Correction - récit fictif
Cours gratuits > Forum > Apprendre le français || En basMessage de sthejfk posté le 01-09-2022 à 23:36:29 (S | E | F)
Bonsoir à tous !
Aidez-moi à corriger cette production écrite s'il vous plaît ! Je vous en saurai gré, de votre aide.
Cette histoire, je vais vous la conter en deux mots car je n'aime pas couper les cheveux en quatre. Beaucoup de gens le disent, que les longs récits les insupportent. J'en fais partie, de cette catégorie de personnes. De la concision et de la précision du récit, vous en êtes avertis. Mais en connaissez-vous le genre littéraire, de ce genre d'histoires, de ces récits brefs et concis ? Devinez-le : je vous le donne en mille !
RIEN était un adolescent insouciant qui vivait au village avec sa mère. Il n'avait qu'une passion dans la vie : la pêche. Rien de tout ce que les garçons de son âge faisaient ne l'intéressait. Il crachait aux réseaux sociaux, se moquait de la télévision, se détournait des jeux collectifs qu'il jugeait brutaux et n'arrêtait pas de s'interroger sur le sens de l'école, cette école où il voyait tous les jours des jeunes gens comme lui se rendre. C'était un adolescent solitaire et endurci pour qui rien ne valait le plaisir de pêcher des poissons dans une rivière perdue au milieu de la nature, loin du vacarme de villageois et du tumulte de la campagne, mais près des chants des oiseaux et du chahut des animaux aquatiques qui apaisent l'âme et le corps et leur apportent de la tranquillité.
« Par une matinée froide d'hiver, RIEN se rendra à la pêche comme d'habitude, il n'en reviendra jamais.» rapporte la légende. « Sa mère, poursuit cette dernière, qui l'aimait par dessus tout, lui qui était son unique enfant, fera cette mystérieuse déclaration avec un visage baigné de larmes avant de disparaitre étrangement elle-même quelques jours plus tard : « Mon mari est parti sans laisser des traces. Rien, mon enfant chéri pour qui je me mets en quatre, l'a suivi. Mais tout va bien ! Tout finira par bien se passer, car jamais deux sans trois.»
Merci d'avance !
Réponse : Correction - récit fictif de vaiana, postée le 02-09-2022 à 04:25:24 (S | E)
Bonjour
Rouge : à retirer
Vert : correction
Bleu : à modifier
Aidez-moi à corriger cette production écrite s'il vous plaît ! Je vous en saurais gré, de votre aide.
Cette histoire, je vais vous la conter en deux mots car je n'aime pas couper les cheveux en quatre. Beaucoup de gens le disent (ou admettent), que les longs récits les insupportent. J'en fais partie, de cette catégorie de personnes (mieux : je fais moi-même partie de cette catégorie de personnes). De la concision et de la précision du récit, vous en êtes avertis. Mais en connaissez-vous le genre littéraire, de ce genre d'histoires, de ces récits brefs et concis ? Devinez-le ; je vous le donne en mille !
RIEN était un adolescent insouciant qui vivait au village avec sa mère. Il n'avait qu'une passion dans la vie : la pêche. Rien de tout ce que les garçons de son âge faisaient ne l'intéressait. Il crachait aux réseaux sociaux, se moquait de la télévision, se détournait des jeux collectifs qu'il jugeait brutaux et n'arrêtait pas de s'interroger sur le sens de l'école, cette école à laquelle il voyait tous les jours des jeunes gens comme lui se rendre. C'était un adolescent solitaire et endurci pour qui rien ne valait le plaisir de pêcher des poissons dans une rivière perdue au milieu de la nature, loin du vacarme de villageois et du tumulte de la campagne, mais près des chants des oiseaux et du chahut des animaux aquatiques, qui apaisent l'âme comme le corps en leur apportant de la tranquillité.
