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Cours gratuits > Forum > Apprendre le français || En basMessage de rabi3a posté le 12-05-2013 à 16:41:46 (S | E | F)
Bonsoir à tous! J'ai rédigé un exposé écrit que je dois l'exposer à l'oral. Quelqu'un peut-il m'aider à le corriger? Dans cette page il y a l'introduction et le développement, dans une autre il y aura la conclusion. Merci d'avance
Introduction
Cet article est extrait du quotidien “Le Monde”, daté du 25 avril 2013. Il s'agit d'un article d'actualité intitulé: “La réussite étudiante, un levier de croissance”, écrit par Geneviève Fioraso, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche depuis le 16 mai 2012. L'auteur propose un projet très ambitieux pour élever le taux de qualification des jeunes français pour “relancer l'ascenseur social” dit-elle mais aussi pour “aider les salariés en reconversion, anticiper les métiers de demain, innover dans les filières d'avenir, c'est la meilleure arme anticrise”.
Donc elle propose une Université au service de la jeunesse, à l'écoute de la société, ouverte à l'international et résolument tournée vers l'avenir. Geneviève Fioraso est très confiante mais elle demande une mobilisation pour réaliser la loi de ce projet.
On peut diviser cet article en 3 parties.
Dans a première partie l'auteur nous montre que le taux de poursuites des études stagne depuis 15 ans et qu'il faut un nouvel élan.
Dans une deuxième partie l'auteur est critique face à la loi de 2007 relative aux libertés et responsabilités des universités. Elle dit qu'il faut avancer et réformer, c'est l'Etat qui doit régler avec efficacité l'enseignement supérieur.
Dans une troisième et dernière partie, Geneviève Fioraso, nous montre les objectifs de cette loi ambitieuse.
Passons maintenant à une analyse plus détaillé de l'article.
Développement
Dans la première partie de cet article l'auteur montre que la France a un très bon niveau de recherche, de plus elle reçoit des élèves de tout le monde. Le problème est qu' il faut augmenter le taux de poursuites parce que le monde change à une grande vitesse. En effet les pays développés s'engagent beaucoup dans la formations de leur jeunesse parce que la formation est une arme distinctive d'un pays. Dans cette prospective la France manque des diplômes par rapport aux autres pays émergent. L'auteur est désolée en effet elle dit: “Que de temps perdu ! Depuis quinze ans, la part de jeunes diplômes stagne autour de 40 % d'une génération”. Un autre problème que soulève Geneviève Fioraso est que les gens avec des revenues médiocres ont une grande difficulté d'inscrire leurs enfants à l'Université, je le cite” Les enfants de familles aux revenus modestes sont sous-représentés en licence et quasiment absents des effectifs en doctorat”. Cela veut dire que la mobilisation social est de plus en plus difficile.
Ensuite, dans une deuxième partie l'auteur dit qu'il faut faire une réforme sur la loi de 2007, je le cite: “Les excès de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités (LRU, adoptée en 2007) doivent être corrigés”. Cette loi prévoit l'autonomie dans les domaines budgétaire et de gestion de leurs ressources humaines et qu'elles puissent devenir propriétaires de leurs biens immobiliers. A' propos de cette loi le ministre dit qu'il faut corrigés certains excès et donc il faut avancer, c'est-à-dire c'est l'Etat qui doit avoir un rôle actif et régler avec efficacité l'enseignement supérieur. Ainsi Geneviève Fioraso porte une loi d'orientation qui a plusieurs objectifs: diplômer 50% d'une classe d'age et construire d'ici à la fin de la décennie millions d'étudiants. Ici elle fait une comparaison avec la Corée en disant: “un pays comme la Corée, avec 59 millions d'habitants, compte 3,3 millions d'étudiants, contre 2,4 millions en France”.
