Cours de français gratuitsRecevoir 1 leçon gratuite chaque semaine // Créer un test
Connectez-vous !

Cliquez ici pour vous connecter
Nouveau compte
Des millions de comptes créés

100% gratuit !
[Avantages]

  • Accueil
  • Accès rapides
  • Imprimer
  • Livre d'or
  • Plan du site
  • Recommander
  • Signaler un bug
  • Faire un lien

  • Comme des milliers de personnes, recevez gratuitement chaque semaine une leçon de français !

    > Recommandés:
    -Jeux gratuits
    -Nos autres sites
       



    Brave enfant

    Cours gratuits > Forum > Apprendre le français || En bas

    [POSTER UNE NOUVELLE REPONSE] [Suivre ce sujet]


    Brave enfant
    Message de azeddine1 posté le 07-08-2018 à 17:12:40 (S | E | F)
    Bonjour, pouvez-vous m’aider à corriger ce texte s’il vous plaît ? Merci d’avance.
    Evidement, nous avons tous des souvenirs de l’enfance. Je me souviens, sur la route de l’école et quand je passais auprès de fenêtre de la maison qui appartenait à un vieil homme, je l’entendais souvent répéter quelques paroles. Puisque j’étais encore petit, je ne savais pas leur sens. Je me posais toujours la même question, à qui parlait-il ?
    « Ton départ m’as provoqué la solitude comme je suis au désert
    S’il te plaît, donne-moi de l’eau car j’ai soif à cause de ton absence
    Mon cœur demande ta présence permanente pour chanter sur ses cordes
    Le soleil refuse son apparition avant de connaître ton endroit
    Aujourd’hui on va fêter notre mariage qui a durée plus longtemps
    On a vécu des moments inoubliables, je ne t’ai jamais entendu réclamer
    Tu as été le bonheur et une partie de mon cœur
    Mais…
    Tu es partie et sans retour
    Tu m’as laissé seul avec les souvenirs.
    La douleur de ton absence me tue tandis que l’image de ton sourire me calme et me donne l’envie de vivre. »
    Un jour je décidai découvrir la réalité. Je surmontai ma peur et demandai l’aide à un ami, on avait installé un escalier, je montai discrètement, pas à pas, pour jeter un coup d’œil par la fenêtre. C’était un homme qui avait une longue barbe blanche avec une moustache qui recouvrait ses lèvres. Ses pas étaient lourdes et son dos incliné mais la maison était bien nettoyée et organisée. Sur le mur de cette pièce était accroché un grand tableau où il était dessiné un beau visage d’une femme magnifique et tellement belle. Dès le début, je devinais que c’était sa femme. Cet homme était triste et déçu à cause du départ de sa femme. « Je vais te rejoindre mon amour», je l’entendis dire ces mots en parlant avec le tableau et je compris qu’elle était morte.
    Derrière lui, installé une chaise au-dessous d’une corde accrochée au plafond. Je dis à mon ami qui attrapait toujours l’escalier pour m’interdire de tomber : «  Cet homme a des mauvaises idées, je pense qu’il veut finir sa vie». «  Tu dois l’interdire » Cria-t-il.
    Tout à coup, il monta sur la chaise et mis la corde autour de son cou. « Ah ! Mon Dieu ! » Je le dis avant de sauter par la fenêtre pour me trouver face-à-face avec lui. Il me dévisagea par ses yeux pleins des larmes.
    «  S’il vous plaît Monsieur ne faites pas cela
    Je suis triste dans ce monde sans elle
    Mais, pense à elle, sûrement elle ne veut pas vous voir dans cet état.
    Oui ! Mais elle me manque et je veux aller chez elle
    Elle est morte et vous devez continuer votre vie et lui montre que vous êtes capable de relever les défis et remonter la pente
    Je ne peux pas
    Sûrement, vous avez tous les deux quelques objectifs communs
    Oui, nous avons voulu aider les enfants du monde, il était son vœu
    Alors, pourquoi n’avez-vous pas essayé de lui réaliser son vœu ? On va vous aider.
    Tu as raison mon fils. »
    Je lui aidai à relever la corde et descendre la chaise. Il me remercia. Je sentais le bonheur et la fierté à un point où j’oubliai même les douleurs de ma main fracturée. Après cet accident, nous avions devenus des amis malgré la différence d’âge. Nous étions déplacés dans tous les endroits de notre ville pour aider les enfants vivant en difficulté et en marge. Il avait crée un hospice pour les orphelins.