« Par une matinée froide d'hiver, RIEN se rendra (temps) à la pêche comme d'habitude (ou comme à son habitude) ; il n'en reviendra jamais.», rapporte la légende. « Sa mère, poursuit cette dernière, qui l'aimait par dessus (orthographe) tout, lui qui était son unique enfant, fera cette mystérieuse déclaration, le visage baigné de larmes, avant de disparaitre (orthographe) étrangement elle-même quelques jours plus tard : « Mon mari est parti sans laisser des traces. Rien, mon enfant chéri, pour qui je me mets (temps) en quatre, l'a suivi. Mais tout va bien ! Tout finira par bien se passer, car jamais deux sans trois.»
Réponse : Correction - récit fictif de sthejfk, postée le 02-09-2022 à 10:07:01 (S | E)
Bonjour Variana ! Un grand merci pour la correction !
Voici le corrigé !
Cette histoire, je vais vous la conter en deux mots car je n'aime pas couper les cheveux en quatre. Beaucoup de gens admettent que les longs récits les insupportent. Je fais moi-même partie de cette catégorie de personnes. De la concision et de la précision du récit, vous en êtes avertis. Mais en connaissez-vous le genre littéraire ? Devinez-le ; je vous le donne en mille !
RIEN était un adolescent insouciant qui vivait au village avec sa mère. Il n'avait qu'une passion dans la vie : la pêche. Rien de tout ce que les garçons de son âge faisaient ne l'intéressait. Il méprisait les réseaux sociaux, se moquait de la télévision, se détournait des jeux collectifs qu'il jugeait brutaux et n'arrêtait pas de s'interroger sur le sens de l'école, cette école à laquelle il voyait tous les jours des jeunes gens comme lui se rendre. C'était un adolescent solitaire et endurci pour qui rien ne valait le plaisir de pêcher des poissons dans une rivière perdue au milieu de la nature, loin du vacarme des villageois et du tumulte de la campagne mais près des chants des oiseaux et du chahut des animaux aquatiques qui apaisent l'âme comme le corps en leur apportant de la tranquillité.
« Par une matinée froide d'hiver, RIEN se rendit à la pêche comme à son habitude ; il n'en reviendra jamais», rapporte la légende. « Sa mère, poursuit cette dernière, qui l'aimait par-dessus tout, lui qui était son unique enfant, fera cette mystérieuse déclaration, le visage baigné de larmes avant de disparaître étrangement elle-même quelques jours plus tard : « Mon mari est parti sans laisser de traces. Rien, mon enfant chéri pour qui je me suis toujours mise en quatre, l'a suivi. Mais tout va bien ! Tout finira par bien se passer, car jamais deux sans trois.»
Merci d'avance ! Bonne journée ! À très prochainement !
Réponse : Correction - récit fictif de vaiana, postée le 02-09-2022 à 17:50:47 (S | E)
Bonjour
Cette histoire, je vais vous la conter en deux mots car je n'aime pas couper les cheveux en quatre. Beaucoup de gens admettent que les longs récits les insupportent ; je fais moi-même partie de cette catégorie de personnes. De la concision et de la précision du récit, vous en êtes avertis. Mais en connaissez-vous le genre littéraire ? Devinez-le ; je vous le donne en mille !
RIEN était un adolescent insouciant qui vivait au village avec sa mère. Il n'avait qu'une passion dans la vie : la pêche. Rien de tout ce que les garçons de son âge faisaient ne l'intéressait. Il méprisait les réseaux sociaux, se moquait de la télévision, se détournait des jeux collectifs qu'il jugeait brutaux et n'arrêtait pas de s'interroger sur le sens de l'école, cette école à laquelle il voyait tous les jours des jeunes gens comme lui se rendre. C'était un adolescent solitaire et endurci pour qui rien ne valait le plaisir de pêcher des poissons dans une rivière perdue au milieu de la nature, loin du vacarme des villageois et du tumulte de la campagne mais près des chants des oiseaux et du chahut des animaux aquatiques, qui apaisent l'âme comme le corps en leur apportant de la tranquillité.
