Monsieur J
Cours gratuits > Forum > Apprendre le français || En basMessage de fatiati51 posté le 17-03-2020 à 18:27:56 (S | E | F)
Bonjour,
S'il vous plaît, pouvez vous m'aider à corrigé ce texte ? Merci d'avance.
Monsieur J était un professeur dans une école traditionnelle, il enseignait coran, langue et mathématique à toutes les générations. Tous les gens de la ville connaissaient ses comportements particuliers, il est toujours sérieux, calme, discret, réservé dans ses conduites et ses paroles, personne ne l’avait jamais vu sourire, sa personnalité charismatique le procurait un profond respect. En classe, à peine les élèves entendaient sa voix basse, surtout ceux des dernières rangées. Selon lui, le silence régnant dans la classe, est une condition nécessaire, voire indispensable pour l’apprentissage.
Assis sur son fauteuil, immobile comme une pierre, seulement ses lèvres mouvantes montraient qu’il fut encore vivant. La monotonie de sa voix suscitait de temps en temps de l’ennui. Quand un étudiant lui posa une question, il lui répondit avec une ou deux phrases succinctes comportant toute la réponse. Grâce à son savoir abondant et sa sagesse, il détient d’une noblesse incontestable, quoiqu’il appartienne à une famille très modeste.
Dans ses comportements, ses paroles et ses habits se voyaient la noblesse et le respect, son image de soi était un précieux trésor pour lui, il s’efforçait de la garder intacte. Personne n’avait le droit de blesser son image morale, sa dignité l’emportait sur tout.
Un jour, en adoptant sa posture habituelle, le dos dressé sur dossier, les mains sur les jambes, une mouche vint atterrir sur son front, pour s’en débarrasser il remua la tête plusieurs fois mais en vain. Ensuite, la mouche se posa sur son nez, le professeur fit des grimaces continuelles que tous les étudiants les qualifiaient de ridicules. Comme si la mouche voulait explorer son visage, elle se plaça sur sa joue, le professeur fit tous les types de grimaces possibles, malheureusement sans succès. Quand il voyait les yeux des élèves fixer droitement sur lui, il se sentit embarrasser, son visage devint si rouge de honte. Monsieur J, en voulant mettre un terme à cette situation défavorable et dans l’espoir de vaincre la mouche, il fit bouger sa main dans tous les sens en suivant la mouche d’un côté à l’autre, toutes ses tentatives de la chasser étaient sans effet. La mouche bourdonnait, frottait ses pattes, elle se déplaça rapidement afin d’éviter ses coups. Le professeur devint gêné et énervé, il se sentit que son image était abimée, il n’avait jamais pensé qu’un jour il serait exposé à une situation si délicate comme celle-ci. Il avait des solutions pour tous les problèmes, sauf celui-ci. Pour garder le reste de sa fierté, il s’éleva et abandonna le cours dans l’espoir que la mouche quitta la classe.
Réponse : Monsieur J de alienor64, postée le 17-03-2020 à 23:14:06 (S | E)
Bonsoir fatiati51
Valeur des temps simples de l'indicatif : Lien internet
Les temps du récit : Lien internet
Monsieur J était un professeur dans une école traditionnelle, il enseignait coran(majuscule et déterminant défini devant ce nom), langue et mathématique(pluriel pour ces deux noms, précédés d'un déterminant défini) à toutes les générations. Tous les gens de la ville connaissaient ses comportements particuliers(au singulier autre adjectif pour qualifier le comportement),(autre ponctuation) il est(autre temps) toujours sérieux, calme, discret, réservé dans ses conduites(autre mot) et ses paroles,(autre ponctuation) personne ne l'avait jamais vu sourire, sa personnalité charismatique le(pronom personnel COI et non COD) procurait(mieux , autre verbe : 'valoir') un(déterminant défini) profond(enlever) respect (il manque un complément du nom). En classe, à peine les élèves entendaient(ici, pronom personnel sujet et trait d'union entre le verbe et le pronom) sa voix basse(enlever), surtout ceux des dernières rangées(autre mot de la même famille, mais plus court et masculin). Selon lui, le silence régnant(enlever) dans la classe,(pas de virgule) est(autre temps) une(déterminant défini) condition nécessaire, voire indispensable pour l'apprentissage.
Assis sur son fauteuil, immobile comme une pierre(autre mot pour la comparaison de l'immobilité), seulement ses lèvres mouvantes montraient qu'il fut encore vivant(à reformuler car le sujet de cette phrase doit être ce que désigne le participe passé 'Assis', et non 'ses lèvres') . La monotonie de sa voix suscitait de temps en temps de l'ennui. Quand un étudiant lui posa(autre temps : voir lien pour corriger) une question, il lui répondit(même remarque) avec une ou deux phrases succinctes comportant toute la réponse. Grâce à son savoir abondant(enlever) et sa sagesse, il détient(autre temps et autre verbe que 'détenir' : 'témoigner de') d'une noblesse incontestable, quoiqu'il appartienneautre temps du subjonctif) à une famille très modeste.