Dans une troisième partie l'auteur montre que l'ambition de cette loi est d'autant plus ambitieux . Par exemple elle dit qu'il faut un effort exceptionnel, je le cite: “création de 5 000 emplois nouveaux dans le quinquennat”. L'objectif de cet effort est de lutter contre l'orientation par défaut des jeunes bacheliers. Je le cite: “la loi facilite l'accès des bacheliers professionnels en section de technicien supérieur (STS) et des bacheliers en institut universitaire de technologie (IUT), où leur taux de réussite est bien meilleur.” Donc, l'auteur est sans doute optimiste sur le rôle de cette loi dans l'avenir. En outre la loi s'engage à une rénovation pédagogique c'est-à-dire l'Université doit connaître ce que l'entoure, être, donc, actuelle. En effet l'étude et l'usage des langues étrangères, notamment l'anglais qu' aujourd'hui est devenu une langue mondiale, et l'usage des numériques. Ainsi, on peut parler d'une loi qui est faite par l'état mais qui fait appel à la mobilisation collective pour la construire et pour une meilleure réussite.
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Modifié par rabi3a le 12-05-2013 16:49
Réponse: Devoir-exposition 1 de jij33, postée le 12-05-2013 à 18:40:21 (S | E)
Bonjour rabi3a
Comme il s'agit d'un exposé oral, si les correcteurs laissent quelques fautes d'orthographe leur échapper, ce n'est pas très grave...
Pour ma part, je trouve votre introduction claire et bien rédigée. Je vous signalerai simplement ceci : "Dans a première partie l'auteur...". Vous rectifierez facilement...
"Dans la première partie de cet article l'auteur montre que la France a un très bon niveau de recherche, de plus elle reçoit des élèves de tout le monde."Cette expression est maladroite, remplacez-la par une tournure équivalente qui pourrait contenir l'adjectif "entier"
Le problème est qu' il faut augmenter le taux de poursuites (poursuite de quoi ? Et le "s" est superflu) parce que le monde change à une grande vitesse. En effet les pays développés s'engagent beaucoup dans la formations de leur jeunesse parce que la formation est une arme distinctive d'un pays. Dans cette prospective la France manque des diplômes par rapport aux autres pays émergent. L'auteur est désolée (employez plutôt un verbe pronominal au présent, puis ponctuez)en effet elle dit: “Que de temps perdu ! Depuis quinze ans, la part de jeunes diplômes (accent)stagne autour de 40 % d'une génération”. Un autre problème que soulève Geneviève Fioraso est que les gens avec des revenues médiocres ont une grande difficulté d'autre préposition, indiquant le but, par exempleinscrire leurs enfants à l'Université, je le cite(Geneviève Fioraso est une femme...)” Les enfants de familles aux revenus modestes sont sous-représentés en licence et quasiment absents des effectifs en doctorat”. Cela veut dire que la mobilisation social est de plus en plus difficile.
Je vous envoie cette partie, et...je reviens ! Bonne correction
Réponse: Devoir-exposition 1 de jij33, postée le 12-05-2013 à 18:55:42 (S | E)
Coucou, me revoilà !
Ensuite, dans une deuxième partie l'auteur dit qu'il faut faire une réforme sur la loi de 2007, je le cite: “Les excès de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités (LRU, adoptée en 2007) doivent être corrigés”. Cette loi prévoit l'autonomie dans les domaines budgétaire et de gestion de leurs ressources humaines et qu'elles puissent devenir propriétaires de leurs biens immobiliers. A' propos de cette loi le ministre dit qu'il faut corrigés certains excès et donc il faut avancer, c'est-à-dire c'est l'Etat qui doit avoir(on dit plutôt "jouer" un rôle) un rôle actif et régler avec efficacité l'enseignement supérieur. Ainsi Geneviève Fioraso porte une loi d'orientation qui a plusieurs objectifs: diplômer 50% d'une classe d'age et construire d'ici à la fin de la décennie (ne manque-t-il pas un nombre ?) millions d'étudiants. Ici elle fait une comparaison avec la Corée en disant: “un pays comme la Corée, avec 59 millions d'habitants, compte 3,3 millions d'étudiants, contre 2,4 millions en France”.