    Réponse : Brave enfant de alienor64, postée le 08-08-2018 à 00:36:23 (S | E)
    Bonsoir azzedine1

    S'il vous plaît, mettez les signes de ponctuation appropriés à la fin des 'vers' qui le nécessitent, ainsi que les tirets devant chaque phrase du dialogue.


    Evidement(orthographe), nous avons tous des souvenirs de l'(déterminant possessif) enfance. Je me souviens,(pas de virgule ; conjonction de subordination après le verbe 'se souvenir') sur la route de l’école et quand je passais auprès de(mieux : 'devant' ou 'sous') de(déterminant défini pluriel) fenêtre(pluriel) de la(déterminant indéfini) maison qui appartenait à un vieil homme, je l' (à remplacer par le nom que ce pronom représente, ou mieux : 'ce dernier' à placer après le verbe) entendais souvent répéter quelques(autre adjectif indiquant une similitude, précédé d'un déterminant défini) paroles. Puisque(autre conjonction pour exprimer la cause) j’étais encore petit, je ne savais(autre verbe : 'connaître') pas leur sens. Je me posais toujours la même question,(pas de virgule mais deux points : et mettez la question entre guillemets) à qui parlait-il ?
    « Ton départ m’as provoqué(sujet : 'ton départ' ; mais autre verbe: conjuguez ' apporter' au passé composé) la solitude(virgule) comme (après 'comme', qui marque la comparaison, il manque une conjonction qui introduit une hypothèse pour former une locution conjonctive) je suis(autre temps : imparfait) au désert(ponctuation en fin de phrase)
    S’il te plaît, donne-moi de l’eau car j’ai soif à cause de ton absence
    Mon cœur demande ta présence permanente pour chanter sur ses cordes(de quelles cordes parlez-vous ?)
    Le soleil refuse son apparition avant de connaître ton endroit(à reformuler clairement car incompréhensible)
    Aujourd’hui on va fêter notre mariage qui a durée(pourquoi ce féminin ?) plus longtemps(c'est un comparatif auquel il manque un élément : 'que' ; 'plus longtemps que' quoi ? À vous de le dire, ou alors remplacez 'plus' par un adverbe indiquant l'intensité).
    On a vécu des moments inoubliables, je ne t’ai jamais entendu( incorrect, car il s'adresse à une femme, comme on peut le comprend plus loin) réclamer('réclamer' demande un COD ; ou alors, autre verbe : 'se plaindre'/ 'se lamenter')
    Tu as été le bonheur et une partie de mon cœur
    Mais…
    Tu es partie et sans retour
    Tu m’as laissé seul avec les souvenirs.
    La douleur de ton absence me tue(virgule) tandis que l’image de ton sourire me calme et me donne l’envie de vivre. »
    Un jour(virgule) je décidai (préposition) découvrir la réalité. Je surmontai ma peur et demandai l'(déterminant possessif) aide à un ami,(autre ponctuation plus forte que la virgule) on avait installé un escalier( installer 'un escalier' exige le travail d'un professionnel ! mais placer 'une échelle' est déjà plus simple et plus rapide, à moins qu'il ne s'agisse d'un escabeau)), je montai discrètement, pas à pas(traits d'union), pour jeter un coup d’œil par la fenêtre. C’était un homme qui avait une longue barbe blanche avec(conjonction de coordination) une moustache qui recouvrait ses lèvres. Ses pas étaient lourdes(accord avec 'pas') et son dos incliné(un dos n'est pas incliné, mais voûté) mais la maison était bien nettoyée et organisée(autre mot pour indiquer qu'elle est en