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    La jarre du paysan

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    La jarre du paysan
    Message de fatiati51 posté le 06-05-2021 à 14:58:37 (S | E | F)
    Bonjour,
    S'il vous plaît, pourriez vous m'aider à corriger ce texte? Merci d'avance.
    Il était une fois un paysan qui avait un petit jardin dont il prenait bien soin. Il y cultivait toutes les plantes dont il a besoin afin de se nourrir. Pour irriguer le jardin, le paysan apportait de l’eau de la rivière voisine avec deux jarres, il les suspendait sur les deux côtés d’une longue barre qu’il portait sur ses épaules. Le paysan parcourait la distance entre le jardin et la rivière maintes fois par jour. Les deux jarres se sentaient heureuses de leur mission vitale, elles se vantaient l’une l’autre de leur utilité et prétendaient que la beauté du jardin est due à elles seules.
    Un jour, le paysan, en retournant de la rivière les deux jarres remplies, trébucha puis tomba et la jarre de droite subit de petites fissures qu’elle devenait incapable de garder la totalité de l’eau. Elle coulait de petites gouttes d’eau que le sol devenait mouillé tout le long du chemin de la rivière au jardin.
    Chaque fois que le paysan remplisse les jarres à la rivière et qu’il revienne au jardin, il trouvait que la jarre gauche est parfaitement remplie alors que la jarre de droite est à moitié remplie.
    Suite à cet incident, la jarre de gauche ne cessait de se moquer de sa sœur de droite, elle lui disait : « Ô ma pauvre jarre ! Tu gaspilles beaucoup d’eau, tu deviens inutile. À mon avis, le paysan doit te remplacer par une autre toute neuve ». Les paroles de la jarre de gauche blessaient davantage la jarre de droite. Comme d’habitude, le paysan venait prendre les jarres pour les remplir ; il vit la jarre de droite triste et de mauvaise humeur, elle lui racontait ce que la jarre de gauche lui avait dit. Le paysan lui dit : « en retournant de la rivière, baisse tes yeux tout le long du chemin et dit moi ce tu as vue ? ». En arrivant au jardin, la jarre de droite dit : « toute la partie droite du chemin est parsemée de fleurs parfumées, alors que celle de la gauche est dépourvue de vitalité ». Le paysan répliqua : « Quand j’ai vu le sol de la partie droite mouillé, j’ai semé des semences de fleurs tout le long du chemin et c’est avec les gouttes d’eau que tu perdes qu’elles se sont arrosées. Donc, ce beau paysage est dû à toi seule. » Il continua : « Dans la vie, il n’y a pas d’objet inutile si nous savons comment l’utiliser de la bonne manière. »
    Ce conte imaginaire projette la lumière sur un comportement souvent accompli dans le domaine de l’employabilité, c’est le licenciement des ouvriers suit à un handicap causé par un accident de travail ou non. Sous prétexte qu’ils sont inaptes au travail ou que leur rendement avait diminué, l’employeur rompt le contrat de travail avec son employé. Une telle pratique augmentera le taux des chômeurs. Le patron doit avoir la conviction que si un salarié a perdu une compétence, il a effectivement d’autres habiletés qui lui permettent d’effectuer parfaitement une autre tâche. Il lui incombe de choisir un travail approprié au salarié handicapé.
    La réconciliation entre la productivité et la dignité du salarié handicapé ne peut se faire que par une répartition adéquate des tâches au sein de l’entreprise.