Dans une troisième partie l'auteur montre que l'ambition de cette loi est d'autant plus ambitieux(comme vous avez employé "ambition", il va vous falloir trouver un autre adjectif, ou changer la tournure) . Par exemple elle dit qu'il faut un effort exceptionnel, je le(vous avez dit "elle" juste avant...) cite: “création de 5 000 emplois nouveaux dans le quinquennat”. L'objectif de cet effort est de lutter contre l'orientation par défaut des jeunes bacheliers. Je le(même remarque !) cite: “la loi facilite l'accès des bacheliers professionnels en section de technicien supérieur (STS) et des bacheliers en institut universitaire de technologie (IUT), où leur taux de réussite est bien meilleur.” Donc, l'auteur est sans doute optimiste sur le rôle de cette loi dans l'avenir. En outre la loi s'engage à une rénovation pédagogique c'est-à-dire l'Université doit connaître ce que(pronom relatif sujet !) l'entoure, être, donc, actuelle. En effet l'étude et l'usage des langues étrangères, notamment l'anglais qu''(idem) aujourd'hui est devenu une langue mondiale, et l'usage des numériques(construction de la phrase à reprendre). Ainsi, on peut parler d'une loi qui est faite par l'état mais qui fait appel à la mobilisation collective pour la construire et pour une meilleure réussite.
Vous avez bien travaillé !
Courage pour les finitions, et bonne soirée.
Réponse: Devoir-exposition 1 de rabi3a, postée le 12-05-2013 à 23:05:54 (S | E)
Bonsoir!
Merci pour vos corrections! Voilà ce que j'ai corrigé! Comme ça c'est mieux? Bonne soirée et merci
Introduction
Cet article est extrait du quotidien “Le Monde”, daté du 25 avril 2013. Il s'agit d'un article d'actualité intitulé: “La réussite étudiante, un levier de croissance”, écrit par Geneviève Fioraso, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche depuis le 16 mai 2012. L'auteur propose un projet très ambitieux pour élever le taux de qualification des jeunes français pour “relancer l'ascenseur social” dit-elle mais aussi pour “aider les salariés en reconversion, anticiper les métiers de demain, innover dans les filières d'avenir, c'est la meilleure arme anticrise”.
Donc elle propose une Université au service de la jeunesse, à l'écoute de la société, ouverte à l'international et résolument tournée vers l'avenir. Geneviève Fioraso est très confiante mais elle demande une mobilisation pour réaliser la loi de ce projet.
On peut diviser cet article en 3 parties.
Dans La première partie l'auteur nous montre que le taux de poursuites des études stagne depuis 15 ans et qu'il faut un nouvel élan.
Dans une deuxième partie l'auteur est critique face à la loi de 2007 relative aux libertés et responsabilités des universités. Elle dit qu'il faut avancer et réformer, c'est l'Etat qui doit régler avec efficacité l'enseignement supérieur.
Dans une troisième et dernière partie, Geneviève Fioraso, nous montre les objectifs de cette loi ambitieuse.
Passons maintenant à une analyse plus détaillé de l'article.
Développement
Dans la première partie de cet article l'auteur montre que la France a un très bon niveau de recherche et quìelle reçoit des éleèves du monde entier. Le problème est qu' il faut augmenter le taux de poursuites d'études parce que le monde change à une grande vitesse. En effet, les pays développés s'engagent beaucoup dans la formation de leur jeunesse parce que la formation est une arme distinctive d'un pays. Dans cette prospective la France manque de diplômés par rapport aux autres pays émergents. L'auteur se désole, en effet elle dit: “Que de temps perdu ! Depuis quinze ans, la part de jeunes diplômés stagne autour de 40 % d'une génération”. Un autre problème que soulève Geneviève Fioraso est que les gens avec des revenues médiocres ont une grande difficulté à inscrire leurs enfants à l'Université, je la cite” Les enfants de familles aux revenues modestes sont sous-représentés en licence et quasiment absents des effectifs en doctorat”. Cela veut dire que la mobilisation sociale est de plus en plus difficile.
