Paris, mon rêve !
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Paris, mon rêve !
Message de seeusoon posté le 27-11-2019 à 07:39:57 (S | E | F)
Bonjour tout le monde!
Pourriez-vous corriger mon court article 'Paris, mon rêve !, s'il vous plaît. Merci !

Lorsque je suis arrivé à l'aéroport Charles De Gaulle, le rêve de mes douze ans est devenu réalité. Je me souviens bien de cette époque, moi et mes deux amis proches, nous trois étions tout le temps dans la bibliothèque de l'école et passions du temps à regarder des photos de la tour Eiffel, de la Joconde, du Louvre, du Château de Versailles, etc... cependant tout le monde jouait du foot sur le terrain joyeusement. "Nous somme différents que le reste de la classe" j'ai pensé discrètement. Par exemple, nous trois, on aimait l'art, le design, la musique traditionnelle et Paris tandis que la majorité d'élèves de classe aimaient jouer au sport, participer aux activités du club, la musique rock et ne connaissaient pas Paris pour sûr. Donc ce n'était pas si facile pour nous trois d'avoir été patients et de nous entendre avec eux. En plus, ils se moquaient de nous fréquemment. Avec cette situation, nous somme devenus très très bons amis. (Ah! L'école était une école pour garçon) Un jour, pendant nous faisions les dessins dans la bibliothèque comme d'habitude, un sur deux amis nous a annoncé qu'il serait allé à Paris s'il avait été grand. Il voudrait y travailler dans la mode. Un autre ami a dit qu'il serait y allé aussi pour lui accompagner et donc, à mon tour de répondre, je les ai dit "Paris? C'est mon rêve et je ne sait pas quand je vais me réveiller!" J'ai dit ça étant donné que nous vivions dans une ville rurale où il n'avait même pas du moyen de transport. On allait à l'école à vélo. Quinze ans plus tard, c'était incroyable que ce sois moi, un seul qui ai réussi d'attraper un rêve d'arriver à Paris... Paris, une de plus belle ville du monde, la capitale de la mode du monde, la ville de la lumière! Le premier jour à Paris, je suis allé à la tour Eiffel. J'étais étonnant, c'était inimaginable que je fusse juste devant une tour de fer la plus célèbre du monde. Je me souviens toujour le sentiment de chaque premier vue quand j'étais devant tous des sites immanquables. D'ailleur j'ai fait la première rencontre de la Joconde au Louvre tout de suite après la tour Eiffel, je l'ai admiré pendant vingt minute. Même après je l'ai revisitè encore et encore vers quatorze fois pendant 2 ans. Notre Dame, j'étais très heureux de le visiter en vrai, etc,.. Par fois je regrettais que mes amis n'eussent pas une chance comme moi. Si ils savaient que j'étais à Paris, ils seraient très contents avec moi, je suis sûr.

Réponse : Paris, mon rêve ! de alienor64, postée le 27-11-2019 à 11:22:47 (S | E)
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Bonjour seeusoon

Pourriez-vous m'aider à corriger mon court(court ???) article 'Paris, mon rêve !, s'il vous plaît. Merci !
Superlatif : Lien internet
Ponctuation et espaces : Lien internet
L'élision : Lien internet
Structures avec 'si' : Lien internet