    Réponse : La jarre du paysan de tanguera, postée le 06-05-2021 à 18:20:52 (S | E)
    bonjour,

    je suis nouvelle sur ce site, où je suis venue pour apprendre l'espagnol. j'ai lu votre message et j'ai beaucoup aimé cette histoire c'est pourquoi j'ai répondu. j'espère que mes remarques sont conformes aux pratiques du site.

    prétendaient que la beauté du jardin est due à elles seules (concordance des temps).

    en retournant de la rivière. j'utiliserais plutôt le verbe revenir.

    qu’elle devenait incapable de garder la totalité de l’eau (passé simple)

    il faut indiquer un lien entre "petites fissures" et le fait d'être incapable de garder la totalité de l'eau. en écrivant seulement "qu'" cela ne suffit pas.

    petites gouttes d’eau que le sol devenait mouillé : là encore, "que" ne suffit pas à expliquer pourquoi le sol devenait mouillé.

    le paysan remplisse les jarres (imparfait : L’imparfait est idéal pour représenter l’habitude. On ne sait pas vraiment depuis quand l’habitude a commencé ni quand elle se terminera, mais elle existe. Dans le texte, c'est indiqué par "Chaque fois")

    qu’il revienne au jardin : même remarque, de même que pour la suite : la jarre gauche est parfaitement remplie alors que la jarre de droite est à moitié remplie.

    elle lui racontait ce que la jarre de gauche lui avait dit : passé simple, comme au début de la phrase où vous avez écrit justement le paysan vit

    dit moi : impératif conjugaison

    tu as vue ? le temps est correct, mais l'accord ne l'est pas. vous avez mis vue au féminin, peut être avez vous confondu avec "la vue", alors qu'ici, c'est une conjugaison du verbe voir.

    c’est avec les gouttes d’eau que tu perdes : il faut utiliser le passé composé

    souvent accompli : on peut dire accomplir une action mais pas un comportement. par contre, on observe un comportement ou un comportement est observé.

    l’employabilité, c’est : il faut faire le lien entre l'employabilité et la suite de la phrase

    leur rendement avait diminué : au présent, comme le reste de la phrase

    Une telle pratique augmentera le taux des chômeurs : je laisserais au présent comme le reste du texte autour.



    Réponse : La jarre du paysan de alienor64, postée le 10-05-2021 à 12:06:33 (S | E)
    Bonjour fatiati51

    Verbes impersonnels : Lien internet
    Conjonctions et locutions conjonctives de subordination : Lien internet


