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    Le poète / Correction

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    Le poète / Correction
    Message de jenko posté le 01-05-2013 à 08:53:41 (S | E | F)
    Bonjour!
    Pouvez-vous m'aider à corriger ce texte, s'il vous plaît ?
    Merci pour vos réponses.


    C'était un matin d'un jour brumeux de septembre 2011. Le 10, peut-être... A moins que ce ne fut le 11 ? Mais pour Jean, la date importait peu. Tout ce qui comptait, c'était ce qu'il voyait à l'instant, un homme aussi passionné que lui de la poésie. Il était assis dans un café situé en plein cœur de Paris. Jean était depuis son enfance une personne passionnée par la poésie dont Baudelaire particulièrement, car tout d’eux étaient ne en France. Donc à la première occasion de rencontrer une personne aussi attiré par la poésie que lui, était impératif. C’est alors que Jean alla à sa rencontre. Il se présenta à l’homme qui était assis, et qui s’appelait en fait Jacques, il venait du Vendôme comme son poète qu’il admirait, Pierre de Ronsard. C’est alors qu’ils se mirent à discuter et comme par magie, se fut comme une apparition, Jean et Jacques se transformèrent en Baudelaire et Pierre de Ronsard. Ce dialogue entre Baudelaire et Ronsard évoquent leur point de vue sur la poésie et racontent leur vie.

    Donnez moi votre avis SVP merci
    -------------------
    Modifié par bridg le 01-05-2013 08:56
    Politesse



    Réponse: Le poète / Correction de dolfine56, postée le 01-05-2013 à 09:13:42 (S | E)
    Bonjour,

    C'était un--plutôt "le" matin d'un jour brumeux de septembre 2011. Le 10, peut-être... A moins que ce ne fut--orthographe le 11 ? Mais pour Jean, la date importait peu. Tout ce qui comptait, c'était ce qu'il voyait à l'instant, un homme aussi passionné que lui de la poésie. Il était assis dans un café situé en plein cœur de Paris. Jean était depuis son enfance une personne passionnée par la poésie--répétition:dites-le autrement dont Baudelaire particulièrement, car tout d’eux étaient ne--ortho en France. Donc à la première occasion de rencontrer une personne aussi attiré--ortho par la poésie que lui, était impératif. C’est alors que Jean alla--utilisez le verbe venir à sa rencontre. Il se présenta à l’homme qui était assis, et qui s’appelait en fait Jacques, il venait du--de Vendôme comme son poète qu’il admirait, Pierre de Ronsard. C’est alors qu’ils se mirent à discuter et comme par magie, se fut comme une apparition, Jean et Jacques se transformèrent en Baudelaire et Pierre de Ronsard. Ce dialogue entre Baudelaire et Ronsard évoquent--le sujet est" dialogue", singulier leur point de vue sur la poésie et racontent--au singulier leur[/vert--plutôt au pluriel--la vie et le point de vue de chacun,ce qui fait deux.] vie.
    C'est à vous...(revoyez la ponctuation..(virgules,points...



    Réponse: Le poète / Correction de jenko, postée le 01-05-2013 à 10:45:44 (S | E)
    Merci de m'avoir aidé

    -------------------
    Modifié par bridg le 01-05-2013 10:51
    Merci, surtout de nous poster la version corrigée.




    Réponse: Le poète / Correction de jenko, postée le 02-05-2013 à 06:12:17 (S | E)
    C'était le matin d'un jour brumeux de septembre 2011. Le 10, peut-être... A moins que ce ne fut le 11 ? Mais pour Jean, la date importait peu. Tout ce qui comptait, c'était ce qu'il voyait à l'instant, un homme aussi passionné que lui de la poésie. Il était assis dans un café situé en plein cœur de Paris. Jean était depuis son enfance une personne bercée par la poésie dont Baudelaire particulièrement, car tout d’eux étaient né en France. Donc à la première occasion de rencontrer une personne aussi attirée par la poésie que lui, était impératif. C’est alors que Jean vint à sa rencontre, il se présenta à l’homme qui était assis, et qui s’appelait en fait Jacques. Il venait de Vendôme comme son poète qu’il admirait, Pierre de Ronsard. C’est alors qu’ils se mirent à discuter et comme par magie, se fut comme une apparition. Jean et Jacques se transformèrent en Baudelaire et Pierre de Ronsard. Ce dialogue entre Baudelaire et Ronsard évoque leurs points de vue sur la poésie et raconte leurs vies.

    J'ai suivi ce que vous m'aviez dit, et voilà. Merci pour la correction.



    Réponse: Le poète / Correction de jij33, postée le 02-05-2013 à 10:27:00 (S | E)

