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Message de nano2000 posté le 13-04-2020 à 15:22:58 (S | E | F)
Bonjour,
S'il vous plaît, pourriez vous m'aider à corriger ce texte. Merci.
Le bien-être
Souvent confondu avec la santé, le bonheur et le plaisir, considérés séparément ou conjointement, le bien-être est un concept polysémique dont la définition varie d’un chercheur à l’autre selon son angle de vision et compte tenu le contexte dans lequel ce concept a été étudié. Si les médecins insistent sur l’absence de maladies ou d’infirmités pour définir le bien-être, les économistes mettent l’accent sur l’obtention d’un salaire suffisant pour satisfaire les besoins matériels tels que la nourriture, le logement, la voiture, les habits somptueux… Alors que les psychologues et les psychothérapeutes soulignent l’importance de la confiance en soi, les relations avec autrui et la qualité de vie pour le bien-être de l’individu. Toutes ces définitions sont loin d’être objectives puisqu’elles sont impactées par la subjectivité du chercheur. Bien que chaque idée aie une part de justesse, elle est incapable elle seule de formuler une définition exhaustive de ce concept.
Malgré la divergence observée dans l’abord de ce concept, toutes les définitions évoquées s’articulent sur la notion de la satisfaction des besoins comme une composante essentielle du bien-être. Ainsi, ce dernier peut être défini comme étant la satisfaction des besoins physiologiques, psychologiques et matériels.
Cette définition demeure aussi bien relative, car le bien-être est influencé positivement ou négativement par un grand nombre de facteurs tels que : avoir un emploi décent, un salaire suffisant, des relations parfaites, une forte confiance en soi… Suivant les différentes approches qui ont abordé ce sujet, Il parait que ces facteurs ne sont pas acceptés à l’unanimité. À quel degré agissent-ils sur le bien-être ? Quels sont les critères pour évaluer qu’une relation est parfaite ? La notion d’un emploi décent diffère d’une personne à une autre selon les convictions de chacune, de plus, un salaire suffisant pour une personne ne le serait pas pour une autre, En outre, les conditions assurant le bien-être à un individu, pourraient créer le mal-être à un autre.
De ce qui précède, il semble que le bien-être soit tributaire de la personne elle-même, de ses convictions et de sa vision à la vie. Dans ce contexte, le bien-être est synonyme du bonheur et puisque celui-ci est un concept relatif, il en est de même pour le bien-être. Autrement dit, au lieu de parler d’un bien–être, il vaut mieux parler des bien-être, car chaque personne pourrait profiter de ses propres conditions afin de créer son harmonie avec soi-même et avec son entourage, ce qui représente l’essence du bien-être.
Message de nano2000 posté le 13-04-2020 à 15:22:58 (S | E | F)
Bonjour,
S'il vous plaît, pourriez vous m'aider à corriger ce texte. Merci.
Le bien-être
Souvent confondu avec la santé, le bonheur et le plaisir, considérés séparément ou conjointement, le bien-être est un concept polysémique dont la définition varie d’un chercheur à l’autre selon son angle de vision et compte tenu le contexte dans lequel ce concept a été étudié. Si les médecins insistent sur l’absence de maladies ou d’infirmités pour définir le bien-être, les économistes mettent l’accent sur l’obtention d’un salaire suffisant pour satisfaire les besoins matériels tels que la nourriture, le logement, la voiture, les habits somptueux… Alors que les psychologues et les psychothérapeutes soulignent l’importance de la confiance en soi, les relations avec autrui et la qualité de vie pour le bien-être de l’individu. Toutes ces définitions sont loin d’être objectives puisqu’elles sont impactées par la subjectivité du chercheur. Bien que chaque idée aie une part de justesse, elle est incapable elle seule de formuler une définition exhaustive de ce concept.
Malgré la divergence observée dans l’abord de ce concept, toutes les définitions évoquées s’articulent sur la notion de la satisfaction des besoins comme une composante essentielle du bien-être. Ainsi, ce dernier peut être défini comme étant la satisfaction des besoins physiologiques, psychologiques et matériels.
Cette définition demeure aussi bien relative, car le bien-être est influencé positivement ou négativement par un grand nombre de facteurs tels que : avoir un emploi décent, un salaire suffisant, des relations parfaites, une forte confiance en soi… Suivant les différentes approches qui ont abordé ce sujet, Il parait que ces facteurs ne sont pas acceptés à l’unanimité. À quel degré agissent-ils sur le bien-être ? Quels sont les critères pour évaluer qu’une relation est parfaite ? La notion d’un emploi décent diffère d’une personne à une autre selon les convictions de chacune, de plus, un salaire suffisant pour une personne ne le serait pas pour une autre, En outre, les conditions assurant le bien-être à un individu, pourraient créer le mal-être à un autre.