Dans un premier temps, faites la correction de cette partie du texte. Le reste viendra ensuite.
Bonne correction
Réponse : Monsieur J de fatiati51, postée le 18-03-2020 à 00:49:42 (S | E)
Bonjour,
Merci alienor64 pour l'intérêt porté à mon message, j'ai corrigé le texte en suivant vos conseils.
Monsieur J était un professeur dans une école traditionnelle, il enseignait le Coran, les langues et les mathématiques à toutes les générations. Tous les gens de la ville connaissaient son comportement qui n’avait son pareil. Il était toujours sérieux, calme, discret, réservé dans son comportement et ses paroles, personne ne l’avait jamais vu sourire, sa personnalité charismatique lui valait le respect de tous. En classe, à peine les élèves entendaient-ils sa voix, surtout ceux de derniers rangs. Selon lui, le silence dans la classe, était la condition nécessaire, voire indispensable pour l’apprentissage.
Assis sur son fauteuil, le professeur parait immobile comme une statue, rien ne montrait qu’il fut encore vivant que ses lèvres mouvantes. La monotonie de sa voix suscitait de temps en temps de l’ennui. Quand un étudiant lui posait une question, il lui répondait avec une ou deux phrases succinctes comportant toute la réponse. Grâce à son savoir et sa sagesse, il jouissait d’une noblesse incontestable, quoiqu’il appartint à une famille très modeste.
Réponse : Monsieur J de alienor64, postée le 18-03-2020 à 10:30:29 (S | E)
Bonjour fatiati51
Monsieur J était un(enlever) professeur dans une école traditionnelle,(point-virgule) il enseignait le Coran, les langues et les mathématiques à toutes les générations. Tous les gens(enlever) de(préposition indiquant l'intérieur d'une endroit) la ville connaissaient son comportement(autre mot ; parlez de caractère, de personnalité, de qualités. Faites suivre le nom d'un adjectif approprié) qui n’avait son pareil(incorrect ; enlever). Il était toujours sérieux, calme, discret, réservé dans son comportement(autre mot, en opposition aux paroles) et ses paroles,(autre ponctuation) personne ne l’avait jamais vu sourire, sa personnalité charismatique lui valait le respect de tous. En classe, à peine les élèves entendaient-ils sa voix, surtout ceux de(accord) derniers rangs. (Simple remarque : comment ceux des derniers rangs pouvaient-il apprendre s'ils n'entendaient rien ou presque rien ??? Il faut quand même rester logique !)Selon lui, le silence dans la classe,(pas de virgule) était la condition nécessaire, voire indispensable pour l’apprentissage.
Assis sur(autre préposition ; si on est assis sur une chaise, on n'est pas assis sur un fauteuil !) son fauteuil, le professeur parait (autre temps et autre verbe : 'être') immobile comme une statue, rien ne montrait qu’il fut(subjonctif, donc : accent) encore vivant que ses lèvres mouvantes(incorrect ; employez la préposition qui signifie 'excepté' - merci de ne pas recopier cette indication - et remplacez 'ses lèvres mouvantes' par le nom masculin de la même famille que 'mouvantes' + complément du nom). La monotonie de sa voix suscitait de temps en temps de l’ennui. Quand un étudiant lui posait une question, il lui répondait avec une ou deux phrases succinctes comportant toute la réponse. Grâce à son savoir et sa sagesse, il jouissait d’une noblesse incontestable, quoiqu’il appartint(subjonctif : accent circonflexe) à une famille très modeste.
Bonne journée
Réponse : Monsieur J de fatiati51, postée le 18-03-2020 à 12:16:42 (S | E)
Bonjour,
Merci alienor64 pour l'intérêt porté à mon message, j'ai corrigé le texte en suivant vos conseils.
Monsieur J était professeur dans une école traditionnelle ; il enseignait le Coran, les langues et les mathématiques à toutes les générations. Tous dans la ville connaissaient son caractère unique. Il était toujours sérieux, calme, discret, réservé dans ses actions et ses paroles. Personne ne l’avait jamais vu sourire, sa personnalité charismatique lui valait le respect de tous. En classe, avec le moindre de bruit, à peine les élèves entendaient-ils sa voix, surtout ceux des derniers rangs. Selon lui, le silence dans la classe était la condition nécessaire, voire indispensable pour l’apprentissage.
Assis dans son fauteuil, le professeur fut immobile comme une statue, rien ne montrait qu’il fût encore vivant sauf le mouvement de ses lèvres. La monotonie de sa voix suscitait de temps en temps de l’ennui. Quand un étudiant lui posait une question, il lui répondait avec une ou deux phrases succinctes comportant toute la réponse. Grâce à son savoir et sa sagesse, il jouissait d’une noblesse incontestable, quoiqu’il appartînt à une famille très modeste.
