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    Message de itl posté le 06-08-2018 à 09:12:07 (S | E | F)
    Bonjour à tous, j'ai vraiment des difficultés en écrit aussi je vous poste cette petite histoire afin de m'exercer et pour être corrigé. Merci
    Je me nomme XYZ, tout le monde m’appelle Z, j’ai ...ans et je suis mariée. J’ai 04 enfants, une adorable petite fille et trois magnifiques garçons, nous habitons à A.
    Commençons par mon enfance
    Parler de mon enfance est dur pour moi, car cela me fait revivre tant de chose qui me brise le cœur. Toutefois, je vais faire un petit résumé de cette rude époque.
    Ma mère était infirmière d’état et mon père chauffeur de taxi. On était 05 à la maison, mes parents moi et mes 02 petits frères.
    Ma mère est morte très jeune d’une maladie cardiaque causée par l’adultère de mon père. A l’âge de 12 ans j’étais obligé d’arrêter l’école pendant une année pour s’occuper de mon dernier frère qui n’avait que 11 mois lorsque ma mère viens de décédé. Je me souviens bien que j’ai pleuré quand je devrais laver les linges avec mon frère au dos ou quand je voulais jouer avec mes amis mais je devrais encore faire dormir mon frère ou encore quand mon frère avait fait une crise d’épilepsie et pour l’éviter de mordre sa langue j’ai enfoncé mon pouce dans sa bouche.
    A la maison je jouais le rôle de parents car mon père était toujours absent non pas à cause de son travail mais à cause de ses nombreuses maîtresses.
    Parlons maintenant de mon adolescence
    En voyant notre calvaire, mon oncle paternel a décidé de nous héberger et de nous élevé comme ses propres enfants. J’ai commencé à vivre comme tous les enfants du village sans me soucié trop de mes 02 frères car ma tante a pris bien soin d’eux, j’ai repris l’école.
    Mais un jour ma grand-mère maternelle était venu chez nous et a dis à mon père qu’elle voulait m’élevé en souvenir de ma mère. J’étais tellement heureuse et j’ai pensé que ma vie va encore changer. Malheureusement, ce n’était pas du tout à quoi je m’attendais. Ma grand-mère m’a placé chez ma tante, une des sœurs de ma défunte mère, dès mon arrivée elle m’a dit qu’en récompense de la nourriture et du toit qu’elle me donne je devrais faire le ménage chaque jours sans demandé l’aide de quelqu’un surtout de ses 02 filles qui étaient 02 ans de mon cadet. Avant d’aller à l’école je devrais chercher de l’eau bien rangé la maison et faire le marché. Après l’école je devrais faire la lessive et la vaisselle, chercher de l’eau, et même si j’ai fini tôt toutes les tâches ménagères je ne pouvais pas dormir que très tard dans la nuit.
    Après mon brevet, je n’ai pas pu continuer d’étudier car ma grand-mère ne voulait plus payer mes études et elle m’a forcé même de travailler comme femme de ménage chez ma tante dans son gargote où j’étais payé par des restes des nourritures qui sont en train d’être moisi ou pourri. Chaque matin, je regardais en pleurant par la fenêtre mes camarades de classe qui passaient pour aller à l’école.
    Mon autre tante m’a promis qu’elle m’embaucherait en tant que secrétaire au sein de sa société mais en attendant je devrais commencer par le nettoyage tous les jours après que j’ai fini de faire tous mes travaux dans la gargote. Et j’attendais mais au fil des années j’étais toujours agent de nettoyage.
    Malgré tous mes appels à l’aide à mon père, ce dernier se contentait de vivre sa belle vie avec ma belle mère qui était sa maîtresse à l’époque où ma mère était encore vivante.
    Seule bonne chose que je me souviens en ce temps était la rencontre avec l’homme qui serait mon mari quelques années plus tard.