    Il était une fois un paysan qui avait un petit jardin dont il prenait bien soin. Il y cultivait toutes les plantes dont il a(autre temps) besoin afin de(mieux : autre préposition indiquant le but) se nourrir. Pour irriguer le jardin, le paysan apportait(autre verbe : conjuguer 'aller' suivi de l'infinitif 'puiser') de l'eau de(autre préposition) la rivière voisine avec deux jarres,(pas de virgule) (ici, pronom relatif COD élidé devant 'il') il les (enlever : ce pronom personnel COD a été remplacé par le pronom relatif COD) suspendait sur les deux côtés d'une longue barre qu'il portait(à remplacer par participe passé de 'poser') sur ses épaules. Le paysan parcourait la distance entre le jardin et la rivière maintes(à remplacer par 'plusieurs') fois par jour. Les deux jarres se sentaient heureuses de leur mission vitale, elles se vantaient l'une l'autre de leur utilité et prétendaient que la beauté du jardin est(autre temps) due à elles seules.
    Un jour, le paysan, en retournant(autre verbe : 'revenir') de la rivière (ici, préposition marquant l'accompagnement) les deux jarres remplies(mieux : autre adjectif), trébucha puis tomba et la jarre de droite subit de petites fissures(à remplacer par 'se fissurer' à conjuguer, suivi d'un adverbe pour exprimer votre idée 'petites fissures') qu'elle devenait(enlever car incorrect ; mettre : conjonction de coordination suivie du verbe 'devenir' au passé simple) incapable de garder la totalité de l'eau. Elle coulait(enlever ; mettre : 's'écouler' à la forme impersonnelle - voir lien - et placer correctement un pronom personnel COI mis pour 'de la jarre') de petites gouttes d'eau que le sol devenait mouillé(incorrect : à enlever) tout le long du chemin de la rivière(enlever ; mettre : pronom relatif sujet suivi du verbe 'mener' à l'imparfait) au jardin.
    Chaque fois que le paysan remplisse(pourquoi ce subjonctif ? Imparfait de l'indicatif) les jarres à la rivière et qu'il revienne (même remarque) au jardin, il trouvait que la jarre gauche est(autre temps) parfaitement remplie alors que la jarre de droite est(autre temps et mettre ce verbe à la forme restrictive avec 'ne... que' ; devant le verbe, placer le pronom personnel élidé mis pour 'remplie') à moitié remplie(enlever).
    Suite à cet incident, la jarre de gauche ne cessait de se moquer de sa sœur de droite,(autre ponctuation : point-virgule) elle lui disait : « Ô ma pauvre jarre ! Tu gaspilles beaucoup d'eau, tu deviens inutile. À mon avis, le paysan doit te remplacer par une autre toute neuve ». Les paroles de la jarre de gauche blessaient davantage(à remplacer par 'de plus en plus') la jarre de droite. Comme d'habitude, (ici, mettre la locution conjonctive marquant la simultanéité de l'action de la proposition principale et de celle de la subordonnée : voir lien) le paysan venait prendre les jarres pour les remplir ;(autre ponctuation : virgule) il vit la jarre de droite triste et de mauvaise humeur,(autre ponctuation : point-virgule) elle lui racontait (autre temps : passé simple) ce que la jarre de gauche lui avait dit. Le paysan lui dit : « en(majuscule en début de discours direct) retournant(autre verbe) de la rivière, baisse tes yeux tout le long du chemin et dit moi(erreur : impératif et trait d'union) ce tu as vue(pourquoi e féminin ?) ?(pourquoi ce point d'interrogation ? Ce n'est pas une interrogation directe, mais indirecte) ». En arrivant au jardin, la jarre de droite dit : « toute(majuscule en début de discours direct) la partie droite du chemin est parsemée de fleurs parfumées, alors que celle de la gauche est dépourvue de vitalité ». Le paysan répliqua : « Quand j'ai vu le sol de la partie droite mouillé, j'ai semé des semences de(enlever) fleurs tout le long du chemin et c'est avec les gouttes d'eau que tu perdes(pourquoi ce subjonctif ? Indicatif imparfait) qu'elles se sont arrosées. Donc, ce beau paysage est dû à toi seule. » Il continua : « Dans la vie, il n'y a pas d'objet inutile si nous savons comment l'utiliser de la bonne manière. »
    Ce conte imaginaire projette la lumière sur un comportement souvent accompli(autre verbe : participe passé de 'constater') dans le domaine de l'employabilité , c'est(à remplacer par deux points explicatifs : ) le licenciement des ouvriers suit(orthographe) à un handicap causé par un accident(virgule) de(contraction de 'de + le') travail ou non. Sous prétexte qu'ils sont inaptes au travail ou que leur rendement avait diminué(autre temps : passé composé), l'employeur rompt le(déterminant possessif) contrat de travail avec son employé.(enlever) Une telle pratique augmentera(autre temps) le taux des chômeurs. Le patron doit avoir la conviction que si un salarié a perdu une compétence, il a effectivement d'autres habiletés qui lui permettent d'effectuer parfaitement une autre tâche. Il lui incombe de choisir un travail approprié au salarié handicapé.
    La réconciliation entre la productivité et la dignité du salarié handicapé ne peut se faire que par une répartition adéquate des tâches au sein de l'entreprise.

    Bonne correction



    Réponse : La jarre du paysan de fatiati51, postée le 10-05-2021 à 16:20:29 (S | E)
    Bonjour,
    Merci infiniment tanguera et alienor64 de vos remarques très précieuses, je suis très reconnaissant. Voici la correction.