    Bonjour,


    Encore quelques erreurs à corriger... indique une erreur d'orthographe


    C'était le matin d'un jour brumeux de septembre 2011. Le 10, peut-être... A moins que ce ne fut (c'est un imparfait du subjonctif) le 11 ? Mais pour Jean, la date importait peu. Tout ce qui comptait, c'était ce qu'il voyait à l'instant, un homme aussi passionné que lui de la poésie [on est passionné "par" quelque chose (avec article) ou "de" quelque chose (sans article)]. Il était assis dans un café situé en plein cœur de Paris. Jean était depuis son enfance une personne bercée par la poésie dont (l'emploi d'un pronom relatif est ici incorrect : il faut une préposition) Baudelaire particulièrement, car tout d'eux étaient en France. Donc (ponctuation) à la première occasion de rencontrer une personne aussi attirée par la poésie que lui, était impératif (construction incorrecte : vous pourriez commencer votre phrase par "il était impératif"...). C'est alors que Jean vint à sa rencontre, il se présenta à l'homme qui était assis, et qui s'appelait en fait Jacques. Il venait de Vendôme comme son (employez un article défini) poète qu'il admirait, Pierre de Ronsard. C'est alors qu'ils se mirent à discuter et comme par magie, se  fut comme une apparition. Jean et Jacques se transformèrent en Baudelaire et Pierre de Ronsard. Ce dialogue entre Baudelaire et Ronsard évoque leurs points de vue sur la poésie et raconte leurs vies (chacun n'ayant qu'une vie, il vaut mieux que le groupe souligné soit au singulier).


    A vous de jouer, maintenant !





    Réponse: Le poète / Correction de jenko, postée le 02-05-2013 à 15:25:40 (S | E)
    Merci encore.

    Voilà la suite de mon devoir,pouvez-vous m'aider à corriger ce texte, s'il vous plaît ?

    C.B- Saviez-vous mon cher que j’ai grandi dans cette ville, il y a plus de cent quatre-vingt-dix ans et oui, je suis né le 9 avril 1821. Plusieurs choses ont changé depuis.

    P.R- Je suis né en septembre 1524 soit il y a quatre cent quatre-vingt-sept ans en Vendômois au Château de la Possonnière qui appartenait à l’é poque à mon père Louis de Ronsard. Aujourd’hui, ce château est considéré comme un monument historique.

    C.B- Les gens m’ont souvent destiné à une place importante dans la poésie française du XIXe siècle, car j’étais toujours au cœur des débats sur la fonction de la littérature de mon époque. J’essaie de détacher la poésie de la morale, je la proclame tout entière destinée au Beau et non à la Vérité. Comme le suggère le titre de mon recueil Les Fleurs du mal, j’ai tenté de tisser des liens entre le mal et la beauté, le bonheur et l'idéal inaccessible avec « À une passante »et la violence et la volupté avec « Une martyre ».

    P.R- Et moi, les personnes m’ont destiné à être un des poètes français les plus importants du XVIe siècle. J’ai touché aussi bien à la poésie engagée et officielle dans le contexte des guerres de religions avec les Hymnes et les Discours entre 1555 et 1564, l’épopée avec « La Franciade » écrit en 1572 ou la poésie lyrique avec les recueils « Les Odes » écrit entre 1550 et 1552.

    Comme ils se trouvaient à un café, ils prirent tous d’eux une tasse de thé. Et continuèrent leur conversation.

    C.B- (Avec de l’émotion) Dans ma vie et dans mes œuvres, Jeanne Duval fut sans doute la femme, la plus importante, après que ma mère se remaria avec le chef de bataillon Jacques Aupick. Je ne lui ai jamais pardonné de ce remariage, et l'officier Aupick, devenu plus tard ambassadeur, incarne à mes yeux tout ce qui fait obstacle à ce que j’aime : ma mère, la poésie, le rêve, et la vie sans contingences.

    P.R- (Avec un peu de regret) Je n’ai jamais su trouver la bonne et je n’ai cessé de chanter l'amour. Dédiant mes écrits à trois femmes, Cassandre, Marie et Hélène. Cela est dû à des sentiments éprouvés lors de multiples rencontres amoureuses.

    C.B- Jeanne Duval était la femme avec qui, j’ai eu la liaison amoureuse la plus passionné et la plus sensuelle. Durant les années qui ont passé jusqu’à aujourd’hui, les gens l’ont nommé la Vénus noire, elle était mulâtresse et je l’avais connu lors de mon retour à Maurice et son seul parfum me permettait de voyager dans un univers paradisiaque.

    P.R- Pour moi la poésie a été une arme, on me surnommait le poète courtisan. Toujours à écrire des poèmes d’amour, sans jamais la trouver.

    C.B- C’est à travers le sonnet « Parfum exotique » que j’ai transcrit mon amour pour elle, ce fut comme un rêve d’évasion. Et par la suite retrouver le monde réel, imparfait qu’est le nôtre.

    P.R- Sachez, mon brave l’une de mes plus vieilles citations issus des Extrait du Mélanges « Celui qui n'aime est malheureux, Et malheureux est l'amoureux ». Voilà ce que je peux vous dire.

    C.B- Je suis amplement d’accord avec vous, car moi-même, l’une de mes citations est : « Il y a dans l’acte d’amour une grande ressemblance avec la torture ou avec une opération chirurgicale». Elle est issus de leur de mes œuvres, « Les Fleurs du Mal ».

    P.R- Je pense que l’homme peut vivre sans manger pendant deux jours, mais la poésie jamais.

    C.B- Je le pense de même mon brave. Sur ce, je vous laisse à vos occupations et j’ai été très enchanté de vous connaitre.

    P.R- Moi de même, au plaisir de vous revoir dans une autre vie.

    À cet instant, tous d’eux redevinrent comme si de rien était. Jean était redevenu Jean et se fut de même pour Jacques. Depuis ce jour, ils ne se sont plus jamais revus. Chacun avait pris des chemins différents mais leur passion pour la poésie demeuré toujours aussi étincelant.

    Merci d'avance pour vos réponse.




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