ordre). Sur le mur de cette pièce était accroché un grand tableau où il(enlever) était dessiné un(déterminant défini) beau visage d’une femme magnifique et tellement belle(enlever ; 'magnifique' suffit). Dès le début, je devinais que c’était sa femme. Cet homme était triste et déçu à cause du départ de sa femme. « Je vais te rejoindre mon amour», je l’entendis dire ces mots en parlant avec( 'avec', qui marque une association, est incorrect. Il ne parle pas 'avec' le tableau, car le tableau ne peut pas lui répondre. Mettez un déterminant contracté, contraction de 'à + le') le tableau et je compris qu’elle était morte.
    Derrière lui, installé (incorrect ; à enlever. Mettez un verbe conjugué : 'se trouver', ou alors, la locution verbale 'il y a' à l'imparfait) une chaise au-dessous(autre préposition ; enlevez la préposition 'd' devant le mot qui suit)) d’une corde accrochée au plafond. Je dis à mon ami qui attrapait(autre verbe : 'retenir'/ 'maintenir') toujours l’escalier(voir plus haut) pour m’interdire(autre verbe) de tomber : « Cet homme a des mauvaises idées, je pense qu’il veut finir sa vie(l'expression correcte est : 'en finir avec la vie')». « Tu dois l’interdire(ce verbe ne convient pas. Mettez 'empêcher' précédé d'un pronom personnel COI mis pour la proposition précédente) » Cria(minuscule)-t-il.
    Tout à coup, il monta sur la chaise et mis(sujet 'il') la corde autour de son cou. « Ah ! Mon Dieu ! » Je le dis avant de sauter par la fenêtre pour me trouver face-à-face avec lui. Il me dévisagea par(préposition) ses yeux pleins des(préposition 'de' à la place de 'des' avec un adverbe de quantité) larmes.
    « S’il vous plaîtMonsieur(minuscule + virgule)ne faites pas cela
    Je suis triste dans ce monde sans elle
    Mais, pense(vous vouvoyez ce monsieur) à elle, sûrement(après le verbe) elle ne veut(conditionnel présent) pas vous voir dans cet état.
    Oui ! Mais elle me manque et je veux aller chez elle
    Elle est morte et vous devez continuer votre vie et lui montre(infinitif) que vous êtes capable de relever les défis et remonter la pente
    Je ne peux pas
    Sûrement, vous avez tous les deux quelques objectifs communs
    Oui, nous avons voulu aider les enfants du monde, il(incorrect ; mettez un pronom démonstratif neutre élidé pour former le présentatif avec 'être') était son vœu
    Alors, pourquoi n’avez-vous pas essayé de lui(incorrect : mettez un pronom personnel COD mis pour 'son vœu') réaliser son vœu (enlever) ? On va vous aider.
    Tu as raison mon fils. »
    Je lui(pronom personnel COD et non COI) aidai à relever la corde et descendre (ici, préposition) la chaise. Il me remercia. Je sentais(autre verbe : 'éprouver') le(déterminant partitif) bonheur et (préposition pour former avec 'la' le déterminant partitif féminin) la fierté à un (déterminant contracté, contraction de 'à + le') point où j'oubliai(à remplacer par l'infinitif de ce verbe, précédé d'une préposition élidée) même les douleurs de ma main fracturée. Après cet accident, nous avions(autre auxiliaire 'être') devenus des amis malgré la différence d’âge. Nous étions déplacés(incorrect ; ici, ce verbe est pronominal 'se déplacer') dans tous les endroits de notre ville pour aider les enfants vivant en difficulté et en marge(à mieux formuler). Il avait crée un hospice pour les orphelins.

