Bonjour isarosa. Voici ma proposition de correction. Vous avez de bonnes idées, qui sont parfois mal exprimées. Bon courage pour la correction.

LES ENFANTS BOOMERANG
De nos jours, nous constatons que le nombre d'enfants "Boomerang" est en hausse. Les derniers sondages réalisés à ce propos sont vraiment alarmant [accord] : 5 personnes sur 10 retournent chez ses [mauvais possessif] parents. Les divorces sont une des causes qui parfois obligent aux [ici, on utilisera tout simplement un article défini pluriel] hommes particulièrement, de [mauvaise préposition]  retourner à leur nid parental [mal dit], étant donné qu'ils doivent souvent abandonner leurs foyers, où leurs ex-épouses continueront à y [inutile] habiter avec leurs fils. Dans les temps que nous courrons [mal dit], il est très difficile de pouvoir supporter les frais de deux foyers, donc une des solutions est le retour chez les parents.
D'autres, par contre sont obligés à [mauvaise préposition] y retourner, à cause de la crise financière. Après des licenciements, des efforts inutiles pour trouver un emploi, ils n'ont d'autre solution que le retour chez papa et maman. Souvent, ce retour est multiplié [mal dit] , puisque quand ils ont quitté ce domicile, ils l'ont fait seul, et au retour, il y a une famille entière : épouse, enfants.....
Évidemment les parents accueillent leurs fils avec les bras ouverts, mais ce n'est pas une situation agréable, pour aucune des deux parts [à dire autrement], ni pour les accueillants, ni pour les accueillis. Pour les « Boomerang », c'est un fracas [mal dit], un sentiment d'impuissance, qui parfois peut les conduire à une dépression, et pour les parents c'est un sentiment de peine et de douleur. Si les fils souffrent, les parents aussi.
Il est raisonnable de penser, que la crise finira un jour, et chacun retrouvera son chemin, mais il y aura toujours des « Boomerang ».