant sous le même toit. Dans notre société, il n’est pas très acceptable de laisser les grands-parents vivre seuls quand ils ont vieilli. Si c’est le cas, on juge leurs enfants mauvais ou on estime que les parents auraient dû (pas de conditionnel : passé composé → ici je voudrais exprimer une hypothèse, un fait incertain donc j’ai utilisé le conditionnel. Faut-il absolument utiliser le passé composé ? ) mal se comporter envers leurs enfants dans le passé. En tout cas, on cherche une raison pour cette situation. On ne considère pas la situation comme normale comme c’est le cas dans les sociétés occidentales. Il n’y a pas encore la notion de maison de retraite dans notre société.



    Réponse : La famille vietnamienne de jij33, postée le 26-05-2018 à 08:23:17 (S | E)
    Bonjour
    La famille a une valeur universelle en tant que premier environnement social d’un enfant. C’est là qu’il apprend à parler (inutile : alourdit la phrase sans apporter davantage de sens) ses premiers mots, à concevoir l’amour d’un être vivant, à respecter les autres, à avoir de la reconnaissance pour les gens qui l’aiment et l’aident, et encore plus grand (l'adverbe de manière formé sur large vous avait été conseillé ; voici des mots de la famille de large : largeur, élargir... Formez l'adverbe ), à être reconnaissant à la vie. La famille est sans doute le premier berceau de son développement personnel, de ses habitudes et des valeurs qui auront un impact tout au long de sa vie. Pour les Vietnamiens, la famille a une valeur identique. C’est le noyau de la vie d’une personne, peu importe son éducation, sa richesse ou son statut dans la société.

    Dans la famille, le père, en plus de son autorité, travaille dur pour subvenir aux besoins financiers (mieux : matériels) de sa famille. Cela veut dire qu’il a le rôle principal d’amener (on amène quelqu'un et on apporte quelque chose : cette erreur est très fréquente) le riz à la maison. La mère est bien respectée dans la famille. Avec son mari, elle éduque ses enfants, les protège, les discipline et surtout assure le modèle de vie pour eux. La mère a un côté doux et attentif d’une femme donc elle s’occupe aussi du foyer et des relations externes avec les voisins, les amis de la famille et les grandes familles des deux côtés : les grands-parents, les oncles, les tantes… La piété filiale est la valeur la plus importante dans la famille, voire dans la société. Une personne sera jugée mauvais citoyen, mauvais futur salarié ou même mauvais futur époux si on apprend qu’elle ne pratique pas l’amour filial. La famille est donc très soudée. Il n’est pas rare de voir que des grands-parents vivent encore avec leurs enfants, spécialement avec leur fils aîné ou cadet. Non seulement les parents ont la chance de s’occuper des grands-parents vieillissants, de se montrer comme les (le déterminant indéfini conviendrait mieux) modèles pour les enfants, mais aussi dans notre croyance, les grands-parents sont des sources de sagesse. C’est une chance de vivre et de grandir avec eux. Les grands-parents aident également à s’occuper des enfants quand les parents partent au travail. Garder les enfants est sans doute une source de joie de vie (cette erreur m'avait échappé : mettre à l'infinitif) pour les grands-parents. On peut donc voir deux ou trois générations cohabitant sous le même toit. Dans notre société, il n’est pas très (supprimer) acceptable de laisser les grands-parents vivre seuls quand ils ont vieilli. Si c’est le cas, on juge leurs enfants mauvais ou on estime que les parents auraient dû (pas de conditionnel : passé composé → ici je voudrais exprimer une hypothèse, un fait incertain donc j’ai utilisé le conditionnel. Faut-il absolument utiliser le passé composé ? Le conditionnel est incorrect ici. Remplacez devoir par pouvoir au passé composé et introduisez l'adverbe peut-être dans votre phrase. Vous obtiendrez ainsi la probabilité.) mal se comporter envers leurs enfants dans le passé. En tout cas, on cherche une raison pour cette situation. On ne considère pas la situation (vous pouvez éviter la répétition grâce à un pronom personnel COD placé avant considère) comme normale comme c’est le cas dans les sociétés occidentales. Il n’y a pas encore la notion de maison de retraite dans notre société.
    Bon weekend.



    Réponse : La famille vietnamienne de lefuongthuy, postée le 27-05-2018 à 11:46:05 (S | E)
    Bonjour jij33,
    Voici la correction. Bon dimanche.

