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Correction version- WTO-Canada
Message de charly79 posté le 10-10-2010 à 22:50:15 (S | E | F)
Bonjour, j’aurais besoin d’une correction pour une version s’il vous plaît. Toute aide est la bienvenue.
Je vous mets d’abord la version originale puis ma traduction (je n’ai pas réussi à traduire la fin du texte).
Merci par avance pour votre aide.
Version originale:
A raw deal
WTO talks for a new global trade pact are on the brink of collapse, and Canada shares the blame.
As the 148 member countries of the World Trade Organization converge on Hong Kong this week, hopes for a new deal on international trade are slipping away. Should the talk fail, the gap between rich and poor will continue to widen, say free trade supporters, fuelling geopolitical tensions, and possibly even wars. And Canada will bear a big chunk of the blame, they say, for failing to help ensure the benefits of globalization reach those most in need.
Launched in the Qatari capital of Doha in 2001, this round of talks marks the first time that multilateral negotiations, traditionally dominated by the industrialized world, attempt to address the concerns of the poorest countries. The current impasse centres on agriculture, which represents less than 10 per cent of world trade but accounts for the system’s most egregious distortions. Industrialized countries are spending almost US$1 billion a day in agricultural support. African countries, unable to compete with the West’s financial might, have watched their share of world trade plummet by almost half over the past 30 years. To reverse this trend, the weakest nations desperately need access to Western markets, but the prospects for change aren’t good. And if the discussion collapse, as feared, it could raise deep questions about the future of globalized trade and the WTO itself.
With the Doha round already two years behind schedule, the meeting of first ministers in Hong Kong represents the « last and best chance, » according to WTO director-general Pascal Lamy, to clinch a deal before the U.S. government loses its authority to fast-track trade deals through Congress in July 2007. « Something tangible needs to come out of these talks. It can’t be a papering-over-the-crack exercise, » says Razeen Sally, a leading trade economist at the London School of Economics. « It really is make or break time . »
Ma traduction:
Un traitement injuste
Les négociations de l’OMC afin d’obtenir un nouvel accord sur le commerce international sont au bord de l’échec, et le Canada est l’un des responsables.
Alors que les 148 membres de l’Organisation mondiale du commerce converge vers Hong Kong cette semaine, les espoirs d’un nouvel accord sur le commerce international s’envolent. Selon les partisans du libre-échange, si la négociation échoue, le fossé entre les riches et les pauvres continuera de se creuser, ce qui alimentera les tensions géopolitiques, et peut-être même des guerres. Et ils ajoutent que le Canada devra supporter une grande partie de la responsabilité pour ne pas avoir contribué à s’assurer que les bénéfices de la mondialisation profitent à ceux qui sont dans le besoin.
Lancé dans la capitale qatarie de Doha en 2001, ce cycle de négociations met en évidence le fait que les négociations multilatérales, qui traditionnellement sont dominées par les pays industrialisés, tentent de répondre aux préoccupations des pays les plus pauvres. L’impasse actuelle se concentre sur le problème de l’agriculture, qui représente moins de 10% du commerce international mais qui représente les plus flagrantes anormalités du système. Les pays industrialisés dépensent quasiment 1 milliard de dollar par jour en soutien à l’agriculture. Les pays africains, incapables de rivaliser avec la puissance financière de l’Occident, ont vu leur part dans le commerce mondial chuter de près de moitié au cours des 30 dernières années. Pour inverser cette tendance, les nations les plus faibles ont désespérément besoin de l’accès aux marchés occidentaux, mais les perspectives d’évolution ne sont pas bonnes. Et si le débat échoue, comme on le craignait, cela pourrait soulever de profonds doutes sur l’avenir du commerce mondialisé et de l’OMC elle-même.
Lors du cycle de Doha, qui a déjà deux ans de retard sur les prévisions, la réunion des premiers ministres à Hong Kong représente la « dernière et meilleure chance », selon Pascal Lamy, directeur général de l’OMC afin de conclure un accord avant que le gouvernement américain ne perde son … ??? (à partir de là je n’arrive pas à traduire!)
Message de charly79 posté le 10-10-2010 à 22:50:15 (S | E | F)
Bonjour, j’aurais besoin d’une correction pour une version s’il vous plaît. Toute aide est la bienvenue.
Je vous mets d’abord la version originale puis ma traduction (je n’ai pas réussi à traduire la fin du texte).
Merci par avance pour votre aide.
Version originale:
A raw deal
WTO talks for a new global trade pact are on the brink of collapse, and Canada shares the blame.
As the 148 member countries of the World Trade Organization converge on Hong Kong this week, hopes for a new deal on international trade are slipping away. Should the talk fail, the gap between rich and poor will continue to widen, say free trade supporters, fuelling geopolitical tensions, and possibly even wars. And Canada will bear a big chunk of the blame, they say, for failing to help ensure the benefits of globalization reach those most in need.
Launched in the Qatari capital of Doha in 2001, this round of talks marks the first time that multilateral negotiations, traditionally dominated by the industrialized world, attempt to address the concerns of the poorest countries. The current impasse centres on agriculture, which represents less than 10 per cent of world trade but accounts for the system’s most egregious distortions. Industrialized countries are spending almost US$1 billion a day in agricultural support. African countries, unable to compete with the West’s financial might, have watched their share of world trade plummet by almost half over the past 30 years. To reverse this trend, the weakest nations desperately need access to Western markets, but the prospects for change aren’t good. And if the discussion collapse, as feared, it could raise deep questions about the future of globalized trade and the WTO itself.
