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    Nature et fonction des phrases

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    Nature et fonction des phrases
    Message de magique posté le 31-10-2019 à 14:09:07 (S | E | F)
    Bonjour,
    Je dois faire une analyse morpho syntactique des propositions et je ne sais pas comme me prendre. J'ai fait ce que j'ai pu mais je ne sais pas si c'est correct et complet.
    Vous pouvez m'aider s'il vous plaît?
    Je vous remercie par avance.
    Bonne journée

    Les séquences proposées sont celles qui sont entre parenthèses.

    1. La réponse venait aux lèvres d’elle même, dès qu’il avait fini de parler, et les phrases allaient vers lui comme (si ce qu’il avait dit les faisait sortir) de la bouche naturellement.

    2. Je le connaissais depuis un quart d’heure, et il me semblait (qu’il était) un de mes anciens amis, que tout, de lui, (m’était familier) depuis longtemps.


    Le premier élément souligné est composé de deux propositions.

    La première « comme si ce qu’il avait dit » qui est une subordonnée circonstancielle de comparaison est constitué de:
    la locution conjonctive de subordination « comme si »,
    « ce » est un pronom démonstratif complément d’objet direct,
    « qu’=que » pronom relatif est élidé car l’élément qui le suit commence par une voyelle,
    « il » pronom personnel de troisième personne du singulier masculin,
    les verbes transitif directes « avait dit» verbe « avoir » conjugué à la troisième personne du singulier de l’imparfait de l’indicatif et le participe passé du verbe « dire » forment le plus-que-parfait.

    La deuxième proposition « les faisait sortir » est une subordonnée infinitive.
    Elle est composé:
    d’un pronom complément d'objet direct « les »,
    du verbe transitif direct « faire » conjugué à la troisième personne su singulier de l’imparfait de l’indicatif et
    du verbe transitif direct infinitif « sortir »

    Le deuxième élément "qu'il était" est une subordonnée relative introduite par:
    le pronom relatif « qu’=que » élidé car le mot qui lui suit commence par une voyelle,
    du pronom personnel de troisième personne su singulier masculin « il »
    et du verbe « être » conjugué à l’imparfait de l’indicatif.

    Le troisième élément à analyser « m’était familier » fait partie d’une proposition subordonnée relative introduit par le pronom relatif « que ». La séquence soulignée est composé du pronom personnel sujet complément d’objet indirect « m’=me » élidé car le suivant est du verbe « être » à l’imparfait de l’indicatif et de l’adjectif « familier ».




    Réponse : Nature et fonction des phrases de jij33, postée le 01-11-2019 à 06:49:34 (S | E)
    Bonjour
    Analyse morphosyntaxique. Ne l'ayant jamais pratiquée au cours de mes (très lointaines) études de lettres classiques, j'en découvre l'existence, mais la grammaire reste la grammaire, alors essayons quand même... sans garantie.

    Le premier élément souligné est composé de deux propositions.

    La première « comme si ce qu’il avait dit » qui est une subordonnée circonstancielle de comparaison est constituée de:
    la locution conjonctive de subordination « comme si », (vous avez mis la parenthèse après comme, ce qui pose un problème, parce que "comme si" combine comparaison et condition. S'il faut prendre en compte seulement "si", il n'y a pas de comparaison.)
    « ce » est un pronom démonstratif (Oui) complément d’objet direct, (non, c'est une partie du sujet de "faisait")
    « qu’=que » pronom relatif est élidé car l’élément qui le suit commence par une voyelle, (il me semble inutile de parler de l'élision, mais nécessaire d'en donner la fonction : le relatif que est toujours COD, ici de "avait dit".)
    « il » pronom personnel de troisième personne du singulier masculin, (fonction ?)
    les verbes transitif directes le verbe transitif direct « avait dit» composé de l'auxiliaire verbe « avoir » conjugué à la troisième personne du singulier de l’imparfait de l’indicatif et le du participe passé du verbe « dire » formant le plus-que-parfait.
    Là, il y a un problème dont je ne parviens pas à sortir, parce que "ce qu'il avait dit" est sujet de "faisait". On aurait pu dire "comme si ses paroles précédentes les faisaient sortir". J'en déduis qu'il faut traiter à part la relative "qu'il avait dit", complément de l'antécédent "ce".