    La jarre du paysan.
    Il était une fois un paysan qui avait un petit jardin dont il prenait bien soin. Il y cultivait toutes les plantes dont il avait besoin pour se nourrir. Pour irriguer le jardin, le paysan allait puiser de l’eau à la rivière voisine avec deux jarres dont il suspendait sur les deux côtés d’une longue barre posée sur ses épaules. Le paysan parcourait la distance entre le jardin et la rivière plusieurs fois par jour. Les deux jarres se sentaient heureuses de leur mission vitale, elles se vantaient l’une l’autre de leur utilité et prétendaient que la beauté du jardin était due à elles seules.
    Un jour, le paysan, en revenant de la rivière avec les deux jarres pleines, trébucha puis tomba et la jarre de droite se fissura faiblement et devint incapable de garder la totalité de l’eau. Il s’en écoula de petites gouttes d’eau tout le long du chemin au jardin.
    Chaque fois que le paysan remplissait les jarres à la rivière et qu’il revint au jardin, il trouvait que la jarre gauche était parfaitement remplie alors que la jarre de droite n’était qu’à la moitié.
    Suite à cet incident, la jarre de gauche ne cessait de se moquer de sa sœur de droite ; elle lui disait : « Ô ma pauvre jarre ! Tu gaspilles beaucoup d’eau, tu deviens inutile. À mon avis, le paysan doit te remplacer par une autre toute neuve ». Les paroles de la jarre de gauche blessaient de plus en plus la jarre de droite. Comme d’habitude, quand le paysan venait prendre les jarres pour les remplir, il vit la jarre de droite triste et de mauvaise humeur ; elle lui raconta ce que la jarre de gauche lui avait dit. Le paysan lui dit : « En revenant de la rivière, baisse tes yeux tout le long du chemin et dites-moi ce tu as vu ». En arrivant au jardin, la jarre de droite dit : « Toute la partie droite du chemin est parsemée de fleurs parfumées, alors que celle de la gauche est dépourvue de vitalité ». Le paysan répliqua : « Quand j’ai vu le sol de la partie droite mouillé, j’ai semé des fleurs tout le long du chemin et c’est avec les gouttes d’eau que tu perdais (j’ai mis le subjonctif parce que il y’a que) qu’elles se sont arrosées. Donc, ce beau paysage est dû à toi seule. » Il continua : « Dans la vie, il n’y a pas d’objet inutile si nous savons comment l’utiliser de la bonne manière. »
    Ce conte imaginaire projette la lumière sur un comportement souvent constaté dans le domaine de l’employabilité, il s’agit du licenciement des ouvriers suite à un handicap causé par un accident du travail ou non. Sous prétexte qu’ils sont inaptes au travail ou que leur rendement a diminué, l’employeur rompt son contrat de travail. Une telle pratique augmente le taux des chômeurs. Le patron doit avoir la conviction que si un salarié a perdu une compétence, il a effectivement d’autres habiletés qui lui permettent d’effectuer parfaitement une autre tâche. Il lui incombe de choisir un travail approprié au salarié handicapé.
    La réconciliation entre la productivité et la dignité du salarié handicapé ne peut se faire que par une répartition adéquate des tâches au sein de l’entreprise.



    Réponse : La jarre du paysan de alienor64, postée le 10-05-2021 à 19:22:10 (S | E)
    Bonsoir fatiati51

    Les pronoms relatifs : Lien internet
    - L'élision : Lien internet
    - Conjonctions et locutions conjonctives de temps : Lien internet
    - Pronom personnel neutre 'le' : Lien internet
    - Les différentes natures de 'que' : Lien internet