    Bonne correction




    Réponse : Brave enfant de azeddine1, postée le 08-08-2018 à 09:59:32 (S | E)
    Bonjour Alienor
    j'ai écrit ce texte sur l'ordinateur et j'ai mis les tirets aux dialogues mais quand je le copier sur le site, les tirets ont disparu et je n'ai pas fait attention.



    Réponse : Brave enfant de azeddine1, postée le 08-08-2018 à 12:48:47 (S | E)
    Bonjour Alienor et merci beaucoup.

    Évidement, nous avons tous des souvenirs de notre enfance. Je me souviens que sur la route de l’école et quand je passais sous les fenêtres d'une maison qui appartenait à un vieil homme, j'entendais ce dernier souvent répéter les mêmes paroles. À cause de mon petit âge, je ne connaissais pas leur sens. Je me posais toujours la même question : «À qui parlait-il ?»
    « Ton départ m’a apporté la solitude, comme si j'étais au désert.
    S’il te plaît, donne-moi de l’eau car j’ai soif à cause de ton absence !
    Mon cœur demande ta présence permanente pour chanter notre chanson d'amour.
    Le soleil refuse son apparition avant de connaître l'endroit où tu vis.
    Aujourd’hui on va fêter notre mariage qui a durée plus longtemps que jamais (très longtemps).
    On a vécu des moments inoubliables pendant lesquels tu ne t'es jamais lamentée.
    Tu as été le bonheur et une partie de mon cœur ;
    mais…
    Tu es partie et sans retour.
    Tu m’as laissé seul avec les souvenirs.
    La douleur de ton absence me tue, tandis que l’image de ton sourire me calme et me donne l’envie de vivre. »
    Un jour, je décidai de découvrir la réalité. Je surmontai ma peur et demandai son aide à un ami ; on avait placé une échelle, je montai discrètement, pas-à-pas, pour jeter un coup d’œil par la fenêtre. C’était un homme qui avait une longue barbe blanche et une moustache qui recouvrait ses lèvres. Ses pas étaient lourds et son dos voûté mais la maison était bien nettoyée et arrangée. Sur le mur de cette pièce était accroché un grand tableau où était dessiné le beau visage d’une femme magnifique. Dès le début, je devinais que c’était sa femme. Cet homme était triste et déçu à cause du départ de sa femme. « Je vais te rejoindre mon amour», je l’entendis dire ces mots en parlant au tableau et je compris qu’elle était morte.
    Derrière lui, il y avait une chaise sous une corde accrochée au plafond. Je dis à mon ami qui maintenait toujours l’échelle pour ne pas tomber : « Cet homme a des mauvaises idées, je pense qu’il veut en finir avec la vie». « Tu dois l’en empêcher» cria-t-il.
    Tout à coup, il monta sur la chaise et mit la corde autour de son cou. « Ah ! Mon Dieu ! » Je le dis avant de sauter par la fenêtre pour me trouver face-à-face avec lui. Il me dévisagea de ses yeux pleins de larmes.
    « S’il vous plaît monsieur, ne faites pas cela.
    - Je suis triste dans ce monde sans elle.
    - Mais, pensez à elle, elle ne voudrait sûrement pas vous voir dans cet état.
    - Oui ! Mais elle me manque et je veux aller chez elle !
    - Elle est morte et vous devez continuer votre vie et lui montrer que vous êtes capable de relever les défis et remonter la pente.
    - Je ne peux pas.
    - Sûrement, vous avez tous les deux quelques objectifs communs.
    - Oui, nous avons voulu aider les enfants du monde,il c'était son vœu.
    - Alors, pourquoi n’avez-vous pas essayé de le réaliser ? On va vous aider.
    Tu as raison mon fils. »
    Je l'aidai à relever la corde et descendre sur la chaise. Il me remercia. J'éprouvais du bonheur et de la fierté au point où d'oublier même les douleurs de ma main fracturée. Après cet accident, nous étions devenus des amis malgré la différence d’âge. Nous nous étions déplacés dans tous les endroits de notre ville pour s'occuper des enfants pauvres et ceux qui n'avaient pas un domicile. Il avait crée un hospice pour les orphelins.
    Merci beaucoup.

    ***

    -------------------
    Modifié par azeddine1 le 08-08-2018 12:49



    -------------------
    Modifié par azeddine1 le 08-08-2018 13:14





    Réponse : Brave enfant de alienor64, postée le 08-08-2018 à 18:41:22 (S | E)
    Bonsoir azeddine1

    Pour vous aider à corriger les espaces et la ponctuation en typographie française : Lien internet