De ce qui précède, il semble que le bien-être soit tributaire de la personne elle-même, de ses convictions et de sa vision à la vie. Dans ce contexte, le bien-être est synonyme du bonheur et puisque celui-ci est un concept relatif, il en est de même pour le bien-être. Autrement dit, au lieu de parler d’un bien–être, il vaut mieux parler des bien-être, car chaque personne pourrait profiter de ses propres conditions afin de créer son harmonie avec soi-même et avec son entourage, ce qui représente l’essence du bien-être.
Réponse : Le bien-être de
alienor64, postée le 13-04-2020 à 23:18:29 (S | E)Bonsoir nano2000
Le bien-être
Souvent confondu avec la santé, le bonheur et le plaisir, considérés séparément ou conjointement, le bien-être est un concept polysémique dont la définition varie d’un chercheur à l’autre selon son angle de vision et compte tenu le
(déterminant contracté, contraction de la préposition 'de' + déterminant défini 'le') contexte dans lequel ce concept a été étudié. Si les médecins insistent sur l’absence de maladies ou d’infirmités pour définir le bien-être, les économistes mettent l’accent sur l’obtention d’un salaire suffisant pour satisfaire les besoins matériels tels que la nourriture, le logement, la voiture, les habits somptueux(le sens de cet adjectif me semble excessif, comparé aux besoins vitaux tels que la nourriture ou le logement)… Alors(pas de majuscule, la phrase n'est pas terminée) que les psychologues et les psychothérapeutes soulignent l’importance de la confiance en soi, les(déterminant indéfini) relations avec autrui et (préposition)la qualité de vie pour le bien-être de l’individu. Toutes ces définitions sont loin d’être objectives puisqu’elles sont impactées par la subjectivité du chercheur. Bien que chaque idée aie(3e personne du singulier) une part de justesse, elle est incapable (ici, préposition) elle seule de formuler une définition exhaustive de ce concept.Malgré la divergence observée dans l’abord
(mieux, autre mot ou autre expression) de ce concept, toutes les définitions évoquées s’articulent sur(locution prépositive : préposition suivie de la préposition 'de') la notion de la satisfaction des besoins comme une composante essentielle du bien-être. Ainsi, ce dernier peut être défini comme étant la satisfaction des besoins physiologiques, psychologiques et matériels.Cette définition demeure aussi bien relative, car le bien-être est influencé positivement ou négativement par un grand nombre de facteurs tels que :
(enlevez ces deux-points et mettez un pronom démonstratif + préposition à élider) avoir un emploi décent, un salaire suffisant, des relations parfaites(autre adjectif), une forte confiance en soi… Suivant les différentes approches qui ont abordé(autre verbe : 'appréhender') ce sujet, Il(pourquoi cette majuscule ?) parait (accent circonflexe) que ces facteurs ne sont pas acceptés à l’unanimité(à remplacer par l'adverbe et à mettre devant le participe passé). À quel degré agissent-ils sur le bien-être ? Quels sont les critères pour évaluer qu’une relation est parfaite ? La notion d’un emploi décent(autre adjectif) diffère d’une personne à une(déterminant défini élidé) autre selon les convictions de chacune,(autre ponctuation) de plus, un salaire suffisant pour une personne ne le serait pas pour une autre,(autre ponctuation puisque le mot suivant commence par une majuscule) En outre, les conditions assurant le bien-être à un idividu,pas de virgule) pourraient créer le mal-être à un autre.De ce qui précède, il semble que le bien-être soit tributaire de la personne elle-même, de ses convictions et de sa vision à
(autre préposition) la vie. Dans ce contexte, le bien-être est synonyme du bonheur et puisque celui-ci est un concept relatif, il en est de même pour le bien-être. Autrement dit, au lieu de parler d’un bien–être, il vaut mieux parler des bien-être, car chaque personne pourrait(pourquoi ce conditionnel ?) profiter de ses propres conditions(autre mot) afin créer son(déterminant indéfini) harmonie avec soi-même et avec son entourage, ce qui représente l’essence du bien-être.Bonne correction
Réponse : Le bien-être de nano2000, postée le 14-04-2020 à 01:42:26 (S | E)
Bonjour,
Merci alienor64 de votre aide, j'ai corrigé le texte et voici le résultat.