    Réponse : Besoin d'aide de alienor64, postée le 06-08-2018 à 10:25:36 (S | E)
    Bonjour itl

    En nous demandant de l'aide, vous vous engagez à nous envoyer votre texte autant de fois que nécessaire jusqu'à sa complète correction. Comme vous n'avez pas achevé la correction de certains de vos textes , vous rappeler que tout travail commencé doit être mené à son terme n'est pas inutile. C'est ainsi que fonctionne ce forum.

    L'élision : Lien internet
    - La voix passive : Lien internet
    - Les conjonctions : Lien internet


    Je me nomme XYZ, tout le monde m’appelle Z, j’ai ...ans et je suis mariée. J’ai 04(un seul chiffre à écrire en lettres) enfants, une adorable petite fille et trois magnifiques garçons,(autre ponctuation : point-virgule) nous habitons à A.
    Commençons par mon enfance(ponctuation en fin de phrase)
    Parler de mon enfance est dur pour moi, car cela me fait revivre tant de chose(pourquoi ce singulier alors qu'il y en a 'tant' ? Faire l'accord du verbe) qui me brise le cœur. Toutefois, je vais faire un petit résumé de cette rude époque.
    Ma mère était infirmière d’état(majuscule) et mon père chauffeur de taxi. On était 05(voir plus haut) à la maison, mes parents moi(la bienséance veut que l'on se cite après les autres) et mes 02(voir plus haut) petits frères.
    Ma mère est morte très jeune d’une maladie cardiaque causée par l’adultère de mon père. A l’âge de 12(en lettres) ans (virgule) j’étais obligé(passé composé à la voix passive et accord du participe : voir lien) d’arrêter l’école pendant une année pour s'occuper(autre pronom réfléchi devant ce verbe) de mon dernier frère qui n’avait que 11(en lettres) mois lorsque ma mère viens(3e personne + autre temps) de décédé(erreur : infinitif). Je me souviens bien que j'ai pleuré(à remplacer par un infinitif passé actif) quand je devrais(pourquoi ce conditionnel ? Autre mode et autre temps : imparfait de l'indicatif) laver les linges(singulier) avec mon frère au(préposition + déterminant défini) dos ou quand je voulais jouer avec mes amis mais je devrais(pourquoi ce conditionnel ?) encore(autre adverbe signifiant 'avant cela') faire dormir mon frère (virgule) ou encore quand mon frère avait fait(imparfait et non plus-que-parfait) une crise d’épilepsie et pour l'(erreur : pronom personnel COI et non COD) éviter de mordre sa langue j’ai enfoncé(imparfait) mon pouce dans sa bouche (de à : à placer après la conjonction 'et', et précédé d'une conjonction de subordination : voir lien).
    A la maison (virgule) je jouais le rôle de parents car mon père était toujours absent(virgule) non pas à cause de son travail mais à cause de ses nombreuses maîtresses.
    Parlons maintenant de mon adolescence(ponctuation)
    En voyant notre calvaire, mon oncle paternel a décidé de nous héberger et de nous élevé(infinitif) comme ses propres enfants. J’ai commencé à vivre comme tous les enfants du village sans me soucié(pourquoi ce participe passé ? Diriez-vous 'sans me fait' ? Non ! 'sans me faire', bien sûr ! Mettez alors un infinitif) trop(après 'sans') de mes 02(voir plus haut) frères car ma tante a pris(imparfait) bien soin d’eux,(remplacer la virgule par une conjonction de coordination) j’ai repris l’école.