    La famille a une valeur universelle en tant que premier environnement social d’un enfant. C’est là qu’il apprend ses premiers mots, à concevoir l’amour d’un être vivant, à respecter les autres, à avoir de la reconnaissance pour les gens qui l’aiment et l’aident, et encore plus largement à être reconnaissant à la vie. La famille est sans doute le premier berceau de son développement personnel, de ses habitudes et des valeurs qui auront un impact tout au long de sa vie. Pour les Vietnamiens, la famille a une valeur identique. C’est le noyau de la vie d’une personne, peu importe son éducation, sa richesse ou son statut dans la société.

    Dans la famille, le père, en plus de son autorité, travaille dur pour subvenir aux besoins matériels de sa famille. Cela veut dire qu’il a le rôle principal d’apporter le riz à la maison. La mère est bien respectée dans la famille. Avec son mari, elle éduque ses enfants, les protège, les discipline et surtout assure le modèle de vie pour eux. La mère a un côté doux et attentif d’une femme donc elle s’occupe aussi du foyer et des relations externes avec les voisins, les amis de la famille et les grandes familles des deux côtés : les grands-parents, les oncles, les tantes… La piété filiale est la valeur la plus importante dans la famille, voire dans la société. Une personne sera jugée mauvais citoyen, mauvais futur salarié ou même mauvais futur époux si on apprend qu’elle ne pratique pas l’amour filial. La famille est donc très soudée. Il n’est pas rare de voir que des grands-parents vivent encore avec leurs enfants, spécialement avec leur fils aîné ou cadet. Non seulement les parents ont la chance de s’occuper des grands-parents vieillissants, de se montrer comme des modèles pour les enfants, mais aussi dans notre croyance, les grands-parents sont des sources de sagesse. C’est une chance de vivre et de grandir avec eux. Les grands-parents aident également à s’occuper des enfants quand les parents partent au travail. Garder les enfants est sans doute une source de joie de vivre pour les grands-parents. On peut donc voir deux ou trois générations cohabitant sous le même toit. Dans notre société, il n’est pas acceptable de laisser les grands-parents vivre seuls quand ils ont vieilli. Si c’est le cas, on juge leurs enfants mauvais ou on estime que peut-être les parents ont pu mal se comporter envers leurs enfants dans le passé. En tout cas, on cherche une raison pour cette situation. On ne la considère pas comme normale comme c’est le cas dans les sociétés occidentales. Il n’y a pas encore la notion de maison de retraite dans notre société.



    Réponse : La famille vietnamienne de jij33, postée le 28-05-2018 à 15:22:38 (S | E)
    Bonjour lefuongthuy
    La première partie est désormais correcte, hormis une virgule à déplacer et une autre à ajouter dans cette phrase : "C’est là qu’il apprend ses premiers mots, à concevoir l’amour d’un être vivant, à respecter les autres, à avoir de la reconnaissance pour les gens qui l’aiment et l’aident, (pas de virgule avant et mais virgule après) et encore plus largement (virgule) à être reconnaissant à la vie." Il est inutile de renvoyer ce passage.

    Qu’est ce qui (L'inversion du sujet est préférable : Que...) se passe si (conjonction introduisant plutôt le temps) les grands-parents sont morts (plutôt au présent) ? On croit que la vie continue même après la morte (orthographe). On croit à une vie parallèle des morts. Et les morts dans (autre préposition, introduisant le complément du nom famille) la famille sont toujours là avec les vivants, les surveillent et les protègent. On pratique alors (mieux : donc) le culte des ancêtres. On fait part aux morts (il manque une préposition) un événement important comme l’anniversaire des morts, l’innovation (que voulez-vous dire ?) de la maison, l’examen prochain d’un enfant ou son (le mot qui suit est féminin) réussit (orthographe) d’ (autre préposition) un examen important, le(éviter la répétition en remplaçant les mots soulignés par un déterminant possessif) mariage d’un enfant ou le nouvel an lunaire. Dans une maison vietnamienne, il y a toujours un endroit sacré pour vénérer les ancêtres. Cela peut être la salle principale dans (autre préposition pour introduire le complément du nom) la maison ou une salle séparée (virgule) bien respectueuse. Un (déterminant défini, puisqu'il s'agit de celui de chaque maison) autel consiste souvent (il manque une préposition) une table sur laquelle il y a souvent (remplacer par se trouver) une planche en bois marquant (indiquer au participe présent) le nom des défunts, leurs photographies, une corbeille de fruits, une (accord avec le nom qui suit) vase de fleurs, des bâton (vous avez mis le déterminant au pluriel, mais pas le nom) d’encens, des chandeliers, et quelques verres pour contenir (au participe présent) de l’eau ou de l’alcool de riz. Quand la famille veut faire la prière aux morts, c’est souvent (supprimer et remplacer par le verbe être avant "au premier rang") le papa (mot moins familier) au premier rang, sa femme et leurs enfants l’accompagnent au deuxième (autre mot synonyme quand il y a seulement deux unités) rang. Chacun avec (remplacer par tenir au présent) les (déterminant indéfini) bâtons d’encens, le papa va parler (au présent) à haute voix pour annoncer la date de ce jour-là et l’évènement. Et puis il invite les morts de (autre préposition) revenir à la maison pour assister à l’événement, à être avec la famille, à porter bonheur aux enfants pour l’examen, à porter la protection (remplacer par le verbe de la même famille que protection) pendant l’innovation (ce terme ne convient pas) de la maison, à accepter le remerciement pour toutes les bonnes chances que la famille a reçues… Dans tous les cas, dans la réussite de la famille ou de chacun de ses membres de la famille (supprimer), il y a toujours une partie venant de nos ancêtres et de leurs légendes, donc (après il faut) il faut toujours montrer nôtre respect et nôtre (sans accent) reconnaissance pour eux (remplacer par un autre pronom personnel placé avant montrer). C’est aussi comme cela qu’on transmet aux enfants les valeurs de la piété filiale et de la reconnaissance aux (autre préposition, introduisant le but) aides [(au singulier) qu’on reçoit. Un enfant bien élevé alors part avec lui (peu clair : emporte avec lui ?) des valeurs essentielles pour commencer la (déterminant possessif) vie d’un (supprimer) adulte dans le monde extérieur. On croit à la valeur de la famille pour la réussite d’un (supprimer) individuel (accord avec réussite) et même pour la société (remplacer par l'adjectif de même radical que "société").
    Bonne suite de correction.