    Le reste plus tard : les vacances scolaires ne sont pas des vacances pour les grands-mères de petits-enfants presqu'aussi lève-tôt que leur grand-mère. On m'appelle !



    Réponse : Nature et fonction des phrases de magique, postée le 01-11-2019 à 11:11:16 (S | E)
    Bonjour,
    Merci de votre aide.
    Bon weekend et profitez bien de vos petits lève-tôt.



    Réponse : Nature et fonction des phrases de jij33, postée le 01-11-2019 à 11:17:34 (S | E)
    Bonjour
    Pouvez-vous corriger cette partie, s’il vous plaît ?



    Réponse : Nature et fonction des phrases de magique, postée le 03-11-2019 à 14:08:07 (S | E)
    Bonjour,
    Je ne comprends pas ce qui pose problème pour la dernière partie. En ce qui concerne la première la phrase soulignée commence avec "si" mais je ne sais pas si ça soit logique de l'analyser sans le "comme". Au même temps je ne comprends pas grande chose :-(
    Voici les corrections. Merci énormément et bonne journée.


    Le premier élément souligné est composé de deux propositions. La première « comme si ce qu’il avait dit » est une subordonnée circonstancielle de comparaison constituée de la locution conjonctive de subordination « comme si », « ce » est un pronom démonstratif partie du sujet de « faisait », « qu’=que » pronom relatif, « il » pronom personnel de troisième personne du singulier masculin et sujet du verbe « avait dit », le verbe transitif directe « avait dit» composé de l’auxiliaire « avoir » conjugué à la troisième personne du singulier de l’imparfait de l’indicatif et du participe passé du verbe « dire » formant le plus-que-parfait. La deuxième proposition « les faisait sortir » est une subordonnée infinitive. Elle est composé d’un pronom complément ’objet direct « les », du verbe transitif direct « faire » conjugué à la troisième personne su singulier de l’imparfait de l’indicatif et su verbe transitif direct infinitif « sortir »



    Réponse : Nature et fonction des phrases de jij33, postée le 04-11-2019 à 06:56:10 (S | E)
    Bonjour
    Je ne comprends pas ce qui pose problème pour la dernière partie. En ce qui concerne la première, la phrase soulignée commence avec "si" mais je ne sais pas si ça soit s'il est logique de l'analyser sans le "comme". Au En même temps, je ne comprends pas grande chose :-(
    Voici les corrections. Merci énormément et bonne journée.

    Pour davantage de lisibilité, allez à la ligne à chaque nouveau mot analysé..
    Le premier élément souligné est composé de deux propositions. La première « comme si ce qu’il avait dit faisait ("qu'il avait dit" est à traiter à part : c'est une subordonnée relative et "ce", équivalent de "cela" est le sujet de faisait) » est une subordonnée circonstancielle de comparaison et de condition constituée de la locution conjonctive de subordination « comme si », « ce » est un pronom démonstratif partie du sujet de « faisait »,
    « qu’=que » pronom relatif (il manque la fonction, que je vous ai donnée dans ma réponse précédente.) ,
    « il » pronom personnel de troisième personne du singulier masculin et sujet du verbe « avait dit »,
    le verbe transitif directe (orthographe : accord avec "verbe") « avait dit» (virgule) composé de l’auxiliaire « avoir » conjugué à la troisième personne du singulier de l’imparfait de l’indicatif et du participe passé du verbe « dire » (virgule) formant le plus-que-parfait.
    La deuxième proposition « les faisait sortir » (sans faisait, qui appartient à une autre proposition, comme vu p,us haut) est une subordonnée infinitive . Elle est composé d’un pronom (quel genre de pronom ? Il manque un mot) complément ’objet direct « les » (faux : voir ci-dessous), du verbe transitif direct « faire » conjugué à la troisième personne su singulier de l’imparfait de l’indicatif et su (faute de frappe) verbe transitif direct infinitif « sortir ».