Lorsque je suis arrivé à l'aéroport Charles De Gaulle, le rêve de mes douze ans est devenu réalité. Je me souviens bien de cette époque,(pas de virgule, mais pronom relatif complément circonstanciel de temps) moi(la courtoisie veut que l'on se place après les autre) et mes deux amis proches(devant le nom et mettre cet adjectif au superlatif relatif : voir lien),(autre ponctuation) nous trois(après le verbe et entre deux virgules) étions tout le temps dans la bibliothèque de l'école et passions du temps(autre mot pour éviter une répétition) à regarder des photos de la tour(majuscule) Eiffel, de la Joconde, du Louvre, du Château de Versailles, etc...(pas de points de suspension après 'etc', mais point) cependant(début de phrase : majuscule, mais autre connecteur pour expliquer que, malgré les heures passées à la bibliothèque, vous saviez aussi vous détendre) tout le monde jouait du(déterminant contracté, contraction de 'à + le') foot sur le terrain(quel terrain ? Celui de votre école, de votre collège, de votre commune ? Il faut le préciser) joyeusement. "Nous somme(orthographe) différents que le(erreur : contraction de 'de + le') reste de la classe" j'ai pensé(inversion verbe/ pronom sujet, sans oublier le trait d'union ; vous placerez l'adverbe qui suit entre le pronom sujet et le participe passé) discrètement. Par exemple, nous trois, on aimait l'art, le design, la musique traditionnelle et Paris (virgule) tandis que la majorité d'(pluriel) élèves de (ici, déterminant défini) classe aimaient jouer au(on ne joue pas au sport, mais on fait du sport) sport, participer aux activités du club, (ici, il manque un verbe à l'infinitif) la musique rock et(autre conjonction pour marquer une restriction, précédée d'une virgule) ne connaissaient pas Paris pour sûr(expression familière : à remplacer). Donc(virgule) ce n'était(autre temps : passé composé ou passé simple) pas si facile pour nous trois d'avoir été(à remplacer par le verbe 'se montrer' : vous accorderez le pronom réfléchi) patients et( à remplacer par une préposition pour indiquer le but) de(enlever) espérer nous entendre avec eux. En plus(De plus), ils se moquaient de nous fréquemment. Avec(pas 'avec', mais 'malgré') cette situation, nous somme(orthographe) devenus très très bons amis. (Ah!(espace devant et après un point d'interrogation) L'école était une école pour garçon(un seul garçon dans cette école ???)) Un jour, pendant (ici, conjonction de subordination) nous faisions les dessins(à remplacer par 'dessiner') dans la bibliothèque comme d'habitude, un sur deux amis(incorrect : 'un de nos amis sur deux... ', mais mieux : 'parmi nos amis, un sur deux... ') nous a annoncé qu'il serait allé à Paris s'il avait été grand(mieux : 'plus âgé').(pas de point, mais virgule) (Ici, mettre une proposition subordonnée conjonctive introduite par 'que' ('il nous a annoncé que..., mais que... ')et une indication temporelle : 'mais que plus tard' ; pas de majuscule au mot qui suit) Il voudrait y travailler dans la mode. Un autre ami a dit qu'il serait y( à placer après le pronom personnel sujet) allé aussi pour lui(il faut un pronom personnel COD et non COI : 'accompagner' est transitif) accompagner et donc, à mon tour de répondre, je les ai dit(incorrect : à enlever. Mettre deux points devant un discours direct)) "Paris?(espace devant et après un point d'interrogation) C'est mon rêve et je ne sait(orthographe : 1ere personne du singulier) pas quand je vais me réveiller!" J'ai dit ça(familier : à remplacer par la forme non abrégée de ce pronom) étant donné que nous vivions dans une ville rurale où il n'(ici, mettre le pronom 'y' pour que soit correcte la locution verbale 'il y avait') avait même pas du(après les adverbes de quantité : 'de') moyen(pluriel) de transport. On allait à l'école à vélo. Quinze ans plus tard, c'était incroyable que ce sois(sujet : 'ce', 3e personne du singulier) moi, un(déterminant défini) seul(virgule) qui ai réussi d'(autre préposition) attraper(autre verbe : 'réaliser') un(déterminant défini) rêve d'arriver(autre verbe : 'aller') à Paris... Paris, une de plus belle ville(pluriel) du monde, la capitale de la mode du monde(à remplacer par l'adjectif et à placer après 'capitale'), la ville de la lumière!(espace : voir lien sur la ponctuation et les espaces) Le premier jour à Paris, je suis allé à la tour(majuscule) Eiffel. J'étais étonnant(autre adjectif de la même famille, mais d'un sens différent), c'était pour moi inimaginable que je fusse(à remplacer par l'infinitif 'se trouver', précédé d'une préposition : vous accorderez le pronom réfléchi) juste devant une(déterminant défini) tour de fer la plus célèbre du monde. Je me souviens toujour(orthographe) le(contraction de 'de + le' : on se rappelle quelque chose, mais on se souvient de quelque chose) sentiment de(enlever ; mettre le participe passé de 'éprouver') chaque premier(accord) vue(autre mot 'fois') quand j'étais(enlever) devant tous des(déterminant défini) sites immanquables. D'ailleur(orthographe) (virgule) j'ai fait la(déterminant possessif) première rencontre de(autre préposition, celle qui marque l'accompagnement) la Joconde au Louvre(virgule) tout de suite après (ici, pronom démonstratif féminin, mis pour 'la rencontre', suivi d'une préposition) la tour(majuscule) Eiffel, je l'ai admiré(accord avec 'la Joconde') pendant vingt minute('vingt' entraîne le pluriel). Même après (virgule) je l'ai revisitè(accord + erreur d'accent) encore et encore (virgule) vers(incorrect : 'environ') quatorze fois pendant 2(en toutes lettres) ans. Notre Dame, j'étais très heureux de le('Notre Dame' est une cathédrale : féminin) visiter en vrai(autre expression ou autre formulation), etc,..(un seul point après 'etc')Par fois(orthographe : en un seul mot)(virgule) je regrettais que mes amis n'eussent(subjonctif imparfait, qui peut être remplacé par le subjonctif passé) pas une(déterminant défini) chance comme moi(à remplacer par une proposition relative introduite par 'que' suivi du verbe 'avoir' au passé composé, sujet 'je')Si(élision : voir lien) ils savaient que j'étais(présent, si vous êtes actuellement à Paris. Sinon, si vous n'êtes plus à Paris ou hors du contexte de ce récit, proposition subordonnée : Si + plus-que-parfait de l'indicatif et proposition conjonctive à l'imparfait de l'indicatif, suivi de la proposition principale au conditionnel passé ; voir lien) à Paris, ils seraient très contents avec(soit ils seraient très contents pour vous, soient très contents d'être avec vous ; vous seul le savez et pouvez nous le dire !) moi, je(j'en) suis sûr.