    Réponse : La famille vietnamienne de lefuongthuy, postée le 29-05-2018 à 17:58:48 (S | E)
    Bonjour jij33,
    C'est bien noté pour le premier paragraphe. Merci beaucoup. Voici la correction pour la deuxième partie.

    Que se passe-t-il quand les grands-parents meurent ? On croit que la vie continue même après la mort. On croit à une vie parallèle des morts et les morts de la famille sont toujours là avec les vivants, les surveillent et les protègent. On pratique donc le culte des ancêtres. On fait part aux morts d’un évènement important comme l’anniversaire des morts, la rénovation de la maison, l’examen prochain d’un enfant ou sa réussite à un examen important, son mariage, le nouvel an lunaire… Dans une maison vietnamienne, il y a toujours un endroit sacré pour vénérer les ancêtres. Cela peut être la salle principale de la maison ou une salle séparée, bien respectueuse. L’autel consiste souvent en une table sur laquelle se retrouvent une planche en bois indiquant le nom des défunts, leur photographie, une corbeille de fruits, un vase de fleurs, des bâtons d’encens, des chandeliers et quelques verres contenant de l’eau ou de l’alcool de riz. Quand la famille veut faire la prière aux morts, le père est au premier rang, sa femme et leurs enfants l’accompagnent en derrière. Chacun tenant des bâtons d’encens, le père parle à haute voix pour annoncer la date de ce jour-là et l’évènement. Et puis il invite les morts à revenir à la maison pour assister à l’évènement, à être avec la famille, à porter bonheur aux enfants pour l’examen, à protéger les travaux pendant la rénovation de la maison, à accepter le remerciement pour toutes les bonnes chances que la famille a reçues… Dans tous les cas, dans la réussite de la famille ou de chacun de ses membres, il y a toujours une partie venant de nos ancêtres et de leur légende, il faut donc toujours les montrer notre respect et notre reconnaissance. C’est aussi comme cela qu’on transmet aux enfants les valeurs de la piété filiale et de la gratitude pour l’aide qu’on reçoit. Un enfant bien élevé emporte avec lui des valeurs essentielles pour commencer sa vie d’adulte dans le monde extérieur. On croit à la valeur de la famille pour la réussite individuelle et même sociale.