    La caractéristique d'une proposition infinitive, c'est qu'elle contient évidemment un infinitif et que cet infinitif a un sujet propre, c'est-à-dire son propre sujet, et elle est COD d'un verbe. Par exemple : j'entends un merle chanter.
    J'entends : proposition principale.
    Un merle chanter : proposition infinitive, COD de j'entends.
    Ici, je n'ai pas analysé chaque mot (chaque lexème, si j'ai bien compris le vocabulaire employé en analyse morphosyntaxique). Évitez les guillemets partout en allant à la ligne et en plaçant le signe deux-points après chaque groupe ou mot à analyser.
    Je traiterai la suite de votre travail aujourd'hui, dans un autre message, mes petits lève-tôt ayant pris le large.
    Sur la proposition infinitive : Lien internet
    Lien internet
    Bonne correction et à plus tard. Courage !



    Réponse : Nature et fonction des phrases de jij33, postée le 04-11-2019 à 12:14:09 (S | E)
    Bonjour magique
    (Suite)

    2. Je le connaissais depuis un quart d’heure, et il me semblait (qu’il était) un de mes anciens amis, que tout, de lui, (m’était familier) depuis longtemps.
    Le deuxième élément "qu'il était" est une subordonnée relative (non. Voir les liens suivants) introduite par: Lien internet
    Lien internet

    le pronom relatif (eh non ! Mais comme vous avez lu les liens précédents, vous êtes capable de corriger) « qu’=que » élidé car le mot qui lui suit commence par une voyelle, (il me semble que ces considérations sur l'élision sont superflues, mais je peux me tromper, car je n'ai jamais fait d'analyse morphosyntaxique jusqu'à maintenant.)
    du pronom personnel de la troisième personne su (faute de frappe) singulier masculin (on dit plutôt masculin singulier ; c'est valable pour vos analyses précédentes) « il »
    et du verbe « être » conjugué à l’imparfait de l’indicatif. Oui.

    Le troisième élément à analyser « m’était familier » fait partie d’une proposition subordonnée relativev(eh non ! Cette proposition ne complète pas un nom, mais un verbe, comme ci-dessus) introduit (orthographe : accord avec "proposition") par le pronom relatif (non) « que ». La séquence soulignée est composé (orthographe : accord avec séquence. du pronom personnel sujet (supprimez : s'il est complément d'objet, il n'est pas sujet, et vice versa) complément d’objet indirect (non car le verbe être est intransitif. La fonction est difficile à trouver, mais voir lien ci-dessous) « m’=me » élidé car le suivant est du verbe « être » à l’imparfait de l’indicatif et de l’adjectif « familier » (fonction de cet adjectif ?.

    Ce Lien internet
    aborde le complément d'attribution dans le patagraphe 4, mais il date des débuts du site et la nomenclature grammaticale a changé...
    De nos jours, on appelle complément d'objet second (COS) ce qu'autrefois on appelait complément d'attribution. Avec le verbe être, qui est intransitif, j'ai tendance à penser qu'on ne peut pas parler de COI (complément d'objet indirect). Si c'était du latin, je dirais que c'est un datif d'intérêt. Oui, mais c'est du français, alors je dirais complément d'attribution. En fait, je sèche un peu, probablement parce que je suis trop exigeante en analyse. Je ne sais pas ce qu'attend votre correcteur : s'il admet COI, vous êtes sauvée.

    Bonne correction. Moi, je frôle la méningite !