    Mais un jour (virgule) ma grand-mère maternelle était venu(autre temps : passé composé + accord du participe passé) chez nous et a dis(participe passé) à mon père qu’elle voulait m’ élevé(erreur : quand deux verbes se suivent, le second se met à l'infinitif ; ne pas confondre le premier verbe avec un verbe auxiliaire, 'être' ou 'avoir', qui servent à conjuguer les temps composés) en souvenir de ma mère. J’étais tellement heureuse et(autre conjonction pour introduire la raison de ce qui a été dit) j'ai pensé(imparfait) que ma vie va(autre temps) encore(enlever) changer. Malheureusement, ce n’était pas du tout (ici, il manque un pronom démonstratif neutre) à quoi je m’attendais. Ma grand-mère m’a placé(accord) chez ma tante, une des sœurs de ma défunte mère,(autre ponctuation) dès mon arrivée(virgule) elle m’a dit qu’en récompense(autre mot : compensation') de la nourriture et du toit qu’elle me donne(autre temps) je devrais faire le ménage chaque jours (singulier) sans demandé(à remplacer mentalement par le participe passé de 'faire', c'est-à-dire 'fait', pour ne plus confondre participe passé et infinitif) l'(préposition élidée : voir lien sur l'élision) aide de quelqu'un(enlever) surtout (ici, il manque un adverbe indiquant la négation) de ses 02(voir plus haut) filles qui étaient 02(idem) ans de mon cadet(accord avec 'filles'). Avant d’aller à l’école (virgule)je devrais chercher de l’eau (virgule) bien rangé(voir plus haut comment ne pas confondre infinitif et participe passé) la maison et faire le marché. Après l’école (virgule) je devrais faire la lessive et la vaisselle, chercher de l’eau, et même si j'ai fini(autre temps : plus-que-parfait) tôt toutes les tâches ménagères(virgule) je ne pouvais pas(enlever : il ne s'agit pas ici d'une forme négative, mais avec' que', d'une forme restrictive) dormir que très tard dans la nuit.
    Après mon brevet, je n’ai pas pu continuer d’étudier car ma grand-mère ne voulait plus payer mes études et(enlever ; ponctuation) elle m’a forcé(si vous êtes du féminin : accord) même(entre l'auxiliaire et le participe passé) de(autre préposition) travailler comme femme de ménage chez ma tante dans son(accord avec 'gargote') gargote où j’étais payé(accord) par(autre préposition pour indiquer le moyen) des restes des(préposition) nourritures(singulier) qui sont(autre temps : imparfait) en train d'être moisi ou pourri(préposition 'de' suivie des infinitifs). Chaque matin, je regardais en pleurant par la fenêtre mes camarades de classe qui passaient pour aller à l’école.
    Mon autre tante m’a promis(plus-que-parfait) qu’elle m’embaucherait en tant que secrétaire au sein de sa société(virgule) mais en attendant (virgule) je devrais commencer par le nettoyage tous les jours(à remplacer par un adjectif ayant la même signification) après que j'ai fini de faire(enlever ; mettre l'infinitif passé actif de 'finir', ou mieux de 'terminer') tous mes travaux dans la gargote. Et j’attendais (ponctuation : point-virgule) mais au fil des années(virgule) j’étais toujours agent de nettoyage.
    Malgré tous mes appels à l’aide à mon père, ce dernier se contentait de vivre sa belle vie avec ma belle mère(trait d'union) qui était(enlever) sa maîtresse à l’époque où ma mère était encore vivante.
    Seule bonne chose que(autre pronom relatif car le verbe 'se souvenir' est construit suivi de la préposition 'de') je me souviens(subjonctif) en(autre préposition) ce temps(mieux : 'époque' ; vous accorderez le déterminant démonstratif) était(autre temps : présent) la rencontre avec l’homme qui serait mon mari quelques années plus tard.