    Évidement(orthographe), nous avons tous des souvenirs de notre enfance. Je me souviens que sur la route de l’école et quand(enlever) (virgule) je passais sous les fenêtres d'une maison qui appartenait à un vieil homme,(pas de virgule, mais conjonction de coordination) j'entendais ce dernier souvent répéter les mêmes paroles. À cause de mon petit(autre adjectif pour qualifier un âge) âge, je ne connaissais pas leur sens.(pas de point mais conjonction de coordination : la phrase continue) Je me posais toujours la même question : «À qui parlait(autre temps. Cette question était actuelle à l'époque où vous vous la posiez, donc : présent) -il ?»
    « Ton départ m’a apporté la solitude, comme si j'étais au(mieux : préposition signifiant 'à l'intérieur de' + déterminant défini) désert.
    S’il te plaît, donne-moi de l’eau car j’ai soif à cause de ton absence !
    Mon cœur demande ta présence permanente pour chanter notre chanson d'amour.
    Le soleil refuse son apparition( cela ne veut rien dire ! À remplacer par le verbe infinitif de le même famille que le nom, précédé d'une préposition à élider) avant de connaître l'endroit où tu vis.
    Aujourd’hui on va fêter notre mariage qui a durée(pourquoi cet accord féminin ? ) plus longtemps que jamais(à reformuler) (très longtemps).
    On a vécu des moments inoubliables pendant lesquels tu ne t'es jamais lamentée.
    Tu as été le bonheur et une partie de mon cœur ;
    mais…
    Tu es partie et sans espoir de retour.
    Tu m’as laissé seul avec les souvenirs.
    La douleur de ton absence me tue, tandis que l’image de ton sourire me calme et me donne l’envie de vivre. »
    Un jour, je décidai de découvrir la réalité. Je surmontai ma peur et demandai son aide à un ami ; on avait placé une échelle(à compléter : où aviez-vous placé l'échelle ? Il faut le dire !), je montai discrètement, pas-à-pas, pour jeter un coup d’œil par la fenêtre. C’était un homme qui avait(à remplacer par une préposition indiquant l'appartenance) une longue barbe blanche et une moustache qui recouvrait ses lèvres. Ses pas étaient lourds et son dos voûté mais (ici, pour exprimer le rapport logique (qui, d'emblée, ne saute pas aux yeux !) entre 'le dos voûté' et 'la maison bien nettoyée', il manque une transition : après 'mais', vous pouvez évoquer l'impression de lassitude de cet homme, sa fatigue, en faisant précéder ce que vous aurez écrit de la conjonction 'malgré') la maison était bien nettoyée et arrangée. Sur le mur de cette pièce était accroché un grand tableau où était dessiné le beau visage d’une femme magnifique(à enlever car ce tableau ne montre qu'un visage et non un portrait en pied). Dès le début(De quel début parlez-vous ? Vous êtes sur l'échelle et venez juste de découvrir ce tableau. À enlever) , je devinais que c’était sa femme. Cet homme était triste et déçu à cause du départ de sa femme(autre mot ou autre expression). « Je vais te rejoindre mon amour»,(fermez les guillemets) (point-virgule) je l’entendis dire ces mots en parlant(autre verbe : 's'adresser') au tableau et je compris qu’elle était morte.
    Derrière lui, il y avait une chaise sous une corde accrochée au plafond. Je dis à mon ami qui maintenait toujours l’échelle pour ne pas tomber (qui donc va tomber ? Vous ne l'exprimez pas correctement. Relisez l'indication dans la correction précédente) : « Cet homme a des mauvaises idées, je pense qu’il veut en finir avec la vie». « Tu dois l’en empêcher» cria-t-il.
    Tout à coup, il monta sur la chaise et mit la corde autour de son cou. « Ah ! Mon Dieu ! » Je le dis avant de sauter par la fenêtre pour me trouver face-à-face avec lui. Il me dévisagea de ses yeux pleins de larmes.
    « S’il vous plaît monsieur, ne faites pas cela.
    - Je suis triste dans ce monde sans elle.
    - Mais,(pas de virgule) pensez à elle, elle ne voudrait sûrement pas vous voir dans cet état.
    - Oui ! Mais elle me manque et je veux aller chez elle !
    - Elle est morte et vous devez continuer votre vie et lui montrer que vous êtes capable de relever les défis et remonter la pente.
    - Je ne peux pas.
    - Sûrement,(après le verbe) vous avez (à conjuguer à un temps du passé) tous les deux quelques objectifs communs.
    - Oui, nous avons voulu aider les enfants du monde,il(enlever) c'était son vœu.
    - Alors, pourquoi n’avez-vous pas essayé(autre temps : présent de l'indicatif) de le réaliser ? On va vous aider.
    Tu as raison mon fils. »
    Je l'aidai à relever('relever' ? Certes non ! Un mouvement ascendant serait fatal à ce pauvre homme) la corde et descendre sur(autre préposition) la chaise. Il me remercia. J'éprouvais du bonheur et de la fierté au point (à enlever, puisque 'au point de' est suivi d'un infinitif) d'oublier même les douleurs de ma main fracturée. Après cet accident(quel accident ? Autre mot), nous étions devenus des amis malgré la différence d’âge. Nous nous étions déplacés(autre temps : passé composé) dans tous les endroits de notre ville pour s'(autre pronom réfléchi) occuper des enfants pauvres et (ici, préposition) ceux qui n'avaient pas un(préposition) domicile. Il avait crée (il manque un accent) un hospice pour les orphelins.