    Réponse : Nature et fonction des phrases de magique, postée le 10-11-2019 à 14:51:56 (S | E)
    Je vous remercie. Votre correction est parfaite mais j'ai toujours de doutes quant à la mienne. Vous allez la trouver ci-dessous si vous avez un peu de temps à m'accorder entre vos petits enfants et votre méningite ;-). Pourriez-vous me dire si elles sont justes s'il vous plaît? Merci encore!


    comme si ce: subordonnée circonstancielle de comparaison et de condition constituée de la locution conjonctive de subordination « comme si »;
    ce: pronom démonstratif sujet de « faisait »;
    qu’=que: pronom relatif complément d’objet direct COD de « avait dit »;
    il: pronom personnel de troisième personne du singulier masculin et sujet du verbe « avait dit »;
    avait dit: verbe transitif direct composé de l’auxiliaire « avoir » conjugué à la troisième personne du singulier de l’imparfait de l’indicatif et du participe passé du verbe « dire », formant le plus-que-parfait.

    ("qu'il avait dit" est à traiter à part : c'est une subordonnée relative et "ce", équivalent de "cela" est le sujet de faisait) => Je la présente comme celle-ci?


    Les faisait sortir: (sans faisait, qui appartient à une autre proposition, comme vu plus haut / je ne comprends pas le fait d’enlever le verbe alors qu’il fait parti de la proposition) est une subordonnée infinitive .
    Les: pronom défini complément d’objet direct de « les phrases »,
    faire: verbe transitif direct conjugué à la troisième personne su singulier de l’imparfait de l’indicatif
    sortir: verbe transitif direct infinitif.


    Je le connaissais depuis un quart d’heure, et il me semblait (qu’il était) un de mes anciens amis, que tout, de lui, (m’était familier) depuis longtemps.
    qu'il était est une subordonnée conjonctive;
    qu’=que: conjonction de subordination
    il: pronom personnel de la troisième personne du masculin singulier;
    être : auxiliaire conjugué à l’imparfait de l’indicatif.


    m’était familier: proposition subordonnée conjonctive introduite par le conjonction de subordination « que ».
    m’=me: pronom complément d’objet second
    être: auxiliaire conjugué à l’imparfait de l’indicatif;
    familier: adjectif attribut



    Réponse : Nature et fonction des phrases de jij33, postée le 12-11-2019 à 11:15:01 (S | E)
    Bonjour magique
    C'est mieux, mais encore perfectible.

    - comme si ce faisait: subordonnée circonstancielle de comparaison et de condition constituée de la locution conjonctive de subordination « comme si »
    ce: pronom démonstratif sujet de « faisait » ; OK, mais une subordonnée contient un verbe, et ici, le verbe, c'est faisait.
    faisait : à analyser ici

    - Ici, recopier la relative et donner nature et fonction.
    qu’=que: pronom relatif complément d’objet direct COD de « avait dit »;
    il: pronom personnel de la troisième personne du singulier masculin (plutôt masculin singulier, dans cet ordre. C'est une convention qu'il vaut mieux respecter) et sujet du verbe « avait dit »; OK. N'oubliez pas l'espace avant le point-virgule.
    avait dit: verbe transitif direct composé de l’auxiliaire « avoir » conjugué à la troisième personne du singulier de l’imparfait de l’indicatif et du participe passé du verbe « dire », formant le plus-que-parfait.


    - Les faisait sortir: (sans faisait, qui appartient à une autre proposition, comme vu plus haut / je ne comprends pas le fait d’enlever le verbe alors qu’il fait partie de la proposition ) est une subordonnée infinitive . (Pas tout à fait. Je vous ai montré ci-dessus que "faisait" fait partie de la subordonnée conjonctive. L'infinitive se compose donc de "les sortir") Il faudra aussi donner la fonction de la proposition infinitive.
    Les: pronom défini personnel complément d’objet direct de « les phrases »,(seuls les verbes peuvent avoir un COD, en aucun cas les noms !) Le pronom personnel les est sujet de l'infinitif "sortir".
    faire: verbe transitif direct conjugué à la troisième personne su singulier de l’imparfait de l’indicatif supprimer, car n'appartient pas à la subordonnée infinitive.
    sortir: verbe transitif direct infinitif, noyau (ou base) de la proposition infinitive.