    Bonne correction




    Réponse : Besoin d'aide de itl, postée le 07-08-2018 à 09:01:59 (S | E)
    Bonjour alienor64,
    Tout d'abord je tiens à te remercier pour la correction de mon texte.
    Je t’envoie le texte corrigé. Merci
    Je me nomme XYZ, tout le monde m’appelle Z, j’ai 37ans et je suis mariée. J’ai 4 enfants, une adorable petite fille et trois magnifiques garçons ; nous habitons à A.
    Commençons par mon enfance
    Parler de mon enfance est dur pour moi, car cela me fait revivre tant de choses qui me brisent le cœur. Toutefois, je vais faire un petit résumé de cette rude époque.
    Ma mère était infirmière d’Etat et mon père chauffeur de taxi. On était 5 à la maison, mes parents mes 2 petits frères et moi.
    Ma mère est morte très jeune d’une maladie cardiaque causée par l’adultère de mon père. A l’âge de 12 ans, j’étais obligé d’arrêter l’école pendant une année pour s’occuper de mon dernier frère qui n’avait que onze mois lorsque ma mère venait de décéder. Je me souvenais bien que j’ai pleuré quand je devais laver le linge avec mon frère au dos ou quand je voulais jouer avec mes amis mais je devrais encore faire dormir mon frère, ou encore quand mon frère faisait une crise d’épilepsie et pour éviter de mordre sa langue j’enfonçais mon pouce dans sa bouche.
    A la maison, je jouais le rôle de parents car mon père était toujours absent, non pas à cause de son travail mais à cause de ses nombreuses maîtresses.
    Parlons maintenant de mon adolescence
    En voyant notre calvaire, mon oncle paternel a décidé de nous héberger et de nous élever comme ses propres enfants. J’ai commencé à vivre comme tous les enfants du village sans trop me soucier de mes 2 frères car ma tante a pris bien soin d’eux, j’ai repris l’école.
    Mais un jour ma grand-mère maternelle est venue chez nous et a dit à mon père qu’elle voulait m’élevé en souvenir de ma mère. J’étais tellement heureuse car je pensais que ma vie allait changer. Malheureusement, ce n’était pas du tout à quoi je m’attendais. Ma grand-mère m’a placée chez ma tante, une des sœurs de ma défunte mère ; dès mon arrivée elle m’a dit qu’en compensant la nourriture et le toit qu’elle m’a donnée je devrais faire le ménage chaque jour sans demander d’aide surtout pas de ses 2 filles qui étaient 2 ans de mon cadet. Avant d’aller à l’école, je devrais chercher de l’eau, bien ranger la maison et faire le marché. Après l’école je devrais faire la lessive et la vaisselle, chercher de l’eau, et même si j’avais fini tôt toutes les tâches ménagères, je ne pouvais dormir que très tard dans la nuit.
    Après mon brevet, je n’ai pas pu continuer d’étudier car ma grand-mère ne voulait plus payer mes études ; elle m’a même forcée même à travailler comme femme de ménage chez ma tante dans son gargote où j’étais payé par des restes de nourriture qui était en train d’être moisir ou pourrir. Chaque matin, je regardais en pleurant par la fenêtre mes camarades de classe qui passaient pour aller à l’école.
    Mon autre tante m’avait promis qu’elle m’embaucherait en tant que secrétaire au sein de sa société, mais en attendant, je devrais commencer par le nettoyage journalier après que tous mes travaux dans la gargote. Et j’attendais ; mais au fil des années j’étais toujours agent de nettoyage.
    Malgré tous mes appels à l’aide à mon père, ce dernier se contentait de vivre sa belle vie avec ma belle-mère sa maîtresse à l’époque où ma mère était encore vivante.
    Seule bonne chose dont je me souviens en ce temps est la rencontre avec l’homme qui serait mon mari quelques années plus tard.



    Réponse : Besoin d'aide de alienor64, postée le 07-08-2018 à 09:45:10 (S | E)
    Bonjour itl

    S'il vous plaît, écrivez les chiffres en lettres. Beaucoup d'erreurs signalées n'ont pas été corrigées. Les liens et les indications que nous vous proposons sont là pour vous aider à comprendre ce qui est incorrect et à le corriger.
    Merci de nous envoyer ce texte en tenant compte de ce que nous vous signalons.