Le bien-être
Souvent confondu avec la santé, le bonheur et le plaisir, considérés séparément ou conjointement, le bien-être est un concept polysémique dont la définition varie d’un chercheur à l’autre selon son angle de vision et compte tenu du contexte dans lequel ce concept a été étudié. Si les médecins insistent sur l’absence de maladies ou d’infirmités pour définir le bien-être, les économistes mettent l’accent sur l’obtention d’un salaire suffisant pour satisfaire les besoins matériels tels que la nourriture, le logement, la voiture, les habits… alors que les psychologues et les psychothérapeutes soulignent l’importance de la confiance en soi, des relations avec autrui et de la qualité de vie pour le bien-être de l’individu. Toutes ces définitions sont loin d’être objectives puisqu’elles sont impactées par la subjectivité du chercheur. Bien que chaque idée ait une part de justesse, elle est incapable à elle seule de formuler une définition exhaustive de ce concept.
Malgré la divergence observée dans l’approche de ce concept, toutes les définitions évoquées s’articulent sur de la notion de la satisfaction des besoins comme une composante essentielle du bien-être. Ainsi, ce dernier peut être défini comme étant la satisfaction des besoins physiologiques, psychologiques et matériels.
Cette définition demeure aussi bien relative, car le bien-être est influencé positivement ou négativement par un grand nombre de facteurs tels que celui d’avoir un emploi décent, un salaire suffisant, des relations harmonieuses, une forte confiance en soi… Suivant les différentes approches qui ont appréhendé ce sujet, il paraît que ces facteurs ne sont pas unanimement acceptés. À quel degré agissent-ils sur le bien-être ? Quels sont les critères pour évaluer qu’une relation est parfaite ? La notion d’un emploi convenable diffère d’une personne à l’autre selon les convictions de chacune. De plus, un salaire suffisant pour une personne ne le serait pas pour une autre. En outre, les conditions assurant le bien-être à un individu pourraient créer le mal-être à un autre.
De ce qui précède, il semble que le bien-être soit tributaire de la personne elle-même, de ses convictions et de sa vision de la vie. Dans ce contexte, le bien-être est synonyme du bonheur et puisque celui-ci est un concept relatif, il en est de même pour le bien-être. Autrement dit, au lieu de parler d’un bien–être, il vaut mieux parler des bien-être, car chaque personne peut profiter de ses propres circonstances afin de créer l’harmonie avec soi-même et avec son entourage, ce qui représente l’essence du bien-être.
Réponse : Le bien-être de
alienor64, postée le 14-04-2020 à 11:11:15 (S | E)Bonjour nano2000
Une question : avez-vous vraiment, comme l'indique votre fiche de présentation, quatorze ans ?Le bien-être
Souvent confondu avec la santé, le bonheur et le plaisir, considérés séparément ou conjointement, le bien-être est un concept polysémique dont la définition varie d’un chercheur à l’autre selon son angle de vision et compte tenu du contexte dans lequel ce concept a été étudié. Si les médecins insistent sur l’absence de maladies ou d’infirmités pour définir le bien-être, les économistes mettent l’accent sur l’obtention d’un salaire suffisant pour satisfaire les besoins matériels tels que la nourriture, le logement, la voiture, les habits… alors que les psychologues et les psychothérapeutes soulignent l’importance de la confiance en soi, des relations avec autrui et de la qualité de vie pour le bien-être de l’individu. Toutes ces définitions sont loin d’être objectives puisqu’elles sont impactées par la subjectivité du chercheur. Bien que chaque idée ait une part de justesse, elle est incapable à elle seule de formuler une définition exhaustive de ce concept.