    La jarre du paysan.
    Il était une fois un paysan qui avait un petit jardin dont il prenait bien(mieux pour un vocabulaire soigné et adapté à un conte : 'grand') soin. Il y cultivait toutes les plantes dont il avait besoin pour se nourrir. Pour irriguer le jardin, le paysan allait puiser de l'eau à la rivière voisine avec deux jarres dont(erreur : il faut un pronom relatif COD qui représente son antécédent 'les jarres' et dont vous ferez l'élision : voir liens) il suspendait sur les deux côtés d'une longue barre posée sur ses épaules. Le paysan parcourait la distance entre le jardin et la rivière plusieurs fois par jour. Les deux jarres se sentaient heureuses de leur mission vitale, elles se vantaient l'une l'autre de leur utilité et prétendaient que la beauté du jardin était due à elles seules.
    Un jour, le paysan, en revenant de la rivière avec les deux jarres pleines, trébucha puis tomba et la jarre de droite se fissura faiblement(mieux : légèrement) et devint incapable de garder la totalité de l'eau. Il s'en écoula de petites gouttes d'eau(enlever) tout le long du chemin (ici, pronom relatif sujet suivi du verbe 'mener' à l'imparfait : déjà signalé) au jardin.
    Chaque fois que le paysan remplissait les jarres à la rivière et qu'il revint(même temps que le précédent) au jardin, il trouvait que la jarre gauche était parfaitement remplie(virgule) alors que la jarre de( enlever) droite n'était(il manque un pronom personnel neutre à élider - voir liens - représentant le participe passé attribut 'remplie'. Vous ne devez donc pas élider 'ne' : voir lien) qu'à la(enlever) moitié.
    Suite à cet incident, la jarre de gauche ne cessait de se moquer de sa sœur de droite ; elle lui disait : « Ô ma pauvre jarre ! Tu gaspilles beaucoup d'eau, tu deviens inutile. À mon avis, le paysan doit te remplacer par une autre toute neuve ». Les paroles de la jarre de gauche blessaient de plus en plus la jarre de droite. Un jour, Comme d'habitude(après le verbe et entre deux virgules), quand('quand' n'est pas la locution conjonctive de subordination qui indique la simultanéité : voir lien) le paysan venait prendre les jarres pour les remplir, il vit la jarre de droite triste et de mauvaise humeur ; elle lui raconta ce que la jarre de gauche lui avait dit. Le paysan lui dit : « En revenant de la rivière, baisse tes yeux tout le long du chemin et dites-moi(le paysan ne vouvoie pas sa jarre, il la tutoie : impératif à la 2e personne du singulier) ce tu as vu ». En arrivant au jardin, la jarre de droite dit : « Toute la partie droite du chemin est parsemée de fleurs parfumées, alors que celle de la[b ai semé des fleurs tout le long du chemin et c'est avec les gouttes d'eau que tu perdais (j'ai mis le subjonctif parce que il y'a que : (pas de subjonctif quand 'que' est pronom relatif COD et non conjonction de subordination - lisez le lien sur les natures de 'que' - et pas d'apostrophe après le 'y') ) qu'elles se sont arrosées. Donc, ce beau paysage est dû à toi seule. » Il continua : « Dans la vie, il n'y a pas d'objet inutile si nous savons comment l'utiliser de la bonne manière. »
    Ce conte imaginaire projette la lumière sur un comportement souvent constaté dans le domaine de l'employabilité, il s'agir du(enlever ; mettre deux points explicatifs : déjà signalé) (ici, déterminant défini) licenciement des ouvriers suite à un handicap causé par un accident du travail ou non. Sous prétexte qu'ils sont inaptes au travail ou que leur rendement a diminué, l'employeur rompt son(accord du déterminant possessif avec le possesseur ; ici, c'est le pronom personnel sujet : 'ils') contrat de travail. Une telle pratique augmente le taux des chômeurs. Le patron doit avoir la conviction que si un salarié a perdu une compétence, il a effectivement d'autres habiletés qui lui permettent d'effectuer parfaitement une autre tâche. Il lui incombe de choisir un travail approprié au salarié handicapé.
    La réconciliation entre la productivité et la dignité du salarié handicapé ne peut se faire que par une répartition adéquate des tâches au sein de l'entreprise.