Ensuite, dans une deuxième partie l'auteur dit qu'il faut faire une réforme sur la loi de 2007, je la cite: “Les excès de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités (LRU, adoptée en 2007) doivent être corrigés”. Cette loi prévoit l'autonomie dans les domaines budgétaire et de gestion de leurs ressources humaines et qu'elles puissent devenir propriétaires de leurs biens immobiliers. A' propos de cette loi le ministre dit qu'il faut corriger certains excès et donc il faut avancer, c'est-à-dire c'est l'Etat qui doit jouer un rôle actif et régler avec efficacité l'enseignement supérieur. Ainsi Geneviève Fioraso porte une loi d'orientation qui a plusieurs objectifs: diplômer 50% d'une classe d'age et construire d'ici à la fin de la décennie 3 millions d'étudiants. Ici elle fait une comparaison avec la Corée en disant: “un pays comme la Corée, avec 59 millions d'habitants, compte 3,3 millions d'étudiants, contre 2,4 millions en France”.
Dans une troisième partie l'auteur montre que cette loi est d'autant plus ambitieuse . Par exemple elle dit qu'il faut un effort exceptionnel, je la cite: “création de 5 000 emplois nouveaux dans le quinquennat”. L'objectif de cet effort est de lutter contre l'orientation par défaut des jeunes bacheliers. Je la cite: “la loi facilite l'accès des bacheliers professionnels en section de technicien supérieur (STS) et des bacheliers en institut universitaire de technologie (IUT), où leur taux de réussite est bien meilleur.” Donc, l'auteur est sans doute optimiste sur le rôle de cette loi dans l'avenir. En outre la loi s'engage à une rénovation pédagogique c'est-à-dire l'Université doit connaître ce qui l'entoure, être, donc, actuelle. En effet il faut souligner l'importance de l'étude et l'usage des langues étrangères, notamment l'anglais qui aujourd'hui est devenu une langue mondiale. De plus il ne faut pas oublier les numériques et internet. Ainsi, on peut parler d'une loi qui est faite par l'état mais qui fait appel à la mobilisation collective pour la construire et pour une meilleure réussite.
Réponse: Devoir-exposition 1 de jij33, postée le 13-05-2013 à 11:32:05 (S | E)
Bonjour rabi3a
Reprenons ensemble quelques points.
Cet article est extrait du quotidien “Le Monde”, daté du 25 avril 2013. Il s'agit d'un article d'actualité intitulé: “La réussite étudiante, un levier de croissance”, écrit par Geneviève Fioraso, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche depuis le 16 mai 2012. L'auteur propose un projet très ambitieux pour élever le taux de qualification des jeunes français (ici, français est un nom propre : n'oubliez pas la majuscule)pour “relancer l'ascenseur social” dit-elle mais aussi pour “aider les salariés en reconversion, anticiper les métiers de demain, innover dans les filières d'avenir, c'est la meilleure arme anticrise”.
Donc elle propose une Université au service de la jeunesse, à l'écoute de la société, ouverte à l'international et résolument tournée vers l'avenir. Geneviève Fioraso est très confiante mais elle demande une mobilisation pour réaliser la loi de ce projet.
On peut diviser cet article en 3 parties.
Dans La (pas de majuscule) première partie l'auteur nous montre que le taux de poursuites(erreur déjà signalée : singulier) des études stagne depuis 15 ans et qu'il faut un nouvel élan.
Dans une deuxième partie l'auteur est critique face à la loi de 2007 relative aux libertés et responsabilités des universités. Elle dit qu'il faut avancer et réformer, c'est l'Etat qui doit régler avec efficacité l'enseignement supérieur.
Dans une troisième et dernière partie, Geneviève Fioraso, nous montre les objectifs de cette loi ambitieuse.
Je vous envoie la suite dans un moment...