    Bonne soirée





    Réponse : Brave enfant de azeddine1, postée le 09-08-2018 à 11:44:16 (S | E)
    Bonjour alienor. Je vous remercie beaucoup pour cette correction magnifique.
    Évidemment, nous avons tous des souvenirs de notre enfance. Je me souviens que sur la route de l’école, je passais sous les fenêtres d'une maison qui appartenait à un vieil homme et j'entendais ce dernier souvent répéter les mêmes paroles. À cause de mon jeune âge, je ne connaissais pas leur sens et je me posais toujours la même question : « À qui pense-t-il ? »
    « Ton départ m’a apporté la solitude, comme si j'étais dans le désert.
    S’il te plaît, donne-moi de l’eau car j’ai soif à cause de ton absence !
    Mon cœur demande ta présence permanente pour chanter notre chanson d'amour.
    Le soleil refuse d'apparaître avant de connaître l'endroit où tu vis.
    Aujourd’hui on va fêter notre noble mariage qui a duré très longtemps.
    On a vécu des moments inoubliables pendant lesquels tu ne t'es jamais lamentée.
    Tu as été le bonheur et une partie de mon cœur ;
    mais…
    Tu es partie et sans espoir de retour.
    Tu m’as laissé seul avec les souvenirs.
    La douleur de ton absence me tue, tandis que l’image de ton sourire me calme et me donne l’envie de vivre. »
    Un jour, je décidai de découvrir la réalité. Je surmontai ma peur et demandai son aide à un ami ; on avait placé une échelle sous la fenêtre de la maison de ce vieux, je montai discrètement, pas-à-pas, pour jeter un coup d’œil. C’était un homme d'une longue barbe blanche et d'une moustache qui recouvrait ses lèvres. Ses pas étaient lourds et son dos voûté, mais malgré l'âge, la lassitude et la tristesse qu'il supportaient à peine, sa maison était bien nettoyée et arrangée. Sur le mur de cette pièce était accroché un grand tableau où était dessiné le beau visage d'une dame. Je devinais que c’était sa femme. Cet homme était triste et déçu à cause du départ de son épouse. « Je vais te rejoindre mon amour. » ; je l’entendis dire ces mots en s'adressant au tableau et je compris qu’elle était morte.
    Derrière lui, il y avait une chaise sous une corde accrochée au plafond. Je dis à mon ami qui maintenait toujours l’échelle pour m'empêcher de tomber : « Cet homme a des mauvaises idées, je pense qu’il veut en finir avec la vie ». « Tu dois l’en empêcher » cria-t-il.
    Tout à coup, il monta sur la chaise et mit la corde autour de son cou. « Ah ! Mon Dieu ! » Je le dis avant de sauter par la fenêtre pour me trouver face-à-face avec lui. Il me dévisagea de ses yeux pleins de larmes.
    « S’il vous plaît monsieur, ne faites pas cela.
    - Je suis triste dans ce monde sans elle.
    - Mais pensez à elle, elle ne voudrait sûrement pas vous voir dans cet état.
    - Oui ! Mais elle me manque et je veux aller chez elle !
    - Elle est morte et vous devez continuer votre vie et lui montrer que vous êtes capable de relever les défis et remonter la pente.
    - Je ne peux pas.
    - Vous avez sûrement eu tous les deux quelques objectifs communs.
    - Oui, nous avons voulu aider les enfants du monde, c'était son vœu.
    - Alors, pourquoi n’essayez-vous de le réaliser ? On va vous aider.
    Tu as raison mon fils. »
    Je l'aidai à enlever la corde et descendre de la chaise. Il me remercia. J'éprouvais du bonheur et de la fierté au point d'oublier même les douleurs de ma main fracturée. Après cet évenement, nous étions devenus des amis malgré la différence d’âge. Nous nous sommes déplacés dans tous les endroits de notre ville pour nous occuper des enfants pauvres et de ceux qui n'avaient pas de domicile. Il avait créé un hospice pour les orphelins.
    ***