Réponse : Monsieur J de alienor64, postée le 18-03-2020 à 19:00:33 (S | E)
Bonsoir fatiati51
Monsieur J(mettez un point après J. pour indiquer que ce J est la première lettre de son nom) était professeur dans une école traditionnelle ; il enseignait le Coran, les langues et les mathématiques à toutes les générations. Tous dans la ville connaissaient son caractère unique(autre adjectif : singulier). Il était toujours sérieux, calme, discret, réservé dans ses actions et ses paroles. Personne ne l’avait jamais vu sourire, sa personnalité charismatique lui valait le respect de tous. En classe, avec le moindre de bruit, à peine les élèves entendaient-ils sa voix, surtout ceux des derniers rangs. Selon lui, le silence dans la classe était la condition nécessaire, voire indispensable pour l’apprentissage.
Assis dans son fauteuil, le professeur fut(autre temps : relisez le lien sur les temps du récit) immobile comme une statue, rien ne montrait(autre verbe : indiquer) qu’il fût encore vivant(virgule) sauf le mouvement de ses lèvres. La monotonie de sa voix suscitait de temps en temps de l’ennui. Quand un étudiant lui posait une question, il lui répondait avec une ou deux phrases succinctes comportant toute la réponse. Grâce à son savoir et sa sagesse, il jouissait d’une noblesse incontestable, quoiqu’il appartînt à une famille très modeste.
Bonne fin d'après-midi
Réponse : Monsieur J de fatiati51, postée le 18-03-2020 à 22:23:27 (S | E)
Bonjour,
Merci beaucoup alienor64 de l'intérêt porté à mon message, j'ai corrigé le texte en suivant vos conseils.
Monsieur J. était professeur dans une école traditionnelle ; il enseignait le Coran, les langues et les mathématiques à toutes les générations. Tous dans la ville connaissaient son caractère singulier. Il était toujours sérieux, calme, discret, réservé dans ses actions et ses paroles. Personne ne l’avait jamais vu sourire, sa personnalité charismatique lui valait le respect de tous. En classe, avec le moindre de bruit, à peine les élèves entendaient-ils sa voix, surtout ceux des derniers rangs. Selon lui, le silence dans la classe était la condition nécessaire, voire indispensable pour l’apprentissage.
Assis dans son fauteuil, le professeur était immobile comme une statue, rien n'indiquait qu’il fût encore vivant, sauf le mouvement de ses lèvres. La monotonie de sa voix suscitait de temps en temps de l’ennui. Quand un étudiant lui posait une question, il lui répondait avec une ou deux phrases succinctes comportant toute la réponse. Grâce à son savoir et sa sagesse, il jouissait d’une noblesse incontestable, quoiqu’il appartînt à une famille très modeste.
Réponse : Monsieur J de alienor64, postée le 18-03-2020 à 23:22:33 (S | E)
Bonsoir fatiati51
Assis dans son fauteuil, le professeur était immobile comme une statue,(autre ponctuation : point-virgule) rien n'indiquait qu’il fût encore vivant, sauf le mouvement de ses lèvres. La monotonie de sa voix suscitait de temps en temps de l’ennui. Quand un étudiant lui posait une question, il lui répondait avec une ou deux phrases succinctes comportant toute la réponse(à enlever : 'répondre une réponse' est un pléonasme. Ajoutez un adjectif à 'phrases' pour indiquer que les étudiants ont compris). Grâce à son savoir et sa sagesse, il jouissait d’une noblesse incontestable, quoiqu’il appartînt à une famille très modeste.
Bonne soirée
Réponse : Monsieur J de fatiati51, postée le 19-03-2020 à 00:39:47 (S | E)
Bonjour,
Merci alienor64 de votre aide inconditionnelle,
Assis dans son fauteuil, le professeur était immobile comme une statue ; rien n'indiquait qu’il fût encore vivant, sauf le mouvement de ses lèvres. La monotonie de sa voix suscitait de temps en temps de l’ennui. Quand un étudiant lui posait une question, il lui répondait avec une ou deux phrases succinctes convaincantes. Grâce à son savoir et sa sagesse, il jouissait d’une noblesse incontestable, quoiqu’il appartînt à une famille très modeste.
Réponse : Monsieur J de alienor64, postée le 19-03-2020 à 11:48:23 (S | E)
Bonjour fatiati51
Votre texte est tout à fait correct. Bien qu'il ne comporte aucune erreur, j'y ajoute deux petites modifications pour une meilleure formulation. Il est donc inutile de nous le présenter à nouveau.
Assis dans son fauteuil, le professeur était immobile comme une statue ; rien n'indiquait qu’il fût encore vivant, sauf le mouvement de ses lèvres. La monotonie de sa voix suscitait de temps en temps de l’ennui. Quand un étudiant lui posait une question, il lui répondait avec une ou deux phrases succinctes et convaincantes(mieux : explicites). Grâce à son savoir et sa sagesse, et quoiqu’il appartînt à une famille très modeste, il jouissait d’une noblesse incontestable.
Bonne continuation
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