    Les verbes pronominaux : Lien internet
    - Infinitif passé : Lien internet
    - Pronoms personnels compléments d'objet : Lien internet
    - Pronoms démonstratifs : Lien internet


    Je me nomme XYZ,(remplacez la virgule par une conjonction de coordination qui introduit une précision) tout le monde m'appelle Z,(autre signe de ponctuation plus marqué que la virgule) j'ai 37(en lettres)ans et je suis mariée. J'ai 4 (en lettres : déjà signalé) enfants, une adorable petite fille et trois magnifiques garçons ; nous habitons à A.
    Commençons par mon enfance(ponctuation en fin de phrase : déjà signalé)
    Parler de mon enfance est dur pour moi, car cela me fait revivre tant de choses qui me brisent le cœur. Toutefois, je vais faire un petit résumé de cette rude époque.
    Ma mère était infirmière d'Etat( accent sur le E, si vous pouvez le mettre avec votre clavier) et mon père chauffeur de taxi. On était 5(en lettres : déjà signalé) à la maison, mes parents (virgule) mes 2(en lettres) petits frères et moi.
    Ma mère est morte très jeune d'une maladie cardiaque causée par l'adultère de mon père. A(accent : À) l'âge de 12(en lettres) ans, j'étais obligé(erreur déjà signalée. Conjuguez 'obliger' au passé composé voix passive : voir lien dans la correction précédente. Lisez-le et corrigez ; n'oubliez pas d'accorder le participe passé) d'arrêter l'école pendant une année pour s'(autre pronom réfléchi pour ce verbe pronominal : déjà signalé ; voir lien) occuper de mon dernier frère qui n'avait que onze mois lorsque ma mère venait de décéder. Je me souvenais(autre temps si vous vous en souvenez encore aujourd'hui) bien que j'ai pleuré(à enlever et à remplacer par l'infinitif passé du verbe 'pleurer' : déjà signalé ; voir lien) quand je devais laver le linge avec mon frère au( voir indication dans correction précédente si vous portiez votre frère sur votre dos ; déjà signalé) dos ou quand je voulais jouer avec mes amis (ici, ponctuation : déjà signalé) mais je devrais(pourquoi ce conditionnel ? autre mode et autre temps : déjà signalé) encore(autre adverbe signifiant 'avant cela ': déjà signalé) faire dormir mon frère(à remplacer par un pronom personnel COD pour éviter la répétition du mot : voir lien), ou encore quand mon frère faisait une crise d'épilepsie et (ici, conjonction de subordination : déjà signalé ; voir lien dans la correction précédente) pour éviter qu'il se morde la langue(en fin de phrase) j'enfonçais mon pouce dans sa bouche.
    A la maison, je jouais le rôle de parents car mon père était toujours absent, non pas à cause de son travail mais à cause de ses nombreuses maîtresses.
    Parlons maintenant de mon adolescence(ponctuation en fin de phrase : déjà signalé)
    En voyant notre calvaire, mon oncle paternel a décidé de nous héberger et de nous élever comme ses propres enfants. J'ai commencé à vivre comme tous les enfants du village sans trop me soucier de mes 2(en lettres : déjà signalé) frères car ma tante a pris(autre temps : déjà signalé ; voir correction précédente) bien soin d'eux,(virgule à remplacer par une conjonction de coordination : déjà signalé) j'ai repris l'école.