    Bonne soirée



    Réponse : La jarre du paysan de fatiati51, postée le 11-05-2021 à 15:19:53 (S | E)
    Bonjour,
    Un grand merci à vous alienor64 pour votre aide, voici la correction.
    La jarre du paysan.
    Il était une fois un paysan qui avait un petit jardin dont il prenait grand soin. Il y cultivait toutes les plantes dont il avait besoin pour se nourrir. Pour irriguer le jardin, le paysan allait puiser de l’eau à la rivière voisine avec deux jarres qu’ il suspendait sur les deux côtés d’une longue barre posée sur ses épaules. Le paysan parcourait la distance entre le jardin et la rivière plusieurs fois par jour. Les deux jarres se sentaient heureuses de leur mission vitale, elles se vantaient l’une l’autre de leur utilité et prétendaient que la beauté du jardin était due à elles seules.
    Un jour, le paysan, en revenant de la rivière avec les deux jarres pleines, trébucha puis tomba et la jarre de droite se fissura légèrement et devint incapable de garder la totalité de l’eau. Il s’en écoula de petites gouttes tout le long du chemin qui menait au jardin.
    Chaque fois que le paysan remplissait les jarres à la rivière et qu’il revenait au jardin, il trouvait que la jarre gauche était parfaitement remplie, alors que la droite ne l’était qu’à moitié.
    Suite à cet incident, la jarre de gauche ne cessait de se moquer de sa sœur de droite ; elle lui disait : « Ô ma pauvre jarre ! Tu gaspilles beaucoup d’eau, tu deviens inutile. À mon avis, le paysan doit te remplacer par une autre toute neuve ». Les paroles de la jarre de gauche blessaient de plus en plus la jarre de droite. Un jour, pendant que le paysan venait, comme d’habitude, prendre les jarres pour les remplir, il vit la jarre de droite triste et de mauvaise humeur ; elle lui raconta ce que la jarre de gauche lui avait dit. Le paysan lui dit : « En revenant de la rivière, baisse tes yeux tout le long du chemin et dis-moi ce tu as vu ». En arrivant au jardin, la jarre de droite dit : « Toute la partie droite du chemin est parsemée de fleurs parfumées, alors que celle de la gauche est dépourvue de vitalité ». Le paysan répliqua : « Quand j’ai vu le sol de la partie droite mouillé, j’ai semé des fleurs tout le long du chemin et c’est avec les gouttes d’eau que tu perdais qu’elles se sont arrosées. Donc, ce beau paysage est dû à toi seule. » Il continua : « Dans la vie, il n’y a pas d’objet inutile si nous savons comment l’utiliser de la bonne manière. »
    Ce conte imaginaire projette la lumière sur un comportement souvent constaté dans le domaine de l’employabilité : le licenciement des ouvriers suite à un handicap causé par un accident du travail ou non. Sous prétexte qu’ils sont inaptes au travail ou que leur rendement a diminué, l’employeur rompt leur contrat de travail. Une telle pratique augmente le taux des chômeurs. Le patron doit avoir la conviction que si un salarié a perdu une compétence, il a effectivement d’autres habiletés qui lui permettent d’effectuer parfaitement une autre tâche. Il lui incombe de choisir un travail approprié au salarié handicapé.
    La réconciliation entre la productivité et la dignité du salarié handicapé ne peut se faire que par une répartition adéquate des tâches au sein de l’entreprise.



    Réponse : La jarre du paysan de frall, postée le 11-05-2021 à 16:07:03 (S | E)
    Bonjour,
    Il y a déjà plusieurs années, ce conte m'a été envoyé comme étant d'origine chinoise ? Frall



    Réponse : La jarre du paysan de frall, postée le 11-05-2021 à 16:16:44 (S | E)
    Mille excuses ! M. Google dit que c'est un conte indien !! Autant pour moi. Frall



    Réponse : La jarre du paysan de alienor64, postée le 11-05-2021 à 18:28:59 (S | E)
    Bonsoir fatiati51

    Hormis les quelques rectifications que j'apporte et dont vous tiendrez compte, votre texte est à présent tout à fait correct.
    Il est donc inutile de l'envoyer une autre fois.