Réponse: Devoir-exposition 1 de jij33, postée le 13-05-2013 à 11:38:56 (S | E)
... et voici la suite
Dans la première partie de cet article l'auteur montre que la France a un très bon niveau de recherche et quìelle (erreur de frappe, que vous n'avez pas faite dans votre première version) reçoit des éleèves du monde entier. Le problème est qu' il faut augmenter le taux de poursuites d'études parce que le monde change à une grande vitesse. En effet, les pays développés s'engagent beaucoup dans la formation de leur jeunesse parce que la formation est une arme distinctive d'un pays. Dans cette prospective la France manque de diplômés par rapport aux autres pays émergents. L'auteur se désole, en effet elle dit: “Que de temps perdu ! Depuis quinze ans, la part de jeunes diplômés stagne autour de 40 % d'une génération”. Un autre problème que soulève Geneviève Fioraso est que les gens avec des revenues (ce mot est masculin) médiocres ont une grande difficulté à inscrire leurs enfants à l'Université, je la cite” Les enfants de familles aux revenues (même remarque)modestes sont sous-représentés en licence et quasiment absents des effectifs en doctorat”. Cela veut dire que la mobilisation sociale est de plus en plus difficile.
Je fais un dernier envoi dans quelques minutes
Réponse: Devoir-exposition 1 de jij33, postée le 13-05-2013 à 11:53:41 (S | E)
coucou rabi3a, c'est encore moi...
Voici la fin
Ensuite, dans une deuxième partie l'auteur dit qu'il faut faire une réforme sur la loi de 2007, je la cite: “Les excès de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités (LRU, adoptée en 2007) doivent être corrigés”. Cette loi prévoit l'autonomie dans les domaines budgétaire et de gestion de leurs ressources humaines et qu'elles puissent devenir propriétaires de leurs biens immobiliers. A' propos de cette loi le ministre dit qu'il faut corriger certains excès et donc il faut avancer, c'est-à-dire (comme l'explication est longue, il faut l'introduire par "que")c'est l'Etat qui doit jouer un rôle actif et régler avec efficacité l'enseignement supérieur. Ainsi Geneviève Fioraso porte("présenter" ou "proposer" une loi d'orientation qui a plusieurs objectifs: diplômer 50% d'une classe d'age et construire(on ne "construit" pas des personnes) d'ici à la fin de la décennie 3 millions d'étudiants. Ici elle fait une comparaison avec la Corée en disant: “un pays comme la Corée, avec 59 millions d'habitants, compte 3,3 millions d'étudiants, contre 2,4 millions en France”.
Dans une troisième partie l'auteur montre que cette loi est d'autant plus ambitieuse . Par exemple elle dit qu'il faut un effort exceptionnel, je la cite: “création de 5 000 emplois (dans quel domaine ?)nouveaux dans le quinquennat”. L'objectif de cet effort est de lutter contre l'orientation par défaut des jeunes bacheliers. Je la cite: “la loi facilite l'accès des bacheliers professionnels en section de technicien supérieur (STS) et des bacheliers en institut universitaire de technologie (IUT), où leur taux de réussite est bien meilleur.” Donc, l'auteur est sans doute optimiste sur le rôle de cette loi dans l'avenir. En outre la loi s'engage à une rénovation pédagogique c'est-à-dire que l'Université doit connaître ce qui l'entoure, être, donc, actuelle. En effet il faut souligner l'importance de l'étude et l'usage des langues étrangères, notamment l'anglais qui aujourd'hui est devenu une langue mondiale. De plus il ne faut pas oublier les numériques (cette expression devra être mise au singulier) et internet. Ainsi, on peut parler d'une loi qui est faite par l'état (majuscule)mais qui fait appel à la mobilisation collective pour
A vous maintenant ! Et bonne chance pour votre oral : vous avez les qualités qui vous permettront de réussir ...
Réponse: Devoir-exposition 1 de rabi3a, postée le 13-05-2013 à 12:03:45 (S | E)
Je vous remercie de tout mon coeur madame! Voilà mes corrections!
Introduction
Cet article est extrait du quotidien “Le Monde”, daté du 25 avril 2013. Il s'agit d'un article d'actualité intitulé: “La réussite étudiante, un levier de croissance”, écrit par Geneviève Fioraso, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche depuis le 16 mai 2012. L'auteur propose un projet très ambitieux pour élever le taux de qualification des jeunes Français pour “relancer l'ascenseur social” dit-elle mais aussi pour “aider les salariés en reconversion, anticiper les métiers de demain, innover dans les filières d'avenir, c'est la meilleure arme anticrise”.