Bonne correction !

Réponse : Paris, mon rêve ! de gerondif, postée le 27-11-2019 à 21:29:31 (S | E)
Bonjour
Il me semble que le cependant de seeusoon est utilisé au sens de :
Pendant ce temps, tous les autres jouaient au foot... ou tandis que, alors que tous les autres jouaient au football (le whereas anglais au sens de mais au contraire).
Une opposition. Nous restions enfermés à lire tandis que tous les autres jouaient au foot. Nous nous sentions différents d'eux...

Réponse : Paris, mon rêve ! de seeusoon, postée le 27-11-2019 à 21:55:52 (S | E)
Bonjour Alienor64
Merci beaucoup pour votre conseils et les liens, ceci est la correction!

« Paris... mon rêve ! »
Pourriez-vous m'aider à corriger mon article « Paris... mon rêve ! » , s'il vous plaît.

Lorsque je suis arrivé à l'aéroport Charles De Gaulle, le rêve de mes douze ans est devenu réalité. Je me souviens bien de cette époque, moi et les deux plus proches d'amis. Nous trois étions tout le temps dans la bibliothèque de l'école et passions du moment à regarder des photos de la Tour Eiffel, de la Joconde, du Louvre, du Château de Versailles, etc. Tandis que tout le monde jouait au foot sur le terrain de l'école joyeusement. « Nous sommes différents du reste de la classe. » ai-je pensé discrètement. Par exemple, nous trois, on aimait l'art, le design, la musique traditionnelle et Paris, en revanche la majorité des élèves de la classe aimaient faire du sport, participer aux activités du club, jouer la musique rock, sauf ne pas connaître Paris évidemment. Donc, ce n'a pas été si facile pour nous trois nous montrer patients pour espèrer nous entendre avec eux. De plus, ils se moquaient de nous fréquemment. Malgré cette situation, nous sommes devenus très très bons amis. ( Ah ! L'école était une école pour garçons. ) Un jour, lorsque nous dessinions dans la bibliothèque comme d'habitude, parmi nos amis, un sur deux nous a annoncé qu'il serait allé à Paris s'il avait été plus âgé, mais que plus tard il voudrait y travailler dans la mode. Un autre ami a dit qu'il y serait allé aussi pour l'accompagner et donc, à mon tour de répondre : « Paris ? C'est mon rêve et je ne sais pas quand je vais me réveiller » Je l'ai dit étant donné que nous vivions dans une ville rurale où il n'y avait même pas de moyens de transport. On allait à l'école à vélo. Quinze ans plus tard, c'était incroyable que ce soit moi, le seul, qui ai réussi à réaliser le rêve d'aller à Paris... Paris, une des plus belles villes du monde, la capitale mondiale de la mode, la ville de la lumière ! Le premier jour à Paris, je suis allé à la Tour Eiffel. J'étais surprise, c'était pour moi inimaginable de me trouver juste devant le tour de fer la plus célèbre du monde. Je me souviens toujours du sentiment éprouvé chaque première fois devant tous les sites immanquables. D'ailleurs, j'ai fait ma première rencontre avec la Joconde au Louvre, tout de suite après celle de la Tour Eiffel, je l'ai admirée pendant vingt minutes. Même après, je l'ai revisitée encore et encore environ quatorze fois pendant deux ans. Notre Dame, j'étais très heureux de la visiter à la réalité, etc. Parfois, je regrettais que mes amis n'aient pas eu la chance que j'aie eu. S'ils savaient que j'étais à Paris, ils seraient très contents d'être avec moi, j'en suis sûr.