    -------------------
    Modifié par azeddine1 le 09-08-2018 12:08





    Réponse : Brave enfant de alienor64, postée le 09-08-2018 à 16:18:10 (S | E)
    Bonjour azeddine1


    N'est recopié ici que ce qui comporte encore quelques erreurs ; le reste du texte est vraiment très correct.

    - Aujourd’hui on va fêter notre noble mariage qui a duré très longtemps(correct ; mais si vous voulez conserver le 'plus que' que vous aviez mis auparavant, vous pouvez écrire : 'plus longtemps que je ne l'aurais (jamais) imaginé' (ici, 'jamais' est facultatif ; qu'il soit employé ou non ne modifie pas le sens de la phrase, mais il peut l'alourdir).

    - Un jour, intrigué, je décidai de découvrir la réalité(autre mot : 'vérité', car la réalité, vous la connaissez : vous entendez parler le vieil homme !). Je surmontai ma peur et demandai son aide à un ami ; on avait placé une échelle sous la fenêtre de la maison de ce vieux( dire 'ce vieux' est quelque peu méprisant, en tout cas irrespectueux vis-à-vis d'une personne âgée et ce n'est pas votre intention ; préférez 'ce vieux monsieur' ou 'ce vieil homme'),(remplacez la virgule par une conjonction de coordination)) je montai discrètement, pas-à-pas pas à pas (ici, je viens rectifier mon erreur : il ne faut pas de traits d'union lorsque vous voulez dire 'lentement, sans se hâter' et au figuré 'progressivement' ('pas à pas' est dans ce cas une locution adverbiale, c'est-à-dire qu'elle peut être remplacée par un adverbe) ; mais quand il s'agit d'un terme de mécanique (nom et adjectif invariables), il faut les traits d'union), pour jeter un coup d’œil. C’était un homme d'(la préposition correcte est 'avec' (accompagnement, manière) une longue barbe blanche et d'(enlever) une moustache qui recouvrait ses lèvres. Ses pas étaient lourds et son dos voûté, mais malgré l'âge, la lassitude et la tristesse qu'il supportaient(sujet 'il') à(enlever ; 'avec') peine, sa maison était bien nettoyée et arrangée.

    - Derrière lui, il y avait une chaise sous une corde accrochée au plafond. Je dis à mon ami qui maintenait toujours l’échelle pour m'empêcher( autre verbe : 'éviter' pour, justement, éviter une répétition) de tomber : « Cet homme a des mauvaises idées, je pense qu’il veut en finir avec la vie ». « Tu dois l’en empêcher » cria-t-il.


    - Alors, pourquoi n’essayez-vous ( 'n'essayez-vous de...' est correct, mais littéraire. Dans un dialogue comme celui-ci, mieux vaut employer l'expression courante avec 'ne... pas') de le réaliser ? On va vous aider.
    Tu as raison mon fils. »
    Je l'aidai à enlever la corde et descendre de la chaise(De cette façon, c'est déjà beaucoup mieux ! ). Il me remercia. J'éprouvais du bonheur et de la fierté au point d'oublier même les douleurs de ma main fracturée. Après cet évenement(il manque un accent), nous étions devenus des amis malgré la différence d’âge. Nous nous sommes déplacés dans tous les endroits(autre mot plus adapté à une ville : 'quartiers') de notre ville pour nous occuper des enfants pauvres et de ceux qui n'avaient pas de domicile. Il avait créé un hospice pour les orphelins.