    Mais un jour (virgule) ma grand-mère maternelle est venue chez nous et a dit à mon père qu'elle voulait m'élevé(erreur déjà signalée : voir indications dans la correction précédente) en souvenir de ma mère. J'étais tellement heureuse car je pensais que ma vie allait changer. Malheureusement, ce n'était pas du tout (ici, pronom démonstratif neutre : déjà signalé ; voir lien) à quoi je m'attendais. Ma grand-mère m'a placée chez ma tante, une des sœurs de ma défunte mère ; dès mon arrivée elle m'a dit qu'en compensant(je vous avais écrit le mot : recopiez-le et faites-le suivre d'une préposition) la nourriture et le(déterminant contracté, contraction de 'de + le') toit qu'elle m'a donnée(erreur : imparfait)(virgule) je devrais faire le ménage chaque jour sans demander d'aide surtout pas de(autre préposition) ses 2(en lettres) filles qui étaient (ici, préposition : déjà signalé) 2(en lettres) ans de(cette préposition est mal placée ; mettez-la après le verbe) mon cadet (erreur déjà signalée : accord avec 'filles'). Avant d'aller à l'école, je devrais(autre mode : indicatif et autre temps : imparfait, pour garder de la cohérence avec la dernière proposition de la phrase suivante qui est a l'indicatif) chercher de l'eau, bien ranger la maison et faire le marché. Après l'école je devrais(même remarque) faire la lessive et la vaisselle, chercher de l'eau, et même si j'avais fini tôt toutes les tâches ménagères, je ne pouvais dormir que très tard dans la nuit.
    Après mon brevet, je n'ai pas pu continuer d'étudier car ma grand-mère ne voulait plus payer mes études ; elle m'a même forcée même(enlever) à travailler comme femme de ménage chez ma tante dans son (erreur déjà signalée : accord avec 'gargote'. Un dictionnaire vous indiquera le genre de ce mot) gargote où j'étais payé(erreur déjà signalée : accord) par(autre préposition : déjà signalé ; voir indication dans la correction précédente et lisez ceci : Lien internet
    des restes de nourriture qui était(enlever : déjà signalé) en train (ici, préposition devant les infinitifs : déjà signalé) d'être(enlever) moisir ou (ici, répétez la préposition) pourrir. Chaque matin, je regardais en pleurant par la fenêtre mes camarades de classe qui passaient pour aller à l'école.
    Mon autre tante m'avait promis qu'elle m'embaucherait en tant que secrétaire au sein de sa société, mais en attendant, je devrais commencer par le nettoyage journalier(oui, ou : 'quotidien') après que(enlever ; mettre l'infinitif passé de 'terminer') tous mes travaux dans la gargote. Et j'attendais ; mais au fil des années j'étais toujours agent de nettoyage.
    Malgré tous mes appels à l'aide à mon père, ce dernier se contentait de vivre sa belle vie avec ma belle-mère(virgule) sa maîtresse à l'époque où ma mère était encore vivante.
    Seule bonne chose dont je me souviens en(autre préposition: déjà signalé) ce temps est la rencontre avec l'homme qui serait mon mari quelques années plus tard(ponctuation en fin de phrase : déjà signalé)