Réponse : Paris, mon rêve ! de seeusoon, postée le 27-11-2019 à 21:59:34 (S | E)
Bonjour gerondif
Merci beaucoup pour le conseil. c'est noté!!

Réponse : Paris, mon rêve ! de alienor64, postée le 28-11-2019 à 01:18:57 (S | E)
Bonsoir seeusoon

C'est nettement mieux !

Les pronoms relatifs : Lien internet
Les verbes impersonnels : Lien internet
Forme personnelle, forme impersonnelle : Lien internet

Lorsque je suis arrivé à l'aéroport Charles De Gaulle, le rêve de mes douze ans est devenu réalité. Je me souviens bien de cette époque,(pas de virgule, mais pronom relatif indiquant le temps : voir lien ; déjà signalé) moi(la courtoisie veut que l'on se situe en dernier dans une énumération : déjà signalé) et les(déterminant possessif) deux plus proches d'(enlever)amis.(enlever le point) Nous trois(après le verbe 'étions' et entre deux virgules ; remplacer le pronom 'nous' par un déterminant défini) étions tout le temps dans la bibliothèque de l'école et passions du moment('moment' ne convient pas, préférez 'heures' précédé du déterminant correct) à regarder des photos de la Tour Eiffel, de la Joconde, du Louvre, du Château de Versailles, etc. Tandis que(à remplacer par 'Pendant ce temps' suivi d'une virgule. Explication : 'tandis que' est une locution conjonctive qui introduit une proposition subordonnée à une proposition principale ; or, il manque la proposition principale) tout le monde jouait au foot sur le terrain de l'école joyeusement(après le verbe). « Nous sommes différents du reste de la classe. » ai-je pensé discrètement(mieux : entre le pronom sujet et le participe passé). Par exemple, nous trois, on aimait l'art, le design, la musique traditionnelle et Paris,(autre ponctuation : point-virgule) en revanche(virgule) la majorité des élèves de la classe aimaient faire du sport, participer aux activités du club, jouer (ici, préposition) la musique rock, sauf('sauf' est une préposition ; ce n'est pas la conjonction de coordination demandée pour exprimer une restriction) ne pas connaître(incorrect : il faut conjuguer ce verbe et placer l'adverbe entre le verbe et l'élément 'pas' de la négation) Paris évidemment. Donc, ce(à remplacer par le pronom personnel sujet pour une construction impersonnelle : voir liens) n'a pas été si facile pour nous trois (ici, préposition) nous montrer patients pour espèrer(erreur d'accent) nous entendre avec eux. De plus, ils se moquaient de nous fréquemment. Malgré cette situation, nous sommes devenus très très bons amis. ( Ah ! L'école était une école pour garçons. ) Un jour, lorsque(enlever ; mettre une locution conjonctive exprimant la simultanéité de deux actions : 'tandis que/alors que') nous dessinions dans la bibliothèque comme d'habitude(après le verbe), parmi nos amis, un sur deux nous a annoncé qu'il serait allé à Paris s'il avait été plus âgé, mais que plus tard il voudrait y travailler dans la mode. Un autre ami a dit qu'il y serait allé aussi(mieux : 'volontiers') pour l'accompagner et donc,(enlever) à mon tour de répondre(autre verbe 'déclarer'/ 'avouer', car 'répondre' implique au préalable une question ; or, personne ne vous a questionné !) : « Paris ? C'est mon rêve et je ne sais pas quand je vais me réveiller »(point) Je l'ai dit étant donné que nous vivions dans une ville rurale où il n'y avait même pas de moyens de transport. On allait à l'école à vélo. Quinze ans plus tard, c'était incroyable que ce soit moi, le seul, qui ai réussi à réaliser le rêve d'aller à Paris... Paris, une des plus belles villes du monde, la capitale mondiale de la mode, la ville de la lumière ! Le premier jour à Paris, je suis allé à la Tour Eiffel. J'étais surprise(vous êtes un garçon ou une fille ? De plus, comme vous aviez écrit 'étonnant', je vous avais donné l'indication pour corriger ce mot qui, ici, n'avait pas de sens. Essayez de trouver le mot de la même famille que 'étonnant'), c'était pour moi inimaginable de me trouver juste devant le(le nom 'tour' a deux genres : masculin et féminin. Quand il désigne une construction, il est féminin) tour de fer la plus célèbre du monde. Je me souviens toujours du sentiment éprouvé chaque première fois devant tous les sites immanquables. D'ailleurs, j'ai fait ma première rencontre avec la Joconde au Louvre, tout de suite après celle de la Tour Eiffel,(pas de virgule, mais point-virgule) je l'ai admirée pendant vingt minutes. Même après, je l'ai revisitée encore et encore(virgule) environ quatorze fois pendant deux ans. Notre Dame, j'étais très heureux de la visiter à(autre préposition : 'dans') la réalité, etc.(pourquoi cet 'etc.' ?) Parfois, je regrettais que mes amis n'aient pas eu la chance que j'aie euauxiliaire 'avoir' et COD placé devant le verbe, donc : accord du participe passé). S'ils savaient que j'étais(autre temps : déjà signalé) à Paris, ils seraient très contents d'être avec moi, j'en suis sûr.