    Réponse : La famille vietnamienne de jij33, postée le 30-05-2018 à 06:24:13 (S | E)
    Bonjour lefuongthuy
    Que se passe-t-il quand les grands-parents meurent ? On croit que la vie continue même après la mort. On croit à une vie parallèle des morts et les morts (la répétition peut être évitée en remplaçant les mots soulignés par un pronom démonstratif) de la famille sont toujours là avec les vivants, les surveillent et les protègent. On pratique donc le culte des ancêtres. On fait part aux morts (idem : remplacer par un pronom personnel à placer après "on") d’un évènement important comme l’anniversaire des morts, la rénovation de la maison, l’examen prochain d’un enfant ou sa réussite à un examen important, son mariage, le nouvel an lunaire… Dans une maison vietnamienne, il y a toujours un endroit sacré pour vénérer les ancêtres. Cela peut être la salle principale de la maison ou une salle séparée, bien respectueuse. L’autel consiste souvent en une table sur laquelle se retrouvent (le préfixe est inutile) une planche en bois (la plupart des planches étant en bois, vous pouvez supprimer) indiquant le nom des défunts, leur photographie, une corbeille de fruits, un vase de fleurs, des bâtons d’encens, des chandeliers et quelques verres contenant de l’eau ou de l’alcool de riz. Quand la famille veut faire la prière aux morts, le père est au premier rang, sa femme et leurs enfants l’accompagnent en (supprimer) derrière. Chacun tenant des bâtons d’encens, le père parle à haute voix pour annoncer la date de ce jour-là et l’évènement. Et puis il invite les morts à revenir à la maison pour assister à l’évènement, à être avec la famille, à porter bonheur aux enfants pour l’examen, à protéger les travaux pendant la rénovation de la maison, à accepter le remerciement pour toutes les bonnes chances que la famille a reçues… Dans tous les cas, dans la réussite de la famille ou de chacun de ses membres, il y a toujours une partie venant de nos ancêtres et de leur légende, il faut donc toujours les (autre pronom, car "les" est COD. Ici, le pronom est complément d'objet second) montrer notre respect et notre reconnaissance. C’est aussi comme cela (alléger en remplaçant par un seul adverbe : ainsi) qu’on transmet aux enfants les valeurs de la piété filiale et de la gratitude pour l’aide qu’on reçoit. Un enfant bien élevé emporte avec lui des valeurs essentielles pour commencer sa vie d’adulte dans le monde extérieur. On croit à la valeur de la famille pour la réussite individuelle et même sociale.
    Bonne journée.



    Réponse : La famille vietnamienne de lefuongthuy, postée le 30-05-2018 à 16:05:50 (S | E)
    Bonjour jij33,
    Voici la correction :

    Que se passe-t-il quand les grands-parents meurent ? On croit que la vie continue même après la mort. On croit à une vie parallèle des morts et ceux de la famille sont toujours là avec les vivants, les surveillent et les protègent. On pratique donc le culte des ancêtres. On leur fait part d’un évènement important comme l’anniversaire des morts, la rénovation de la maison, l’examen prochain d’un enfant ou sa réussite à un examen important, son mariage, le nouvel an lunaire… Dans une maison vietnamienne, il y a toujours un endroit sacré pour vénérer les ancêtres. Cela peut être la salle principale de la maison ou une salle séparée, bien respectueuse. L’autel consiste souvent en une table sur laquelle se trouvent une planche indiquant le nom des défunts, leur photographie, une corbeille de fruits, un vase de fleurs, des bâtons d’encens, des chandeliers et quelques verres contenant de l’eau ou de l’alcool de riz. Quand la famille veut faire la prière aux morts, le père est au premier rang, sa femme et leurs enfants l’accompagnent derrière. Chacun tenant des bâtons d’encens, le père parle à haute voix pour annoncer la date de ce jour-là et l’évènement. Et puis il invite les morts à revenir à la maison pour assister à l’évènement, à être avec la famille, à porter bonheur aux enfants pour l’examen, à protéger les travaux pendant la rénovation de la maison, à accepter le remerciement pour toutes les bonnes chances que la famille a reçues… Dans tous les cas, dans la réussite de la famille ou de chacun de ses membres, il y a toujours une partie venant de nos ancêtres et de leur légende, il faut donc toujours leur montrer notre respect et notre reconnaissance. C’est ainsi qu’on transmet aux enfants les valeurs de la piété filiale et de la gratitude pour l’aide qu’on reçoit. Un enfant bien élevé emporte avec lui des valeurs essentielles pour commencer sa vie d’adulte dans le monde extérieur. On croit à la valeur de la famille pour la réussite individuelle et même sociale.



    Réponse : La famille vietnamienne de jij33, postée le 31-05-2018 à 07:08:21 (S | E)
    Lefuongthuy !
    Deux petites remarques : "accepter le remerciement pour toutes les bonnes chances que la famille a reçues…". L'idée se comprend parfaitement, mais la formulation est inhabituelle : j'aurais dit "pour tous les bienfaits que la famille a reçus".
    Vous écrivez "évènement" : avant 1990, cette accentuation était erronée : on devait écrire événement, qui ne correspond pas à la prononciation. Je le précise pour ceux qui auraient pu penser que je n'avais pas vu l'erreur : ce n'en est plus une.
    Bonne continuation dans votre approfondissement du français.



    Réponse : La famille vietnamienne de lefuongthuy, postée le 31-05-2018 à 18:22:14 (S | E)
    Bonjour jij33,
    Merci beaucoup pour votre aide. Je vous suis très reconnaissante. Bonne soirée.

    Thuy.




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