    Je le connaissais depuis un quart d’heure, et il me semblait (qu’il était) un de mes anciens amis, que tout, de lui, (m’était familier) depuis longtemps.
    qu'il était est une subordonnée conjonctive (espace);
    qu’=que: conjonction de subordination
    il: pronom personnel de la troisième personne du masculin singulier; (sa fonction ?)
    être : auxiliaire (non, c'est un auxiliaire quand il sert à conjuguer un verbe : elle était sortie, ils étaient partis. Sinon, c'est un verbe à part entière conjugué à l’imparfait de l’indicatif.


    m’était familier: proposition subordonnée conjonctive introduite par le conjonction de subordination « que ».
    m’=me: pronom personnel, (il manque la personne) complément d’objet second. Pour moi, ce n'est pas un COS, mais un complément d'attribution, parce que pour qu'il y ait complément d'objet second, il faut d'abord qu'il y ait un premier complément d'objet. Mais admettons...
    être: auxiliaire (voir remarque précédente sur être) conjugué à l’imparfait de l’indicatif;
    familier: adjectif attribut du sujet tout.

    Bonne correction. Si vous n'avez pas compris quelque chose, n'hésitez pas à demander des explications.



    Réponse : Nature et fonction des phrases de magique, postée le 20-11-2019 à 00:36:13 (S | E)
    Je suis désolée mais je ne comprends rien du principe de d'écoute de propositions. J'ai cru comprendre qu'il fallait repérer les verbes conjugués, les pronoms relatifs ainsi que les conjonctions de subordination pour procéder au découpage.

    Je découpe la phrase qui suit de cette manière:

    La réponse venait aux lèvres d’elle même, dès qu’il avait fini de parler, et les phrases allaient vers lui comme (si ce qu’il avait dit les faisait sortir) de la bouche naturellement.
    1ère proposition.

    La réponse venait au lèvres
    dès qu'il avait fini de parler
    et les phrases allaient vers lui
    comme si ce qu'il avait dit
    les faisait sortir

    Je ne sais pas si je fais bien. Si c'est le cas...pourquoi le verbe faisait de la 4ème proposition se retrouve dans la troisième?

    J'espère que vous allez avoir un peu de patience encore pour essayer de faire comprendre me petites neurones.
    merci



    Réponse : Nature et fonction des phrases de jij33, postée le 20-11-2019 à 06:43:48 (S | E)
    Bonjour magique
    La réponse venait aux lèvres d'elle-même
    dès qu'il avait fini de parler
    et les phrases allaient vers lui
    comme si ce qu'il avait dit
    les faisait sortir
    faux.

    "Je suis désolée (moi aussi ! 😀) mais je ne comprends rien du au principe de d'écoute découpage de propositions. J'ai cru comprendre qu'il fallait repérer les verbes conjugués, les pronoms relatifs ainsi que les conjonctions de subordination pour procéder au découpage." Oui, sauf quand on rencontre une proposition infinitive ou participe, puisque ce sont des subordonnées qui ne contiennent pas de verbes conjugués et qui ne sont introduites par aucun subordonnant. Lien internet
    Lien internet

    Les sortir : proposition infinitive, COD de faisait. Il faut donc placer faisait ailleurs et "qu'il avait dit" tout seul, puisque c'est une proposition subordonnée relative, dont qu' est le subordonnant. On coupe avant qu'.
    Comme si ce faisait
    Qu'il avait dit
    Les sortir

    Remarque : neurone est un nom masculin -> mes petits neurones.





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