With the Doha round already two years behind schedule, the meeting of first ministers in Hong Kong represents the « last and best chance, » according to WTO director-general Pascal Lamy, to clinch a deal before the U.S. government loses its authority to fast-track trade deals through Congress in July 2007. « Something tangible needs to come out of these talks. It can’t be a papering-over-the-crack exercise, » says Razeen Sally, a leading trade economist at the London School of Economics. « It really is make or break time . »
Ma traduction:
Un traitement injuste
Les négociations de l’OMC afin d’obtenir un nouvel accord sur le commerce international sont au bord de l’échec, et le Canada est l’un des responsables.
Alors que les 148 membres de l’Organisation mondiale du commerce converge vers Hong Kong cette semaine, les espoirs d’un nouvel accord sur le commerce international s’envolent. Selon les partisans du libre-échange, si la négociation échoue, le fossé entre les riches et les pauvres continuera de se creuser, ce qui alimentera les tensions géopolitiques, et peut-être même des guerres. Et ils ajoutent que le Canada devra supporter une grande partie de la responsabilité pour ne pas avoir contribué à s’assurer que les bénéfices de la mondialisation profitent à ceux qui sont dans le besoin.
Lancé dans la capitale qatarie de Doha en 2001, ce cycle de négociations met en évidence le fait que les négociations multilatérales, qui traditionnellement sont dominées par les pays industrialisés, tentent de répondre aux préoccupations des pays les plus pauvres. L’impasse actuelle se concentre sur le problème de l’agriculture, qui représente moins de 10% du commerce international mais qui représente les plus flagrantes anormalités du système. Les pays industrialisés dépensent quasiment 1 milliard de dollar par jour en soutien à l’agriculture. Les pays africains, incapables de rivaliser avec la puissance financière de l’Occident, ont vu leur part dans le commerce mondial chuter de près de moitié au cours des 30 dernières années. Pour inverser cette tendance, les nations les plus faibles ont désespérément besoin de l’accès aux marchés occidentaux, mais les perspectives d’évolution ne sont pas bonnes. Et si le débat échoue, comme on le craignait, cela pourrait soulever de profonds doutes sur l’avenir du commerce mondialisé et de l’OMC elle-même.
Lors du cycle de Doha, qui a déjà deux ans de retard sur les prévisions, la réunion des premiers ministres à Hong Kong représente la « dernière et meilleure chance », selon Pascal Lamy, directeur général de l’OMC afin de conclure un accord avant que le gouvernement américain ne perde son … ??? (à partir de là je n’arrive pas à traduire!)
Réponse: Correction version- WTO-Canada de gerondif, postée le 10-10-2010 à 23:32:16 (S | E)
Bonsoir,
quelques points rapides,les plus évidents..
Les négociations de l’OMC afin d’obtenir un nouvel accord sur le commerce international sont au bord de l’échec, et le Canada est l’un des responsables.
Alors que les 148 (countries)membres de l’Organisation mondiale du commerce convergent vers Hong Kong cette semaine, les espoirs d’un nouvel accord sur le commerce international s’envolent. Selon les partisans du libre-échange, si la négociation échoue, le fossé entre les riches et les pauvres continuera de se creuser, ce qui alimentera les tensions géopolitiques, et peut-être même des guerres. Et ils ajoutent que le Canada devra(cette nuance n'est pas dans le texte, will indique plutôt une certitude) supporter une grande partie de la responsabilité pour ne pas avoir contribué à s’assurer que les bénéfices de la mondialisation profitent à ceux qui sont (most)dans le besoin.
Lancé dans la capitale qatarie de Doha en 2001, ce cycle de négociations met en évidence le fait que (the first time)les négociations multilatérales, qui traditionnellement sont dominées par les pays industrialisés, tentent de répondre aux préoccupations des pays les plus pauvres. L’impasse actuelle se concentre sur le problème de l’agriculture, qui représente moins de 10% du commerce international mais qui représente les plus flagrantes anormalités du système. Les pays industrialisés dépensent quasiment 1 milliard de dollars par jour en soutien à l’agriculture. Les pays africains, incapables de rivaliser avec la puissance financière de l’Occident, ont vu leur part dans le commerce mondial chuter de près de moitié au cours des 30 dernières années. Pour inverser cette tendance, les nations les plus faibles ont désespérément besoin de l’accès aux marchés occidentaux, mais les perspectives d’évolution ne sont pas bonnes. Et si le débat échoue, comme on le craignait(as it is feared a un sens présent, comme on le craint), cela pourrait soulever de profonds doutes sur l’avenir du commerce mondialisé et de l’OMC elle-même.
Lors(faux sens, alors que le cycle de Doha a déjà deux ans de retard) du cycle de Doha, qui a déjà deux ans de retard sur les prévisions, la réunion des premiers ministres à Hong Kong représente la « dernière et meilleure chance », selon Pascal Lamy, directeur général de l’OMC afin de conclure(décrocher donne plus l'idée de difficultés) un accord avant que le gouvernement américain ne perde son … ??? (à partir de là je n’arrive pas à traduire!)
comme nous ne sommes pas censés faire le travail à votre place, proposez quelque chose,
double click sur paper vous donne l'expression: une histoire de ...sous le tapis)
la fin semble claire: ça passe ou ça casse
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