Donc elle propose une Université au service de la jeunesse, à l'écoute de la société, ouverte à l'international et résolument tournée vers l'avenir. Geneviève Fioraso est très confiante mais elle demande une mobilisation pour réaliser la loi de ce projet.
On peut diviser cet article en 3 parties.
Dans la première partie l'auteur nous montre que le taux de poursuite des études stagne depuis 15 ans et qu'il faut un nouvel élan.
Dans une deuxième partie l'auteur est critique face à la loi de 2007 relative aux libertés et responsabilités des universités. Elle dit qu'il faut avancer et réformer, c'est l'Etat qui doit régler avec efficacité l'enseignement supérieur.
Dans une troisième et dernière partie, Geneviève Fioraso, nous montre les objectifs de cette loi ambitieuse.
Passons maintenant à une analyse plus détaillé de l'article.
Développement
Dans la première partie de cet article l'auteur montre que la France a un très bon niveau de recherche et qu'elle reçoit des élèves du monde entier. Le problème est qu' il faut augmenter le taux de poursuite d'études parce que le monde change à une grande vitesse. En effet, les pays développés s'engagent beaucoup dans la formation de leur jeunesse parce que la formation est une arme distinctive d'un pays. Dans cette prospective la France manque de diplômés par rapport aux autres pays émergents. L'auteur se désole, en effet elle dit: “Que de temps perdu ! Depuis quinze ans, la part de jeunes diplômés stagne autour de 40 % d'une génération”. Un autre problème que soulève Geneviève Fioraso est que les gens avec des revenus médiocres ont une grande difficulté à inscrire leurs enfants à l'Université, je la cite” Les enfants de familles aux revenus modestes sont sous-représentés en licence et quasiment absents des effectifs en doctorat”. Cela veut dire que la mobilisation sociale est de plus en plus difficile.
Ensuite, dans une deuxième partie l'auteur dit qu'il faut faire une réforme sur la loi de 2007, je la cite: “Les excès de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités (LRU, adoptée en 2007) doivent être corrigés”. Cette loi prévoit l'autonomie dans les domaines budgétaire et de gestion de leurs ressources humaines et qu'elles puissent devenir propriétaires de leurs biens immobiliers. A' propos de cette loi le ministre dit qu'il faut corriger certains excès et donc il faut avancer, c'est-à-dire que c'est l'Etat qui doit jouer un rôle actif et régler avec efficacité l'enseignement supérieur. Ainsi Geneviève Fioraso propose une loi d'orientation qui a plusieurs objectifs: diplômer 50% d'une classe d'âge et former d'ici à la fin de la décennie 3 millions d'étudiants. Ici elle fait une comparaison avec la Corée en disant: “un pays comme la Corée, avec 59 millions d'habitants, compte 3,3 millions d'étudiants, contre 2,4 millions en France”.
Dans une troisième partie l'auteur montre que cette loi est d'autant plus ambitieuse . Par exemple elle dit qu'il faut un effort exceptionnel, je la cite: “création de 5 000 emplois nouveaux dans le quinquennat”. L'objectif de cet effort est de lutter contre l'orientation par défaut des jeunes bacheliers. Je la cite: “la loi facilite l'accès des bacheliers professionnels en section de technicien supérieur (STS) et des bacheliers en institut universitaire de technologie (IUT), où leur taux de réussite est bien meilleur.” Donc, l'auteur est sans doute optimiste sur le rôle de cette loi dans l'avenir. En outre la loi s'engage à une rénovation pédagogique c'est-à-dire que l'Université doit connaître ce qui l'entoure, être, donc, actuelle. En effet il faut souligner l'importance de l'étude et l'usage des langues étrangères, notamment l'anglais qui aujourd'hui est devenu une langue mondiale. De plus il ne faut pas oublier le numérique et internet. Ainsi, on peut parler d'une loi qui est faite par l'Etat mais qui fait appel à la mobilisation collective pour construire une meilleure réussite.
Réponse: Devoir-exposition 1 de jij33, postée le 13-05-2013 à 12:35:28 (S | E)
De rien, rabi3a ! bonne chance pour la suite.
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