    La jarre du paysan.
    Il était une fois un paysan qui avait un petit jardin dont il prenait grand soin. Il y cultivait toutes les plantes dont il avait besoin pour se nourrir. Pour irriguer le jardin, le paysan allait puiser de l'eau à la rivière voisine avec deux jarres qu' il(pas d'espace après l'apostrophe : qu'il) suspendait sur les deux côtés d'une longue barre posée sur ses épaules. Le paysan parcourait la distance entre le jardin et la rivière plusieurs fois par jour. Les deux jarres se sentaient heureuses de leur mission vitale, elles se vantaient l'une l'autre de leur utilité et prétendaient que la beauté du jardin était due à elles seules.
    Un jour, le paysan, en revenant de la rivière avec les deux jarres pleines, trébucha puis tomba et la jarre de droite se fissura légèrement et devint incapable de garder la totalité de l'eau. Il s'en écoula de petites gouttes tout le long du chemin qui menait au jardin.
    Chaque fois que le paysan remplissait les jarres à la rivière et qu'il revenait au jardin, il trouvait que la jarre gauche était parfaitement remplie, alors que la droite ne l'était qu'à moitié.
    Suite à cet incident, la jarre de gauche ne cessait de se moquer de sa sœur de droite ; elle lui disait : « Ô ma pauvre jarre ! Tu gaspilles beaucoup d'eau, tu deviens inutile. À mon avis, le paysan doit te remplacer par une autre toute neuve ». Les paroles de la jarre de gauche blessaient de plus en plus la jarre de droite. Un jour, pendant que(la locution conjonctive qui marque la simultanéité est 'alors que') le paysan venait, comme d'habitude, prendre les jarres pour les remplir, il vit la jarre de droite triste et de mauvaise humeur ; elle lui raconta ce que la jarre de gauche lui avait dit. Le paysan lui dit : « En revenant de la rivière, baisse tes yeux tout le long du chemin et dis-moi ce tu as vu ». En arrivant au jardin, la jarre de droite dit : « Toute la partie droite du chemin est parsemée de fleurs parfumées, alors que celle de la(enlever) gauche est dépourvue de vitalité ». Le paysan répliqua : « Quand j'ai vu le sol de la partie droite mouillé, j'ai semé des fleurs tout le long du chemin et c'est avec les gouttes d'eau que tu perdais qu'elles se sont arrosées. Donc, ce beau paysage est dû à toi seule. » Il continua : « Dans la vie, il n'y a pas d'objet inutile si nous savons comment l'utiliser de la bonne manière. »
    Ce conte imaginaire projette la lumière sur un comportement souvent constaté dans le domaine de l'employabilité : le licenciement des ouvriers suite à un handicap causé par un accident du travail ou non. Sous prétexte qu'ils sont inaptes au travail ou que leur rendement a diminué, l'employeur rompt leur contrat de travail(enlever). Une telle pratique augmente le taux des(de) chômeurs. Le patron doit avoir la conviction que si un salarié a perdu une compétence, il a effectivement(à remplacer par 'sans aucun doute') d'autres habiletés qui lui permettent d'effectuer parfaitement une autre tâche. Il lui incombe de choisir un travail approprié au salarié handicapé.
    La réconciliation entre la productivité et la dignité du salarié handicapé ne peut se faire que par une répartition adéquate des tâches au sein de l'entreprise.

    Bonne continuation



    Réponse : La jarre du paysan de fatiati51, postée le 13-05-2021 à 19:35:33 (S | E)
    Bonjour,
    Merci infiniment alienor64 de votre aide inconditionnelle. Bonne journée.



    Réponse : La jarre du paysan de alienor64, postée le 13-05-2021 à 23:23:47 (S | E)
    à vous, fatiati51




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