Bonne soirée

à gerondif ; je n'avais pas compris le sens de 'cependant'.

Réponse : Paris, mon rêve ! de seeusoon, postée le 28-11-2019 à 12:43:59 (S | E)
Bonjour alienor64,
Merci beaucoup, beaucoup, beaucoup pour votre conseils. Voilà! la correction que j'espère parfaite.

« Paris... mon rêve ! »
Lorsque je suis arrivé à l'aéroport Charles De Gaulle, le rêve de mes douze ans est devenu réalité. Je me souviens bien de cette époque où mes deux plus proches amis et moi étions, les trois, tout le temps dans la bibliothèque de l'école et passions des heures à regarder des photos de la Tour Eiffel, de la Joconde, du Louvre, du Château de Versailles, etc. Pendant ce temps tout le monde jouait joyeusement au foot sur le terrain de l'école. « Nous sommes différents du reste de la classe. » ai-je discrètement pensé. Par exemple, nous trois, on aimait l'art, le design, la musique traditionnelle et Paris ; en revanche, la majorité des élèves de la classe aimaient faire du sport, participer aux activités du club, jouer de la musique rock, mais ne connaissaient évidement rien de Paris. Donc, il n'a pas été si facile pour nous trois de nous montrer patients pour espèrer nous entendre avec eux. De plus, ils se moquaient de nous fréquemment. Malgré cette situation, nous sommes devenus très très bons amis. ( Ah ! L'école était une école pour garçons. ) Un jour, alors que nous dessinions comme d'habitude dans la bibliothèque, parmi nos amis, un sur deux nous a annoncé qu'il serait allé à Paris s'il avait été plus âgé, mais que plus tard il voudrait y travailler dans la mode. Un autre ami a dit qu'il y serait allé volontiers pour l'accompagner et à mon tour de déclarer : « Paris ? C'est mon rêve et je ne sais pas quand je vais me réveiller ». Je l'ai dit étant donné que nous vivions dans une ville rurale où il n'y avait même pas de moyens de transport. On allait à l'école à vélo. Quinze ans plus tard, c'était incroyable que ce soit moi, le seul, qui ai réussi à réaliser le rêve d'aller à Paris... Paris, une des plus belles villes du monde, la capitale mondiale de la mode, la ville de la lumière ! Le premier jour à Paris, je suis allé à la Tour Eiffel. J'étais étonné, c'était pour moi inimaginable de me trouver juste devant la tour de fer la plus célèbre du monde. Je me souviens toujours du sentiment éprouvé chaque première fois devant tous les sites immanquables. D'ailleurs, j'ai fait ma première rencontre avec la Joconde au Louvre, tout de suite après celle de la Tour Eiffel ; je l'ai admirée pendant vingt minutes. Même après, je l'ai revisitée encore et encore, environ quatorze fois pendant deux ans. Notre Dame, j'étais très heureux de la visiter dans la réalité. Il y a encore plusieurs choses dans mes mémoires de Paris dont je me souviens, etc. Parfois, je regrettais que mes amis n'aient pas eu la chance que j'aie eue. S'ils savaient que j'ai été à Paris, ils seraient très contents d'être avec moi, j'en suis sûr.