« Par une matinée froide d'hiver, RIEN se rendit à la pêche comme à son habitude ; il n'en reviendra jamais», rapporte la légende. « Sa mère, poursuit cette dernière, qui l'aimait par-dessus tout, lui qui était son unique enfant, fera cette mystérieuse déclaration, le visage baigné de larmes, avant de disparaître étrangement elle-même quelques jours plus tard : « Mon mari est parti sans laisser de traces. Rien, mon enfant chéri pour qui je me suis toujours mise en quatre, l'a suivi. Mais tout va bien ! Tout finira par bien se passer, car jamais deux sans trois.»
Peut-être que d'autres auront d'autres suggestions
Réponse : Correction - récit fictif de alienor64, postée le 02-09-2022 à 18:05:52 (S | E)
Bonsoir
De la concision et de la précision du récit, vous en êtes avertis(Je ne comprends pas ce que vous entendez par "vous en êtes avertis". De quoi donc serions-nous "avertis" ??? On pourrait, à la rigueur, en être les témoins ; on pourrait aussi être "avertis", sans ce "en" redondant) . Mais en connaissez-vous le genre littéraire(formulation bancale ! De quoi devrions-nous connaître le genre littéraire ? À vous lire, ce ne peut être que "de la concision et de la précision du récit" ; or, cela n'a pas de sens. On peut connaître le genre littéraire d'un récit concis et précis, mais pas celui "de la concision et de la précision". À reformuler clairement) ? Devinez-le (injonction, donc : point d'exclamation); je vous le donne en mille !
RIEN était un adolescent insouciant qui vivait au village avec sa mère. Il n'avait qu'une passion dans la vie : la pêche. Rien de tout ce que les garçons de son âge faisaient ne l'intéressait. Il méprisait les réseaux sociaux, se moquait de la télévision, se détournait des jeux collectifs qu'il jugeait brutaux et n'arrêtait pas de s'interroger sur le sens de l'école, cette école à laquelle(remettez donc le "où" initial ! La phrase y gagnera en légèreté) il voyait tous les jours des jeunes gens comme lui se rendre. C'était un adolescent solitaire et endurci pour qui rien ne valait le plaisir de pêcher des poissons dans une rivière perdue au milieu de la nature, loin du vacarme des villageois et du tumulte de la campagne mais près des chants des oiseaux et du chahut des animaux aquatiques qui apaisent l'âme comme le corps en leur apportant de la tranquillité.
« Par une matinée froide(devant le nom que cet adjectif qualifie : antéposition de l'épithète quand l'extension du nom est peu importante) d'hiver, RIEN se rendit à la pêche comme à son habitude ; il n'en reviendra(ce futur est correct, il faut le laisser : futur de narration) jamais», rapporte la légende. « Sa mère, poursuit cette dernière("cette dernière" renvoie au dernier élément de la phrase ; ici, c'est "sa mère" ! Il s'agit bien sûr de "la légende", donc : à reformuler) , qui l'aimait par-dessus tout, lui qui était son unique enfant, fera cette mystérieuse déclaration, le visage baigné de larmes avant de disparaître étrangement elle-même quelques jours plus tard : « Mon mari est parti sans laisser de traces. Rien, mon enfant chéri pour qui je me suis toujours mise en quatre, l'a suivi. Mais tout va bien ! Tout finira par bien se passer, car jamais deux sans trois.»
Réponse : Correction - récit fictif de sthejfk, postée le 02-09-2022 à 20:04:52 (S | E)
Bonjour Variana ! Merci infiniment pour la correction, alienor64 et Vaiana !
Voici le corrigé !
Cette histoire, je vais vous la conter en deux mots car je n'aime pas couper les cheveux en quatre. Beaucoup de gens admettent que les longs récits les insupportent ; je fais moi-même partie de cette catégorie de personnes. De la concision et de la précision du récit, vous êtes avertis. Mais en connaissez-vous le genre littéraire, de ce genre d'histoires, de ces récits concis et précis ? Devinez-le ! je vous le donne en mille !