    Bonne correction




    Réponse : Besoin d'aide de itl, postée le 08-08-2018 à 08:19:03 (S | E)
    Bonjour,
    Tous mes remerciements alienor64 pour l'aide que tu me fournie
    Je te poste la nouvelle version corrigée toutefois certaines erreurs n'étaient pas rectifiées car j'arrive pas à le faire, faute de compréhension sur les liens peut être.
    Je me nomme XYZ mais tout le monde m'appelle Z ; j'ai trente sept ans et je suis mariée. J'ai quatre enfants, une adorable petite fille et trois magnifiques garçons ; nous habitons à A.
    Commençons par mon enfance :
    Parler de mon enfance est dur pour moi, car cela me fait revivre tant de choses qui me brisent le cœur. Toutefois, je vais faire un petit résumé de cette rude époque.
    Ma mère était infirmière d'Etat et mon père chauffeur de taxi. On était cinq à la maison, mes parents, mes deux petits frères et moi.
    Ma mère est morte très jeune d'une maladie cardiaque causée par l'adultère de mon père. A l'âge de douze ans, j'ai été obligée d'arrêter l'école pendant une année pour m’occuper de mon dernier frère qui n'avait que onze mois lorsque ma mère venait de décéder. Je me souviens bien que j'ai pleurer quand je devais laver le linge avec mon frère sur mon dos ou quand je voulais jouer avec mes amis, mais je devais aussi dormir mon frère (à remplacer par un pronom personnel COD pour éviter la répétition du mot : voir lien), ou encore quand il faisait une crise d'épilepsie car j'enfonçais mon pouce dans sa bouche pour éviter qu'il se morde la langue.
    A la maison, je jouais le rôle de parents car mon père était toujours absent, non pas à cause de son travail mais à cause de ses nombreuses maîtresses.
    Parlons maintenant de mon adolescence :
    En voyant notre calvaire, mon oncle paternel a décidé de nous héberger et de nous élever comme ses propres enfants. J'ai commencé à vivre comme tous les enfants du village sans trop me soucier de mes deux frères car ma tante prenait bien soin d'eux ainsi j'ai repris l'école.
    Mais un jour, ma grand-mère maternelle est venue chez nous et a dit à mon père qu'elle voulait m’élever en souvenir de ma mère. J'étais tellement heureuse car je pensais que ma vie allait changer. Malheureusement, ce n'était du tout à quoi je m'attendais. Ma grand-mère m'a placée chez ma tante, une des sœurs de ma défunte mère ; dès mon arrivée elle m'a dit qu'en compensation de la nourriture et du toit qu'elle me donnait, je devrais faire le ménage chaque jour sans demander d'aide surtout pas à ses deux filles qui étaient de deux ans mon cadet. Avant d'aller à l'école, je devais chercher de l'eau, bien ranger la maison et faire le marché. Après l'école je devais faire la lessive et la vaisselle, chercher de l'eau, et même si j'avais fini tôt toutes les tâches ménagères, je ne pouvais dormir que très tard dans la nuit.
    Après mon brevet, je n'ai pas pu continuer d'étudier car ma grand-mère ne voulait plus payer mes études ; elle m'a même forcée à travailler comme femme de ménage chez ma tante dans sa gargote où j'étais payée avec des restes de nourriture en train de moisir ou de pourrir. Chaque matin, je regardais en pleurant par la fenêtre mes camarades de classe qui passaient pour aller à l'école.
    Mon autre tante m'avait promis qu'elle m'embaucherait en tant que secrétaire au sein de sa société, mais en attendant, je devrais commencer par le nettoyage quotidien après tous mes travaux dans la gargote. Et j'attendais ; mais au fil des années j'étais toujours agent de nettoyage.
    Malgré tous mes appels à l'aide à mon père, ce dernier se contentait de vivre sa belle vie avec ma belle-mère, sa maîtresse à l'époque où ma mère était encore vivante.
    Seule bonne chose dont je me souviens de ce temps est la rencontre avec l'homme qui serait mon mari quelques années plus tard.






    Réponse : Besoin d'aide de alienor64, postée le 08-08-2018 à 09:53:36 (S | E)
    Bonjour itl

    Tous mes remerciements alienor64 pour l'aide que tu me fournie fournis (sujet de ce verbe 'tu', 2e personne)
    Je te poste la nouvelle version corrigée toutefois certaines erreurs n'étaient pas rectifiées car j' je n'arrive pas à le faire, faute de compréhension sur les liens peut-être.

    C'est déjà mieux ! En lisant attentivement les liens, vous trouverez des explications claires et simples pour pouvoir corriger vos erreurs.