Réponse : Paris, mon rêve ! de alienor64, postée le 28-11-2019 à 20:34:52 (S | E)

Bonsoir seeusoon

'... pour ~~votre~~ vos conseils. Voilà! la correction que j'espère parfaite.

Allez ! Un dernier petit effort avant... la perfection !

« Paris... mon rêve ! »
Lorsque je suis arrivé à l'aéroport Charles De Gaulle, le rêve de mes douze ans est devenu réalité. Je me souviens bien de cette époque où mes deux plus proches amis et moi étions, les trois, tout le temps dans la bibliothèque de l'école et passions des heures à regarder des photos de la Tour Eiffel, de la Joconde, du Louvre, du Château de Versailles, etc. Pendant ce temps (virgule) tout le monde jouait joyeusement au foot sur le terrain de l'école. « Nous sommes différents du reste de la classe. » ai-je discrètement pensé. Par exemple, nous trois, on aimait l'art, le design, la musique traditionnelle et Paris ; en revanche, la majorité des élèves de la classe aimaient faire du sport, participer aux activités du club, jouer de la musique rock, mais ne connaissaient évidement rien de Paris. Donc, il n'a pas été si facile pour nous trois de nous montrer patients pour espèrer(accent aigu) nous entendre avec eux. De plus, ils se moquaient de nous fréquemment. Malgré cette situation, nous sommes devenus très très bons amis. ( (pas d'espace entre la parenthèse et le mot à l'intérieur)Ah ! L'école était une école pour garçons. (même remarque)) Un jour, alors que nous dessinions comme d'habitude dans la bibliothèque, parmi nos amis, un sur deux nous a annoncé qu'il serait allé à Paris s'il avait été plus âgé, mais que plus tard il irait car il voudrait y travailler dans la mode. Un autre ami a dit qu'il y serait allé volontiers pour l'accompagner et à mon tour de déclarer : « Paris ? C'est mon rêve et je ne sais pas quand je vais me réveiller ». J'e l' ai dit cela étant donné que nous vivions dans une ville rurale où il n'y avait même pas de moyens de transport(de 'moyens de transport' ou 'de transports en commun' ?). On allait à l'école à vélo. Quinze ans plus tard, c'était incroyable que ce soit moi, le seul, qui ai réussi à réaliser le rêve d'aller à Paris... Paris, une des plus belles villes du monde, la capitale mondiale de la mode, la ville de la lumière ! Le premier jour à Paris, je suis allé à la Tour Eiffel. J'étais étonné ( c'est bien ce mot qui a du sens, ici !) c'était pour moi inimaginable de me trouver juste devant la tour de fer la plus célèbre du monde. Je me souviens toujours du sentiment éprouvé chaque première fois devant tous les sites immanquables. D'ailleurs, j'ai fait ma première rencontre avec la Joconde au Louvre, tout de suite après celle de la Tour Eiffel ; je l'ai admirée pendant vingt minutes. Même après, je l'ai revisitée encore et encore, environ quatorze fois pendant deux ans. Notre Dame, j'étais très heureux de la visiter(mieux 'découvrir' pour éviter la répétition du verbe 'visiter') dans la réalité. Il y a encore plusieurs choses dans mes mémoires(à enlever ; au pluriel et avec une majuscule, 'les Mémoires' sont des écrits relatant des évènements d'une période par quelqu'un qui en a été le témoin.) de Paris dont je me souviens,(point) etc.(à enlever) Parfois, je regrettais que mes amis n'aient pas eu la chance que j'aie eue. S'ils savaient que j'ai été(vous n'y êtes donc plus, à Paris, n'est-ce pas ?) à Paris, ils seraient très contents d'être avec moi, j'en suis sûr.

Bonne soirée

Réponse : Paris, mon rêve ! de seeusoon, postée le 28-11-2019 à 22:31:49 (S | E)
Bonsoir alienor64
Ceci, mon dernier souffle! Et grand merci pour vos conseils.

