Correction texte

Un son venait de la porte. Quelqu'un toquait. Martin est allé ouvrir. Derrière cette porte, une femme. Elle semblait épuisée, impuissante. C'était Griselle. Martin l'avait-il reconnue ?
-"Martin, aide-moi ! Je t'en supplie, sauve-moi !" s'écriait-elle, apeurée.
Elle était horrifiée. Martin eut un moment d'hésitation. Il ne comprenait absolument pas ce qu'il se passait. C'est en apercevant *** qu'il compris. Elle était **** et **** la suivait ; [c'est tout ce qui lui passait par la tête.] (je ne comprends pas le sens de cette partie de la phrase) Il la fit entrer. La maison était pleine de monde. Il ne savait où la cacher. Une domestique pouvait surgir à tout moment. Ils ont couru jusqu'à la cave.
"Que diable es-tu venue faire à Berlin ? s'exclama Martin. Ton frère t'avait pourtant prévenue ! Te rends-tu compte de la situation dans laquelle tu nous met (conjugaison), Elsa, les enfants et moi ?! Tu veux donc mourir ?! Tu es complètement inconsciente !" s'écria t-il.
Il y eut un moment de silence, puis Griselle a commencé à parler. Elle ajouta d'une voix beaucoup plus calme que ... (ici, il faut une suite) : "Je voulais vraiment faire carrière (dans quoi ?).. Le théâtre c'est ce qui me passionne depuis toute petite. Quand le public a appris que j'étais ****, tout le monde dans la salle m'a conspuée mais à aucun moment je n'ai eu honte car je suis **** et fière de l'être. Martin, sache-le. Avait-elle attendrie (accord) Martin ? Avait-il eu pitié d'elle. (ponctuation) Martin lui demanda de rester à la cave jusqu'à ce que **** parte. Il lui apporta de la nourriture, des vêtements propres et une couverture : Martin ! Qu'est-il en train de faire ?! S'il se fait prendre, il sera tué, lui et sa famille ! Peut-être son amour pour Griselle l'avait-il changé. (ponctuation) Nul ne le savait. Le lendemain, à l'aube, Martin l'accompagna (mettre à l'imparfait) à la gare, en direction de la France, où elle prendra (mettre au conditionnel présent) le bateau vers les Etats-Unis afin de rejoindre son frère.