    Bonne journée



    Réponse : Brave enfant de azeddine1, postée le 10-08-2018 à 11:27:12 (S | E)
    Bonjour Alienor et merci beaucoup.
    - Aujourd’hui on va fêter notre noble mariage qui a duré plus longtemps que je ne l'aurais jamais imaginé.

    - Un jour, intrigué, je décidai de découvrir la vérité. Je surmontai ma peur et demandai son aide à un ami ; on avait placé une échelle sous la fenêtre de la maison de ce vieux monsieur et je montai discrètement, pas à pas, pour jeter un coup d’œil. C’était un homme avec une longue barbe blanche et une moustache qui recouvrait ses lèvres. Ses pas étaient lourds et son dos voûté, mais malgré l'âge, la lassitude et la tristesse qu'il supportait avec peine, sa maison était bien nettoyée et arrangée. 

    - Derrière lui, il y avait une chaise sous une corde accrochée au plafond. Je dis à mon ami qui maintenait toujours l’échelle pour m'éviter de tomber : « Cet homme a des mauvaises idées, je pense qu’il veut en finir avec la vie ». « Tu dois l’en empêcher » cria-t-il.


    - Alors, pourquoi n’essayez-vous pas de le réaliser ? On va vous aider.
    Tu as raison mon fils. »
    Je l'aidai à enlever la corde et descendre de la chaise(:-) merci). Il me remercia. J'éprouvais du bonheur et de la fierté au point d'oublier même les douleurs de ma main fracturée. Après cet événement, nous étions devenus des amis malgré la différence d’âge. Nous nous sommes déplacés dans tous les quartiers de notre ville pour nous occuper des enfants pauvres et de ceux qui n'avaient pas de domicile. Il avait créé un hospice pour les orphelins.

    Bonne journée 
    ***

    -------------------
    Modifié par azeddine1 le 10-08-2018 11:50





    Réponse : Brave enfant de alienor64, postée le 10-08-2018 à 18:56:05 (S | E)

    Bonsoir azeddine1

    Cette fois-ci, votre texte est parfait !

    Bonne continuation



    Réponse : Brave enfant de azeddine1, postée le 10-08-2018 à 23:47:52 (S | E)
    Bonsoir Alienor

    Vous avez fait un grand effort pour corriger ce texte.



    Réponse : Brave enfant de alienor64, postée le 11-08-2018 à 10:25:18 (S | E)

    Avec plaisir, azeddine1


    Bonne fin de semaine




    Réponse : Brave enfant de azeddine1, postée le 14-08-2018 à 00:57:48 (S | E)
    A vous aussi
    Merci beaucoup.




    [POSTER UNE NOUVELLE REPONSE] [Suivre ce sujet]


    Cours gratuits > Forum > Apprendre le français

     


    > INDISPENSABLES : TESTEZ VOTRE NIVEAU | GUIDE DE TRAVAIL | NOS MEILLEURES FICHES | Les fiches les plus populaires | Recevez une leçon par semaine | Exercices | Aide/Contact

    > INSEREZ UN PEU DE FRANÇAIS DANS VOTRE VIE QUOTIDIENNE ! Rejoignez-nous gratuitement sur les réseaux :
    Instagram | Facebook | Twitter | RSS | Linkedin | Email

    > NOS AUTRES SITES GRATUITS : Cours d'anglais | Cours de mathématiques | Cours d'espagnol | Cours d'italien | Cours d'allemand | Cours de néerlandais | Tests de culture générale | Cours de japonais | Rapidité au clavier | Cours de latin | Cours de provencal | Moteur de recherche sites éducatifs | Outils utiles | Bac d'anglais | Our sites in English

    > INFORMATIONS : Copyright - En savoir plus, Aide, Contactez-nous [Conditions d'utilisation] [Conseils de sécurité] [Plan du site] Reproductions et traductions interdites sur tout support (voir conditions) | Contenu des sites déposé chaque semaine chez un huissier de justice | Mentions légales / Vie privée / Cookies. [Modifier vos choix]
    | Cours et exercices de français 100% gratuits, hors abonnement internet auprès d'un fournisseur d'accès. | Livre d'or | Partager sur les réseaux