« Paris... mon rêve ! »
Lorsque je suis arrivé à l'aéroport Charles De Gaulle, le rêve de mes douze ans est devenu réalité. Je me souviens bien de cette époque où mes deux plus proches amis et moi étions, les trois, tout le temps dans la bibliothèque de l'école et passions des heures à regarder des photos de la Tour Eiffel, de la Joconde, du Louvre, du Château de Versailles, etc. Pendant ce temps, tout le monde jouait joyeusement au foot sur le terrain de l'école. « Nous sommes différents du reste de la classe. » ai-je discrètement pensé. Par exemple, nous trois, on aimait l'art, le design, la musique traditionnelle et Paris ; en revanche, la majorité des élèves de la classe aimaient faire du sport, participer aux activités du club, jouer de la musique rock, mais ne connaissaient évidement rien de Paris. Donc, il n'a pas été si facile pour nous trois de nous montrer patients pour espérer nous entendre avec eux. De plus, ils se moquaient de nous fréquemment. Malgré cette situation, nous sommes devenus très très bons amis. (Ah ! L'école était une école pour garçons.) Un jour, alors que nous dessinions comme d'habitude dans la bibliothèque, parmi nos amis, un sur deux nous a annoncé qu'il serait allé à Paris s'il avait été plus âgé, mais que plus tard il irait car il voudrait y travailler dans la mode. Un autre ami a dit qu'il y serait allé volontiers pour l'accompagner et à mon tour de déclarer : « Paris ? C'est mon rêve et je ne sais pas quand je vais me réveiller ». J'ai dit cela étant donné que nous vivions dans une ville rurale où il n'y avait même pas de transports en commun. On allait à l'école à vélo. Quinze ans plus tard, c'était incroyable que ce soit moi, le seul, qui ai réussi à réaliser le rêve d'aller à Paris... Paris, une des plus belles villes du monde, la capitale mondiale de la mode, la ville de la lumière ! Le premier jour à Paris, je suis allé à la Tour Eiffel. J'étais étonné, c'était pour moi inimaginable de me trouver juste devant la tour de fer la plus célèbre du monde. Je me souviens toujours du sentiment éprouvé chaque première fois devant tous les sites immanquables. D'ailleurs, j'ai fait ma première rencontre avec la Joconde au Louvre, tout de suite après celle de la Tour Eiffel ; je l'ai admirée pendant vingt minutes. Même après, je l'ai revisitée encore et encore, environ quatorze fois pendant deux ans. Notre Dame, j'étais très heureux de la découvrir dans la réalité. Il y a encore plusieurs choses de Paris dont je me souviens. Parfois, je regrettais que mes amis n'aient pas eu la chance que j'aie eue. S'ils savaient que je suis à Paris, ils seraient très contents d'être avec moi, j'en suis sûr.

Bonne soirée

Réponse : Paris, mon rêve ! de alienor64, postée le 28-11-2019 à 23:10:02 (S | E)
Bonsoir seeusoon

Ceci, mon dernier souffle! Oh non ! Pas votre dernier souffle ! Voyez vous-même ce qu'en dit l'Académie française : 'Le dernier souffle. La dernière expiration, la dernière manifestation de la vie. Synon. le dernier soupir*.Le dernier souffle d'un agonisant, d'un moribond, d'un mourant; exhaler, rendre le dernier souffle; recueillir le dernier souffle de qqn.'

Votre texte est à présent très correct. 'Bravo' pour votre travail !

Bonne continuation

Réponse : Paris, mon rêve ! de seeusoon, postée le 29-11-2019 à 09:28:40 (S | E)
Bonjour alienor64

Merci beaucoup ! he he he !

Réponse : Paris, mon rêve ! de alienor64, postée le 29-11-2019 à 10:57:34 (S | E)
Avec plaisir, seeusoon

Je relève toutefois deux erreurs oubliées que vous corrigerez dans votre texte, mais sans avoir à nous le présenter à nouveau :
- 'mais ne connaissaient ~~évidememt~~ évidemment rien de Paris'
- '... la chance que j'~~aie~~ ai eue.'

Réponse : Paris, mon rêve ! de seeusoon, postée le 30-11-2019 à 10:52:41 (S | E)
Bonjour alienor64
Merci encore une fois! C'est noté!
Bonne Journée

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