    Je me nomme XYZ mais tout le monde m'appelle Z ; j'ai trente sept(trait d'union) ans et je suis mariée. J'ai quatre enfants, une adorable petite fille et trois magnifiques garçons ; nous habitons à A.
    Commençons par mon enfance :(point et non deux points)
    Parler de mon enfance est dur pour moi, car cela me fait revivre tant de choses qui me brisent le cœur. Toutefois, je vais faire un petit résumé de cette rude époque.
    Ma mère était infirmière d'Etat et mon père chauffeur de taxi. On était cinq à la maison, mes parents, mes deux petits frères et moi.
    Ma mère est morte très jeune d'une maladie cardiaque causée par l'adultère de mon père. A l'âge de douze ans, j'ai été obligée d'arrêter l'école pendant une année pour m'occuper de mon dernier frère qui n'avait que onze mois lorsque ma mère venait de décéder(correct, mais cette formulation alourdit la phrase. Employez la locution prépositive 'lors de'(='à l'époque de') qui introduit un complément circonstanciel de temps suivie du complément du nom. Soit : la locution 'lors du' suivie du nom de la même famille que le verbe 'décéder' (à vous de le trouver !) + le complément du nom 'de ma mère') . Je me souviens bien que j'ai pleurer(incorrect : à enlever. Mettez l'infinitif passé de 'pleurer' : lisez ou relisez attentivement le lien déjà proposé : il est clairement et simplement expliqué) quand je devais laver le linge avec mon frère sur mon dos ou quand je voulais jouer avec mes amis, mais je devais aussi dormir mon frère(cela ne veut rien dire) (à remplacer par un pronom personnel COD pour éviter la répétition du mot : voir lienMerci de corriger après avoir lu le lien déjà proposé sur les compléments d'objet directs (COD) et indirects (COI)), ou encore quand il faisait une crise d'épilepsie car(cette conjonction n'a pas de sens ici ; mettez la conjonction de coordination 'et' suivie d'une conjonction de subordination : lisez ou relisez le lien déjà proposé avant-hier sur les conjonctions) j'enfonçais mon pouce dans sa bouche pour éviter qu'il se morde la langue.
    A la maison, je jouais le rôle de parents car mon père était toujours absent, non pas à cause de son travail mais à cause de ses nombreuses maîtresses.
    Parlons maintenant de mon adolescence :(autre ponctuation : voir plus haut))
    En voyant notre calvaire, mon oncle paternel a décidé de nous héberger et de nous élever comme ses propres enfants. J'ai commencé à vivre comme tous les enfants du village sans trop me soucier de mes deux frères car ma tante prenait bien soin d'eux ainsi('ainsi' n'est pas une conjonction de coordination ; merci de mettre celle qui convient) j'ai repris l'école.
    Mais un jour, ma grand-mère maternelle est venue chez nous et a dit à mon père qu'elle voulait m'élever en souvenir de ma mère. J'étais tellement( enlever ; 'très') heureuse car je pensais que ma vie allait changer. Malheureusement, ce n'était ( après 'ne/ n', il manque un mot pour que la forme négative soit correcte ; pourquoi l'avez-vous enlevé ?) du tout (ici, pronom démonstratif neutre : lisez ou relisez attentivement le lien déjà proposé : tout y est indiqué) à quoi je m'attendais. Ma grand-mère m'a placée chez ma tante, une des sœurs de ma défunte mère ; dès mon arrivée elle m'a dit qu'en compensation de la nourriture et du toit qu'elle me donnait, je devrais faire le ménage chaque jour sans demander d'aide surtout pas à ses deux filles qui étaient de deux ans mon cadet(troisième signalement de cette erreur ; accord avec 'filles' : féminin pluriel) . Avant d'aller à l'école, je devais chercher de l'eau, bien ranger la maison et faire le marché. Après l'école (virgule) je devais faire la lessive et la vaisselle, chercher de l'eau, et même si j'avais fini tôt toutes les tâches ménagères, je ne pouvais dormir que très tard dans la nuit.
    Après mon brevet, je n'ai pas pu continuer d'étudier car ma grand-mère ne voulait plus payer mes études ; elle m'a même forcée à travailler comme femme de ménage chez ma tante dans sa gargote où j'étais payée avec des restes de nourriture en train de moisir ou de pourrir. Chaque matin, je regardais en pleurant par la fenêtre mes camarades de classe qui passaient pour aller à l'école.
    Mon autre tante m'avait promis qu'elle m'embaucherait en tant que secrétaire au sein de sa société, mais en attendant, je devrais commencer par le nettoyage quotidien après tous mes travaux dans la gargote. Et j'attendais ; mais au fil des années j'étais toujours agent de nettoyage.
    Malgré tous mes appels à l'aide à mon père(enlever), ce dernier(à remplacer par 'mon père') se contentait de vivre sa belle vie avec ma belle-mère, sa maîtresse à l'époque où ma mère était encore vivante.
    Seule bonne chose dont je me souviens de ce temps est la rencontre avec l'homme qui serait mon mari quelques années plus tard.

    Bonne correction





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