Malgré la divergence observée dans l’approche de ce concept, toutes les définitions évoquées s’articulent sur
(autre préposition: 'autour') de la notion de la satisfaction des besoins comme une composante essentielle du bien-être. Ainsi, ce dernier peut être défini comme étant la satisfaction des besoins physiologiques, psychologiques et matériels.Cette définition demeure aussi bien relative, car le bien-être est influencé positivement ou négativement par un grand nombre de facteurs tels que celui
(pluriel, puisque vous en citez plusieurs) d’avoir un emploi décent, un salaire suffisant, des relations harmonieuses, une forte confiance en soi… Suivant les différentes approches qui ont appréhendé ce sujet, il paraît que ces facteurs ne sont pas unanimement acceptés. À quel degré agissent-ils sur le bien-être ? Quels sont les critères pour évaluer qu’une relation est parfaite(autre adjectif) ? La notion d’un emploi convenable diffère d’une personne à l’autre selon les convictions de chacune(accord : 'une personne' bien que nom féminin désigne tout être humain ; l'accord se fait selon le sens, et non selon les règles grammaticales ; cela s'appelle une syllepse) . De plus, un salaire suffisant pour une personne ne le serait(autre temps : futur) pas pour une autre. En outre, les conditions assurant le bien-être à(autre préposition à élider) un individu pourraient créer le mal-être à(idem) un autre.De ce qui précède, il semble que le bien-être soit tributaire de la personne elle-même, de ses convictions et de sa vision de la vie. Dans ce contexte, le bien-être est synonyme du
(mieux : préposition) bonheur et puisque celui-ci est un concept relatif, il en est de même pour le bien-être. Autrement dit, au lieu de parler d’un bien–être, il vaut mieux parler des bien-être, car chaque personne peut profiter de ses propres circonstances(autre mot : 'ressources') afin de créer l’harmonie avec soi-même et avec son entourage, ce qui représente l’essence du bien-être.Bonne journée
Réponse : Le bien-être de nano2000, postée le 14-04-2020 à 12:29:06 (S | E)
Bonjour,
Merci alienor64 de votre aide, et merci aussi de m’avertir sur la date de naissance, c’est une erreur de distraction, j'ai trente quatre ans ans.
Le bien-être
Souvent confondu avec la santé, le bonheur et le plaisir, considérés séparément ou conjointement, le bien-être est un concept polysémique dont la définition varie d’un chercheur à l’autre selon son angle de vision et compte tenu du contexte dans lequel ce concept a été étudié. Si les médecins insistent sur l’absence de maladies ou d’infirmités pour définir le bien-être, les économistes mettent l’accent sur l’obtention d’un salaire suffisant pour satisfaire les besoins matériels tels que la nourriture, le logement, la voiture, les habits… alors que les psychologues et les psychothérapeutes soulignent l’importance de la confiance en soi, des relations avec autrui et de la qualité de vie pour le bien-être de l’individu. Toutes ces définitions sont loin d’être objectives puisqu’elles sont impactées par la subjectivité du chercheur. Bien que chaque idée ait une part de justesse, elle est incapable à elle seule de formuler une définition exhaustive de ce concept.
Malgré la divergence observée dans l’approche de ce concept, toutes les définitions évoquées s’articulent autour de la notion de la satisfaction des besoins comme une composante essentielle du bien-être. Ainsi, ce dernier peut être défini comme étant la satisfaction des besoins physiologiques, psychologiques et matériels.
Cette définition demeure aussi bien relative, car le bien-être est influencé positivement ou négativement par un grand nombre de facteurs tels que ceux d’avoir un emploi décent, un salaire suffisant, des relations harmonieuses, une forte confiance en soi… Suivant les différentes approches qui ont appréhendé ce sujet, il paraît que ces facteurs ne sont pas unanimement acceptés. À quel degré agissent-ils sur le bien-être ? Quels sont les critères pour évaluer qu’une relation est harmonieuse ? La notion d’un emploi convenable diffère d’une personne à l’autre selon les convictions de chacun. De plus, un salaire suffisant pour une personne ne le sera pas pour une autre. En outre, les conditions assurant le bien-être d’un individu pourraient créer le mal-être d’un autre.
De ce qui précède, il semble que le bien-être soit tributaire de la personne elle-même, de ses convictions et de sa vision de la vie. Dans ce contexte, le bien-être est synonyme de bonheur et puisque celui-ci est un concept relatif, il en est de même pour le bien-être. Autrement dit, au lieu de parler d’un bien–être, il vaut mieux parler des bien-être, car chaque personne peut profiter de ses propres ressources afin de créer l’harmonie avec soi-même et avec son entourage, ce qui représente l’essence du bien-être.
Réponse : Le bien-être de
alienor64, postée le 14-04-2020 à 14:27:01 (S | E)Bonpour nano2000
Merci d'avoir répondu à ma question sur votre âge. L'intérêt porté à des thèmes à dominante sociologique était étonnant pour un jeune de quatorze ans !
Quels sont les critères pour évaluer
-Que cette modification ne vous oblige pas à nous ennoyer à nouveau votre texte ; il est à présent tout à fait correct.
Bonne continuation
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