RIEN était un adolescent insouciant qui vivait au village avec sa mère. Il n'avait qu'une passion dans la vie : la pêche. Rien de tout ce que les garçons de son âge faisaient ne l'intéressait. Il méprisait les réseaux sociaux, se moquait de la télévision, se détournait des jeux collectifs qu'il jugeait brutaux et n'arrêtait pas de s'interroger sur le sens de l'école, cette école où il voyait tous les jours des jeunes gens comme lui se rendre. C'était un adolescent solitaire et endurci pour qui rien ne valait le plaisir de pêcher des poissons dans une rivière perdue au milieu de la nature, loin du vacarme des villageois et du tumulte de la campagne mais près des chants des oiseaux et du chahut des animaux aquatiques qui apaisent l'âme comme le corps en leur apportant de la tranquillité.
« Par une froide matinée d'hiver, RIEN se rendit à la pêche comme à son habitude ; il n'en reviendra jamais», rapporte la légende. « Sa mère, raconte-t-on, qui l'aimait par-dessus tout, lui qui était son unique enfant, fera cette mystérieuse déclaration, le visage baigné de larmes, avant de disparaître étrangement elle-même quelques jours plus tard : « Mon mari est parti sans laisser de traces. Rien, mon enfant chéri pour qui je me suis toujours mise en quatre, l'a suivi. Mais tout va bien ! Tout finira par bien se passer, car jamais deux sans trois.»
Je vous souhaite de passer une agréable soirée, Vaiana et alienor64 ! À très prochainement !
Réponse : Correction - récit fictif de alienor64, postée le 02-09-2022 à 20:13:38 (S | E)
Bonsoir sthejfk
Aidez-moi à corriger cette production écrite s'il vous plaît ! Je vous saurais gré de votre aide.
- Tenez compte des quelques indications que j'apporte dans un texte par ailleurs correct , mais ne nous en présentez pas un nouveau corrigé.
Cette histoire, je vais vous la conter en deux mots car je n'aime pas couper les cheveux en quatre. Beaucoup de gens admettent que les longs récits les insupportent ; je fais moi-même partie de cette catégorie de personnes. De la concision et de la précision du récit, vous êtes avertis. Mais en(enlever) connaissez-vous le genre littéraire,(pas de virgule) de ce genre d'histoires, de ces récits concis et précis ? Devinez-le ! je(majuscule après un point d'exclamation) vous le donne en mille !
RIEN était un adolescent insouciant qui vivait au village avec sa mère. Il n'avait qu'une passion dans la vie : la pêche. Rien de tout ce que les garçons de son âge faisaient ne l'intéressait. Il méprisait les réseaux sociaux, se moquait de la télévision, se détournait des jeux collectifs qu'il jugeait brutaux et n'arrêtait pas de s'interroger sur le sens de l'école, cette école où il voyait tous les jours des jeunes gens comme lui se rendre. C'était un adolescent solitaire et endurci pour qui rien ne valait le plaisir de pêcher des poissons dans une rivière perdue au milieu de la nature, loin du vacarme des villageois et du tumulte de la campagne(virgule) mais près des chants des oiseaux et du chahut des animaux aquatiques qui apaisent l'âme comme le corps en leur apportant de la tranquillité.
« Par une froide matinée d'hiver, RIEN se rendit à la pêche comme à son habitude ; il n'en reviendra jamais», rapporte la légende. « Sa mère, raconte-t-on, qui l'aimait par-dessus tout, lui qui était son unique enfant, fera cette mystérieuse déclaration, le visage baigné de larmes avant de disparaître étrangement elle-même quelques jours plus tard : « Mon mari est parti sans laisser de traces. Rien, mon enfant chéri pour qui je me suis toujours mise en quatre, l'a suivi. Mais tout va bien ! Tout finira par bien se passer, car jamais deux sans trois.»
Bonne continuation !
Réponse : Correction - récit fictif de sthejfk, postée le 02-09-2022 à 20:24:42 (S | E)
D'accord, alienor64, j'en tiendrai compte ! Merci bien !
Réponse : Correction - récit fictif de alienor64, postée le 02-09-2022 à 21:16:44 (S | E)
Avec plaisir, sthejfk
Cours gratuits > Forum > Apprendre le français